Quand la nuit te fait plaine ensemencée d'étoiles,
Quand le vent me fait laine étendue sur ton corps,
Lors tu donnes congé au temps sans son accord,
Enfin je te sais mienne, enfin tu me dévoiles.
Et dans ton rêve bleu, ma douce assuétude,
Ta langueur opiacée, mes volutes d'encens
S'enlacent sur l'autel où se grisent de sang
Nos lèvres en pixels sans la moindre inquiétude.
Puis mes désirs ardents liquéfient toute opale
Des filaments de sucre aux bouts de tes doigts blancs ;
Elle devient tangible et ne fait pas semblant
Ma caresse impatiente autour de tes seins pâles.
Il faudra bien qu'un jour, Ambrosia ma bergère
Tu me guides vers toi, me montres le chemin,
Et pour qu'enfin comblées s'unissent nos deux mains
Au-delà de la toile entre nous étrangère.
Quand ma nuit sera pleine et de toi et du voile
Des baisers doucement déposés sur ton corps,
Le temps fera silence et tu crieras : "Encore !
Montre-moi, mon amour, la maison des étoiles !"
Quand le vent me fait laine étendue sur ton corps,
Lors tu donnes congé au temps sans son accord,
Enfin je te sais mienne, enfin tu me dévoiles.
Et dans ton rêve bleu, ma douce assuétude,
Ta langueur opiacée, mes volutes d'encens
S'enlacent sur l'autel où se grisent de sang
Nos lèvres en pixels sans la moindre inquiétude.
Puis mes désirs ardents liquéfient toute opale
Des filaments de sucre aux bouts de tes doigts blancs ;
Elle devient tangible et ne fait pas semblant
Ma caresse impatiente autour de tes seins pâles.
Il faudra bien qu'un jour, Ambrosia ma bergère
Tu me guides vers toi, me montres le chemin,
Et pour qu'enfin comblées s'unissent nos deux mains
Au-delà de la toile entre nous étrangère.
Quand ma nuit sera pleine et de toi et du voile
Des baisers doucement déposés sur ton corps,
Le temps fera silence et tu crieras : "Encore !
Montre-moi, mon amour, la maison des étoiles !"
voyez vous j'aime cette poésie là
qui me garde en éveil
et me fait penser que la vie est ailleurs
merci pour ces instants de grâce à vous lire