Ta rue est mon jardin d' Éden abandonné
Où le temps déambule éphémère et perdu,
Où disparait soudain un peu désordonné
Comme un doux préambule à l'amour attendu.
La nuit en robe blanche ouverte à mes désirs
Déroule un long ruban bleui de l'impatience
De te voir ce dimanche - aurai-je ce plaisir ?
Assise sur le banc des heures d'insouciance.
J'ai parcouru cent fois l'allée des souvenirs,
Recomposé pour toi des bouquets d'avenir
Dans l'espoir qu'aujourd'hui enfin tu m'apparaisses;
Mais cette rue se vide et le temps incertain
Fait au ciel impavide un espoir trop lointain
Que ton corps soit conduit au creux de mes caresses.
Où le temps déambule éphémère et perdu,
Où disparait soudain un peu désordonné
Comme un doux préambule à l'amour attendu.
La nuit en robe blanche ouverte à mes désirs
Déroule un long ruban bleui de l'impatience
De te voir ce dimanche - aurai-je ce plaisir ?
Assise sur le banc des heures d'insouciance.
J'ai parcouru cent fois l'allée des souvenirs,
Recomposé pour toi des bouquets d'avenir
Dans l'espoir qu'aujourd'hui enfin tu m'apparaisses;
Mais cette rue se vide et le temps incertain
Fait au ciel impavide un espoir trop lointain
Que ton corps soit conduit au creux de mes caresses.
- hasia aime ceci
Toujours si délicat , si distingué!
Très beau!
hasia