Orange...un début d'été;
une pluie chaude
verse sur les boulevards
des larmes d'adieu,
des néons blafards
écrivent à la nuit
des codes inversés
d'amour déversé
sur les trottoirs.
Absorbé
par ce jeu de buvard,
j'ai le cafard.
Orange, un hôtel
rue des regrets.
Une chambre,
un couloir sombre dans la pénombre,
un lit qui danse, tes bras ouverts,
la fin du voyage,
tes yeux gris vert;
les oliviers ne meurent jamais.
une pluie chaude
verse sur les boulevards
des larmes d'adieu,
des néons blafards
écrivent à la nuit
des codes inversés
d'amour déversé
sur les trottoirs.
Absorbé
par ce jeu de buvard,
j'ai le cafard.
Orange, un hôtel
rue des regrets.
Une chambre,
un couloir sombre dans la pénombre,
un lit qui danse, tes bras ouverts,
la fin du voyage,
tes yeux gris vert;
les oliviers ne meurent jamais.
- hasia aime ceci
il a la même vibration que celle de mon âme...
mais la couleur de ses yeux n'est pas la mienne!!
peu importe je me roule dans vos mots...
belle mélancolie où je me sens bien...
et ces oliviers?
la sève de l'amour est éternelle quand elle a cet élan vers le ciel.