24 réponses à ce sujet

[gilonimo]

Ô Poésie tu es la reine de ses mots
Dans la galerie de tes prophètes
Il y a des hétéros et aussi des homos
Qui dansent et qui font la fête.

La liste est longue comme une queue,
Jamais je ne pourrais les citer tous,
Mais peut-être un ou deux, quoique
(Touss ! touss ! voilà encore que je tousse).

Où en étais-je avant d’expectorer ?
Ah oui, je rendais hommage à cette dame
Qu’on ne peut de tous temps qu’adorer ;
J’ai nommé Poésie la plus belle d’Edam.

Qui a dit que tu allais mourir ma beauté ?
Qu’il vienne ici un peu le répéter,
Son cul je m’en vais de ce pas le botter ,
Avec ce pied qui me sert pour rimer.

[gilonimo]

Faut-il un dictionnaire de rime
Pour trouver une rime ?
Faut-il un dictionnaire de mots
Pour trouver un homo ?

Faut-il un dictionnaire de pieds
Pour trouver des papiers ?
Faut-il un dictionnaire de dictionnaire
Pour trouver un dictionnaire ?

Vous l’avez compris
Comme tous les cons
C’est bien sûr mes amis,
La réponse est non.

[gilonimo]

Dès que je pense à quelque chose
Faut que j’écrive une poésie,
Je ne sais pas, je vois une rose
Et paf, faut que je versifie.

La rose, ce n’était qu’un exemple,
J’aurais vu ne serait-ce qu’un salsifis,
C’était pareil, je grimpais au Temple
Des dieux qui font des poésies.

Après, je n’ai qu’une hâte qui m’étreint
C’est, sur un forum, de la faire partager
Même s’il faut que je prenne le train.
(Les rimes parfois c’est chiant à trouver.)

[gilonimo]

Mais bon dieu que serait devenu le monde
Si personne avait inventé le micro-onde ?
En même pas plus longtemps qu’un instant
Il réchauffe comme par miracle nos aliments.

Je me demande comment il peut bien faire
Car quand on regarde dans son intérieur
On voit juste un vide pour mettre les affaires
Qu’on veut chauffer en moins d’une heure.

Mais attention, il faut faire attention
A pas mettre des choses en ferraille
Sinon ça pète et ça fout les jetons
A ton manger tu peux dire bye-bye.

[valise]

t'as fait le con mais t'as hanté par le cul t'as comme désordonné ttout brouillon

[gilonimo]

Les poètes, voici des gens qui sont gentils.
Je vous le garanti, ce sont de bons amis,
Car jamais, Ô jamais, ne leur arrivent-ils
D’écraser une mouche ou même des fourmis.


Celui qui parle en vers, on l’appelle poète,
Il donnerait sa vie pour trouver une rime.
Il aime à réciter dans des salons d’esthètes
Une composition qui vaut bien dix centimes.


Il parcoure les champs, les monts et puis les vaux
En reniflant des fleurs ; des lys, des héliotropes.
Il s’extasie aussi devant des petits veaux
Elevés sous la mère au destin d’escalopes.


Le cœur chargés d’émois, il rentre au crépuscule.
Il est prêt à noircir la page violine
Du feuillet quadrillé. La rime à pédoncule ?
Le voici qui hésite en pensant à Pauline.



Nota :
Je sais qu’il y en a qui vont chipoter pour la rime
"gentils" et "arrivent-ils"
mais n'empêche qu'à l'oeil, ça passe si on enlève le tiret.

[gilonimo]

Avez-vous déjà joué à la pétanque sur de la glace ?
" Grand Dieu non ", dites vous avec une grimace.
Alors laissez-moi vous présenter ce sport
Qu’on appelle curling chez les gens du nord.

Evitez le métro pour vous rendre à la patinoire
Car il vous faudra apporter quelques accessoires :
Il se joue avec des pierres lourdes en granite poli
(Il faut se munir aussi d’un petit balai assez joli).

La règle en est des plus simple, votre caillou
Doit glisser au plus près, le petit canaillou,*
D’une cible qu’on appelle " maison " dans le jeu,
C’est un peu le cochonnet si on veut.


* Attention Alexandrin.
(Je pense sérieusement à la création d'une association
pour la protection des sports orphelins)

[gilonimo]

A nous autres, notre terrain de jeux
C’est la mer infinie qu’on appelle grande bleue.
De nos escapades liquides l’enjeu,
C’est de voir des sardines peintes en rouges ou en bleues.

A nous autres, il nous faut trois fois rien ou si peu,
Une paire de palmes à notre taille pour pas que ça gène,
Une combinaison de la matière dont on fait les pneus,
Et une bouteille d’oxygène bien remplie d’oxygène.

Lors de la descente vers les grands fonds,
Il faut faire des paliers pour pas devenir bleu,
Car nous ne sommes pas des poissons, parbleu !
La mer ne pardonne rien à ceux qui vont trop profond.


(En me relisant, je tiens à préciser dans le vers suivant :
"Une paire de palmes à notre taille pour pas que ça gène"
il faut comprendre "taille" dans le sens de "pointure"
parce que sinon, ça sert à rien les palmes.)

[gilonimo]

Tu m’as quitté en t’en allant tel un départ,
Chuchotant dans un murmure : « Je pars,
J’en ai assez d’avoir marre de ce raz le bol. »

Tu baissais les yeux de ton regard vers le sol,
Qui était par terre, en bas, à tes pieds.

Un amour amoureux c’est comme du papier
Qui vieillit de vieillesse en devenant vieux
Avec des mots écrits imprimés rouge sang
Qui disparaissent tout en s’évanouissant.

L’éternité n’a duré que trente jours, voire un mois,
Avant que tu n’arrives en venant devant moi,
Pour m’annoncer cette annonce interlope
Douteuse qui éclaira mes nuits de nyctalope.

Et qui me fit souffrir la souffrance d’une déchirure
En déchirant mon cœur de mille blessures.


(J’avais une autre rime pour interlope, mais j’ai pas osé.
Pas trop lol en ce moment.)

[gilonimo]

Je t’aime comme si j’étais amoureux,
Sans toi, je souffre que c’en est douloureux.

Si la longueur de ma vie, Hortense,
Est égale à celle de mon existence,
Tu seras mon bonheur joyeux
Qui fera de moi un homme heureux.

Je t’aime autant que je t’adore
Et même beaucoup plus encore.
Sais-tu que ta beauté est belle,
Et que tes yeux sont deux prunelles ?

Je t’aime tout le jour, et aussi matin, midi et soir.
Quand tu es loin de moi je ne peux te voir
Et tu me manques comme une absence,
Ton mutisme alors ressemble à du silence,
Je pleure des larmes salées amères
Qui ont le goût du sel de la mer.

Je t’aimerai toute une éternité, mon amour,
Même si elle devait durer toujours.


(C’est un poème que j’ai écrit pour mon amour que j’aime,
et qui m’aime aussi et qui se reconnaîtra dans ces vers que j’ai écrit
parce qu’on s’aime et que c’est pour tout le temps de notre vie.
Et même plus. (ça c’est ma petite touche d’humour. Lol.))

[gilonimo]

Je vais écrire un beau poème
Avec des « belle » avec des « aime »
J’y mettrais aussi « jolie » et « amant »
Mais seulement si j’ai le temps.

Accrostiche
Malheureux
Obligé :
U n
Rut

Les oiseaux s’en vont dans le ciel
Au lieu de marcher sur la route
C’est parce qu’ils ont des ailes
Sans doute.

Des fois, j’ai un vers de plus court,
C’est à cause de l’amour,
J’arrive pas à me prendre la tête
Pour une rime parfaite

Je pense trop à elle
Enfin, surtout à ses seins,
(C’est pas comme Raël
Qui ne pense qu’aux siens.)

Des fois mes rimes ne sont pas terribles
Mais je débute dans cette matière horrible
Qui s’appelle poésie
Là, faut trouver un mot en zi
J’avais trouvé zizi
Mais ça n’avait aucun rapport
La poésie c’est un sacré sport
(Je suis content de celui-zi.)

J’aime regarder la mer dans tes yeux
Qui sont merveilleux, c’est trop,
J’aurais dû inverser, c’est sot,
Les deux mots : trop et merveilleux.

Comme ça yeux et merveilleux
Auraient rimé tout les deux
Et ça aurait fait joli
Comme dans une poésie.

Voilà, je crois qu’il est fini
Je vais le mettre sur un forum
Pour que j’ai plein d’amis
Qui me disent qu’il est joli.
Je vais aller boire un verre de rhum.

J’étais obligé de rajouter le verre de rhum
Pour rimer avec forum
La poésie faut rester en éveil
On est obligé que ça finisse pareil.

(J'ai pas eu le temps
Pour jolie et amant)

[gilonimo]

La neige blanche comme de la poudre
Tombait du ciel en tout petits flocons
Pareil à de ces morceaux de glaçons
Qu’un type viendrait tout juste de moudre.

Il faisait froid comme dans un frigo
Dont violemment on aurait claqué la porte
Sur un bébé ou du fromage qu’importe
Dans le compartiment freezer du haut.

Des gens faisaient du ski ou de la luge,
D’autres gens encore faisaient des boules,
Les enfants portaient de moches cagoules,
Leurs pères buvaient du vin calorifuge.

Bon, là normalement,
il devait y avoir un dernier quatrain,
mais décidément il faisait trop froid.

Il était prévu aussi une jolie photo comme tout,
résumant parfaitement la situation,
mais j'ai jugé froidement que cette poésie
se suffisait à elle-même.

[gilonimo]

Je marchais dans la forêt,
Les feuilles étaient dorées,
Il y avait un peu de boue
Un peu partout.

Je courrais dans la campagne,
Vêtu juste d'un pagne,
Je piétinais tout plein de fleurs
Qu'avaient très peurs.

[gilonimo]

t'as fait le con mais t'as hanté par le cul t'as comme désordonné ttout brouillon

j'o fais le con et j'o suis hantà par le cul j'o aussi des problèmes avec lo voyelle
moi c'est la o

[lio...]

Tu m’as quitté en t’en allant tel un départ,
Chuchotant dans un murmure : « Je pars,
J’en ai assez d’avoir marre de ce raz le bol. »

Tu baissais les yeux de ton regard vers le sol,
Qui était par terre, en bas, à tes pieds.

Un amour amoureux c’est comme du papier
Qui vieillit de vieillesse en devenant vieux
Avec des mots écrits imprimés rouge sang
Qui disparaissent tout en s’évanouissant.

L’éternité n’a duré que trente jours, voire un mois,
Avant que tu n’arrives en venant devant moi,
Pour m’annoncer cette annonce interlope
Douteuse qui éclaira mes nuits de nyctalope.

Et qui me fit souffrir la souffrance d’une déchirure
En déchirant mon cœur de mille blessures.


(J’avais une autre rime pour interlope, mais j’ai pas osé.
Pas trop lol en ce moment.)

Je ne dis pas que j'aime mais je ne deteste pas
Ta poésie de poète dont les vers en sus
Me parlent en me disant ce que tu ne tais pas.
Tes balafres à nue sans sparadra dessus.

[Victorugueux]

Est il nécessaire voire indispenable de savoir que ce génial poète qui se nomme gilonimo un pseudo qui ne peut cacher son amour des indiens et sa grande envie de causer de tout et de rien ben que ce super génial Bavard nommé Gilonomo possède aussi un blog à la con dont je me permettrais de vous mettre la référence dans ce post voyez ci-dessous le ci-devant poète Gilonimo

http://gilonimo.over-blog.net/

Dans ce blog vous verrez les réponses à vos questions les plus essentielle comme
à quoi sert le blog à la con de Gilo?
Ben à se gratter le nez et la caboche pour comprendre le monde

[lio...]

Est il nécessaire voire indispenable de savoir que ce génial poète qui se nomme gilonimo un pseudo qui ne peut cacher son amour des indiens et sa grande envie de causer de tout et de rien ben que ce super génial Bavard nommé Gilonomo possède aussi un blog à la con dont je me permettrais de vous mettre la référence dans ce post voyez ci-dessous le ci-devant poète Gilonimo

http://gilonimo.over-blog.net/

Dans ce blog vous verrez les réponses à vos questions les plus essentielle comme
à quoi sert le blog à la con de Gilo?
Ben à se gratter le nez et la caboche pour comprendre le monde

Pourquoi tant d'humour ?!!!

[Victorugueux]

Pourquoi tant d'humour ?!!!

parce que je l'aime bien le Gilo
Une vieille histoire dans les années 2005 sur TLP et ailleurs
je n'ai pas que de la haine j'ai aussi des gens que j'aime bien

[lio...]

parce que je l'aime bien le Gilo
Une vieille histoire dans les années 2005 sur TLP et ailleurs
je n'ai pas que de la haine j'ai aussi des gens que j'aime bien

Je suis client !

[Carla.]

Oui, toujours un moment de bonne humeur quand on te lis, quand on te suit...

[Victorugueux]

Up là parce que j'aime le veau!

[gilonimo]

Je m’avançais d’un pas calme de Négus,
De cette allure qu’il sied dans les bois,
Lorsque je vis émerger de l’humus
Une pleurote qui était aux abois.

Le champignon n’a rien trouvé de mieux
Que de poser un chapeau sur son pied,
On ne doit rire les handicapés,
Mais regardez, on dirait un essieu !

Malgré un physique peu gracieux
Le champignon est ami merveilleux
Cette pleurote à la jolie frimousse
M’invita sans façon à prendre une mousse.

« Si je suis seule au pied de ce grand chêne,
Tandis que la douce rosée s’évapore,
C’est parce que l’indigeste mycène
Avec ses amis est partie faire du spore. »

[gilonimo]

Le haricot vert est un charmant petit légume ,
Impossible de le prendre pour un agrume
Tellement il est fin et tout en longueur
( Et puis il y a aussi sa couleur ).

Ne te découvre pas d'un fil
Disait la mère d'un petit haricot
Qui voulait montrer ses biscotots
( C'était, je crois, au mois d'avril ).

Pour passer des vacances idoines,
Il aime bien avec tous ses potes
( Les flageolets, les navets, les carottes)
Aller danse en boite en Macédoine.

[lio...]

Je m’avançais d’un pas calme de Négus,
De cette allure qu’il sied dans les bois,
Lorsque je vis émerger de l’humus
Une pleurote qui était aux abois.

Le champignon n’a rien trouvé de mieux
Que de poser un chapeau sur son pied,
On ne doit rire les handicapés,
Mais regardez, on dirait un essieu !

Malgré un physique peu gracieux
Le champignon est ami merveilleux
Cette pleurote à la jolie frimousse
M’invita sans façon à prendre une mousse.

« Si je suis seule au pied de ce grand chêne,
Tandis que la douce rosée s’évapore,
C’est parce que l’indigeste mycène
Avec ses amis est partie faire du spore. »

Je l'ai vue à l'entraînement
dans sa tenue jaune-orangé
Et sous un olivier
Elle fait ses etirements...

[lio...]

Le haricot vert est un charmant petit ,
Impossible de le prendre pour un agrume
Tellement il est fin et tout en longueur
( Et puis il y a aussi sa couleur ).

Ne te découvre pas d'un fil
Disait la mère d'un petit haricot
Qui voulait montrer ses biscotots
( C'était, je crois, au mois d'avril ).

Pour passer des vacances idoines,
Il aime bien avec tous ses potes
( Les flageolets, les navets, les carottes)
Aller danse en boite en Macédoine.

Il faut que ça pète et que ça bouge!
Par semis ils vont arriver,
Des beurres, des nains et même des ecosser,
Parce qu'à l'affiche et sans filets : LES HARICOTS ROUGES !!!