Comme nuits arabes avec ciels de rideaux
trop de morts arrivent une nuit de novembre
ils marchent ensembles sans porter quelques membres,
lesquels rendent visite á minuit deux par deux
Celles sont les ombres qui cachent un goitreux,
un clochard qui greffe, un mouchard qui se cambre,
les bons frics qui veillent, les poupées dans les chambres,
et la mort qui viendra à emmener ces bestiaux.
Les soins valent nib si on parle de la mort
comme les règles de la guerre et de l’amour.
La dame arrive tôt pour prendre sa victime
pour Sara elle vient, sans pitié l’effacera.
Comme un camé avec son gramme de farine
cette ancienne á la gamine consumera.
C'est mon premier tentative de sonnet, j'espere que vous pouvez l'analiser et critiquer. D'avance, merci par votre observations.

Un Premier Sonnet
Started by katsumi, Oct 23 2006 07:46 PM
3 replies to this topic
#1
Posted 23 October 2006 - 07:46 PM
#2
Posted 23 October 2006 - 07:58 PM
pour moi, comme je te lis, c'est pas un poème.
#3
Posted 23 October 2006 - 09:11 PM
Citation (katsumi @ Oct 23 2006, 08:46 PM) <{POST_SNAPBACK}>
et la mort qui viendra à emmener ces bestiaux.
Je salue le travail, c'est un bel essai!
Une seule remarque cependant...
As-tu déjà entendu parler du "hyatus"?
"...viendra à emmener..." te fait prononcer trois "a" consécutifs... C'est deux de trop!
#4
Posted 23 October 2006 - 09:32 PM
De la matière
Mais il faut retravailler
Bien sûr ce texte est assez incompréhensible
Mais il évoque quelques images intéressantes
Mais il faut retravailler
Bien sûr ce texte est assez incompréhensible
Mais il évoque quelques images intéressantes
0 user(s) are reading this topic
0 members, 0 guests, 0 anonymous users