merci hadrien
tes idees ne sont pas mal je vais voir
merci d'etre passe
amities
jean claude
jc-blondel's Content
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#356605 O Vent Joyeux Fripon
Posted by
on 10 November 2006 - 12:43 PM
in
Salon de publication principal
#356506 Ursus Maritimus (ours Polaire)
Posted by
on 09 November 2006 - 11:27 PM
in
Salon de publication principal
a part quelques cesures qui coincent
ce texxte est splendide
il faut aussi que les poetes poussent des coup de gueule
seront ils entendus c'est une autre affaire
mais l'essentiel c'est de l'avoir dit
surtout de l'avoir ecrit
amicalement
jean claude
ce texxte est splendide
il faut aussi que les poetes poussent des coup de gueule
seront ils entendus c'est une autre affaire
mais l'essentiel c'est de l'avoir dit
surtout de l'avoir ecrit
amicalement
jean claude
#356505 Judas
Posted by
on 09 November 2006 - 11:21 PM
in
Salon de publication principal
j'ai cru ententendre la petite voix de du bellay en lisant ce texte
peut etre mon affection ce genre de poesie
elle bein faite et bien ecrite
j'ai adore
merci pour ce moment delicieux
amities
jean claude
peut etre mon affection ce genre de poesie
elle bein faite et bien ecrite
j'ai adore
merci pour ce moment delicieux
amities
jean claude
#356503 Une Fleur A Fleuri
Posted by
on 09 November 2006 - 11:17 PM
in
Salon de publication principal
un joli texte
j'aurai bien aimer l'ecrire
bravo
jean claude
j'aurai bien aimer l'ecrire
bravo
jean claude
#356502 Mortelle
Posted by
on 09 November 2006 - 11:13 PM
in
Salon de publication principal
superbe
jean claude
jean claude
#356494 Lune (essai)
Posted by
on 09 November 2006 - 10:45 PM
in
A corriger
bonsoir alba
pour le blason qui est un genre special pour ne pas dire tres special
tu aurais peut etre du utiliser des rimes feminines AA et masculine BB et non pas les melanger
je crois ca altrere le exte
mais sinon pour un essai c'est deja bien
je ne reviendrais pas a ce que t'as dit socque elle est d'une pertinence a toute epreve
si tu veux un exemple de blason tu as la chanson de brassens sur le meme nom le blason
sinon clement marot en avait fait sur le beau tetin et el laid tetin si ca peut t'aider
c'etait un peu de son epoque ah la renaissance
voila que j'ai pu trouver a redire sur ce texte
amities
jean claude
pour le blason qui est un genre special pour ne pas dire tres special
tu aurais peut etre du utiliser des rimes feminines AA et masculine BB et non pas les melanger
je crois ca altrere le exte
mais sinon pour un essai c'est deja bien
je ne reviendrais pas a ce que t'as dit socque elle est d'une pertinence a toute epreve
si tu veux un exemple de blason tu as la chanson de brassens sur le meme nom le blason
sinon clement marot en avait fait sur le beau tetin et el laid tetin si ca peut t'aider
c'etait un peu de son epoque ah la renaissance
voila que j'ai pu trouver a redire sur ce texte
amities
jean claude
#356489 J'ai Cueilli
Posted by
on 09 November 2006 - 10:32 PM
in
Salon de publication principal
merci chere socque
#356482 J'ai Cueilli
Posted by
on 09 November 2006 - 09:51 PM
in
Salon de publication principal
merci condor
je dois avoir reparer mes betises
amities
jean claude
je dois avoir reparer mes betises
amities
jean claude
#356463 Folle Realite
Posted by
on 09 November 2006 - 08:02 PM
in
Salon de publication principal
merci had 75
de ces remarques je verrai si je peux changer sans denaturer le texte
amities
jean claude
de ces remarques je verrai si je peux changer sans denaturer le texte
amities
jean claude
#356361 Vous êtes Trop Belle...
Posted by
on 09 November 2006 - 02:33 AM
in
Salon de publication principal
une terza en huit pied c'est pas mal non plus
bien que je prefere mes vieux alexandrins
amicalement
jean claude
bien que je prefere mes vieux alexandrins
amicalement
jean claude
#356345 J'ai Cueilli
Posted by
on 08 November 2006 - 10:20 PM
in
Salon de publication principal
merci anne et alba
pour votre sourtien
amities
jean claude
pour votre sourtien
amities
jean claude
#356344 Divine
Posted by
on 08 November 2006 - 10:18 PM
in
Salon de publication principal
merci anne
pour ce chapeau bas
amities
jean claude
pour ce chapeau bas
amities
jean claude
#356323 J'ai Cueilli
Posted by
on 08 November 2006 - 08:52 PM
in
Salon de publication principal
En / la/ cé/ dans/ tes/ bras/ (ca fait 6)
sur/ le/ bord /de /ta/ couche (ca fait 6)
en tout ca fait 12 je ne comprends pas ton histoire de E et S
couche fait un seul pied en fin de vers
c'est comme ca que l'on compte en poesie dite classique et neo classique
JEAN CLAUDE
sur/ le/ bord /de /ta/ couche (ca fait 6)
en tout ca fait 12 je ne comprends pas ton histoire de E et S
couche fait un seul pied en fin de vers
c'est comme ca que l'on compte en poesie dite classique et neo classique
JEAN CLAUDE
#356278 J'ai Cueilli
Posted by
on 08 November 2006 - 06:49 PM
in
Salon de publication principal
je ne comprends ta com mais j'ai l'habitude
quand au E et S je ne vois pas le rapport
si c'est simplement pour dire une betise
je te rassure ca y est tu l'as faite
cordialement
jean claude
merci pour la correction c'est fait pour le reste je ne change rien
quand au E et S je ne vois pas le rapport
si c'est simplement pour dire une betise
je te rassure ca y est tu l'as faite
cordialement
jean claude
merci pour la correction c'est fait pour le reste je ne change rien
#356270 Divine
Posted by
on 08 November 2006 - 06:40 PM
in
Salon de publication principal
elle est deja la quand j'ai ecit le texte et elle le lisait en meme temps que je l'ecrivais
quand au brouillon il est tel quel
amities
jean claude
quand au brouillon il est tel quel
amities
jean claude
#356229 Rondel
Posted by
on 08 November 2006 - 04:59 PM
in
A corriger
que j'accepte avec plaisir
amities
jean claude
amities
jean claude
#356203 Rondel
Posted by
on 08 November 2006 - 03:45 PM
in
A corriger
un exemple sans plus
LES IMAGES EPHEMERES
Dans les images éphémères
Mon cœur s’appuie de souvenirs
En s’abandonnant aux plaisirs
Il a perdu tous ses repères.
Il change toutes les prières
Pour un bon Dieu sans avenir
Dans les images éphémères
Mon cœur s’appuie de souvenirs.
C’est la fin des traces austères
Qui coinçaient tous ses désirs
Ce rêveur, à n’en plus finir,
En regardant le ciel, espère
Dans les images éphémères.
LES IMAGES EPHEMERES
Dans les images éphémères
Mon cœur s’appuie de souvenirs
En s’abandonnant aux plaisirs
Il a perdu tous ses repères.
Il change toutes les prières
Pour un bon Dieu sans avenir
Dans les images éphémères
Mon cœur s’appuie de souvenirs.
C’est la fin des traces austères
Qui coinçaient tous ses désirs
Ce rêveur, à n’en plus finir,
En regardant le ciel, espère
Dans les images éphémères.
#356201 Terza-rima
Posted by
on 08 November 2006 - 03:44 PM
in
A corriger
un example sans plus
DESHABILLAGE
Profitant que la nuit vienne tout obscurcir
Chaque soir j’oserai dégrafer ton corsage
Pour découvrir ton sein avide de désir
Je laisserai mes doigts commencer ce voyage
Explorateur d’un temps, recherchant les trésors
Qui sont les prisonniers de ton joli corps sage.
A l’heure où tout est gris et que le monde dort
Tu rallumes les feux des arènes lubriques
En plantant pour moi seul de merveilleux décors.
Je laisserai mes mains t’adresser leurs suppliques,
En caressant ta peau jusqu’à la faire frémir,
Pour rendre à ta beauté tous ses appas magiques
Aujourd’hui, tu le sais, pour les temps à venir
Je serai l’amoureux de ton âme rebelle
L’otage de ce corps que je voue au plaisir.
Pour toujours je serai ton bel amant, ma belle.
DESHABILLAGE
Profitant que la nuit vienne tout obscurcir
Chaque soir j’oserai dégrafer ton corsage
Pour découvrir ton sein avide de désir
Je laisserai mes doigts commencer ce voyage
Explorateur d’un temps, recherchant les trésors
Qui sont les prisonniers de ton joli corps sage.
A l’heure où tout est gris et que le monde dort
Tu rallumes les feux des arènes lubriques
En plantant pour moi seul de merveilleux décors.
Je laisserai mes mains t’adresser leurs suppliques,
En caressant ta peau jusqu’à la faire frémir,
Pour rendre à ta beauté tous ses appas magiques
Aujourd’hui, tu le sais, pour les temps à venir
Je serai l’amoureux de ton âme rebelle
L’otage de ce corps que je voue au plaisir.
Pour toujours je serai ton bel amant, ma belle.
#356200 Sonnet
Posted by
on 08 November 2006 - 03:42 PM
in
A corriger
SUR TON SEIN, MADAME.
Sur la pointe d’un sein, je poserai la main
Pour aller découvrir le fin fond de ton âme.
Profitant à loisirs de ton corps blanc, madame
Je laisserai la nuit filer jusqu’au matin.
Otage d’un plaisir qui brûle mon destin
Je chercherai le soir ta peau blanche de femme.
Je prendrai tes effets, cette belle oriflamme,
Pour décorer ma vie d’un drapeau de satin.
Pour dénicher ton cœur de son nid de ficelles
Je viendrai patauger dans tes rouges dentelles
En faisant un festin d’un reste de désir.
Tes appas dénudés me feront des rivages
Qu’en aveugle l’amour se décide à m’offrir
Pour vivre sans répit, de merveilleux voyages.
un exemple sans plus
Sur la pointe d’un sein, je poserai la main
Pour aller découvrir le fin fond de ton âme.
Profitant à loisirs de ton corps blanc, madame
Je laisserai la nuit filer jusqu’au matin.
Otage d’un plaisir qui brûle mon destin
Je chercherai le soir ta peau blanche de femme.
Je prendrai tes effets, cette belle oriflamme,
Pour décorer ma vie d’un drapeau de satin.
Pour dénicher ton cœur de son nid de ficelles
Je viendrai patauger dans tes rouges dentelles
En faisant un festin d’un reste de désir.
Tes appas dénudés me feront des rivages
Qu’en aveugle l’amour se décide à m’offrir
Pour vivre sans répit, de merveilleux voyages.
un exemple sans plus
#356199 Rondeau Redoublé
Posted by
on 08 November 2006 - 03:39 PM
in
A corriger
LORSQUE MA MAIN
Lorsque ma main se fait câline
Dans l’ombre d’un soir à venir
D’un regard, moi, je te devine
Frémissante et prête à bondir.
Belle princesse du plaisir
La nuit noire te rends coquine
Tu viens t’offrir à mon désir
Lorsque ma main se fait câline.
Dans le miroir qui te dessine
Ta beauté va tout envahir.
Ta nudité te rends divine
Dans l’ombre d’un soir à venir.
De ton corps je veux me nourrir
De l’angélus jusqu’aux matines
Quand mes doigts te sentent frémir
D’un regard, moi, je te devine.
Que je t’aime ô ma libertine
Lorsque l’amour te fait pâlir
Sur ma couche reste l’ondine
Frémissante et prête à bondir.
Dans mes bras je veux te tenir
Garder ta candeur enfantine
Toi, mon trésor, mon avenir
A la passion je te destine
Lorsque ma main…
voila chere socque un exemple de rondeau redouble
est t il dans les regle du classique je ne sais pas
mais ca donnera une idee
amities
jean claude
Lorsque ma main se fait câline
Dans l’ombre d’un soir à venir
D’un regard, moi, je te devine
Frémissante et prête à bondir.
Belle princesse du plaisir
La nuit noire te rends coquine
Tu viens t’offrir à mon désir
Lorsque ma main se fait câline.
Dans le miroir qui te dessine
Ta beauté va tout envahir.
Ta nudité te rends divine
Dans l’ombre d’un soir à venir.
De ton corps je veux me nourrir
De l’angélus jusqu’aux matines
Quand mes doigts te sentent frémir
D’un regard, moi, je te devine.
Que je t’aime ô ma libertine
Lorsque l’amour te fait pâlir
Sur ma couche reste l’ondine
Frémissante et prête à bondir.
Dans mes bras je veux te tenir
Garder ta candeur enfantine
Toi, mon trésor, mon avenir
A la passion je te destine
Lorsque ma main…
voila chere socque un exemple de rondeau redouble
est t il dans les regle du classique je ne sais pas
mais ca donnera une idee
amities
jean claude
#356197 Divine
Posted by
on 08 November 2006 - 03:33 PM
in
Salon de publication principal
DIVINE
Pour faire le brouillon de mes chansons d’amour
J’userai de ta peau, comme une page blanche
Pour écrire ces mots qui feront mon discours
Je mettrai mon sujet sur un coin de ta hanche
Pour enfin réveiller le verbe sur tes seins
Laissant le complément te charmer, le dimanche.
Voilà le compliment que j’écris de ma main
Pour chanter le bonheur que m’offre ta présence
En illuminant de feux l’âtre de mon destin.
Profitant de la nuit et de tout ce silence
Mes doigts s’hasarderont à chercher la douceur
Que tu niches là-bas, au creux de l’innocence.
En faisant le brouillon des états de mon cœur
Je viendrai chahuter ta superbe poitrine
Pour donner des ardeurs à mon tendre bonheur.
Je t’écrirai les mots, qui te feront, divine.
jc blondel
Pour faire le brouillon de mes chansons d’amour
J’userai de ta peau, comme une page blanche
Pour écrire ces mots qui feront mon discours
Je mettrai mon sujet sur un coin de ta hanche
Pour enfin réveiller le verbe sur tes seins
Laissant le complément te charmer, le dimanche.
Voilà le compliment que j’écris de ma main
Pour chanter le bonheur que m’offre ta présence
En illuminant de feux l’âtre de mon destin.
Profitant de la nuit et de tout ce silence
Mes doigts s’hasarderont à chercher la douceur
Que tu niches là-bas, au creux de l’innocence.
En faisant le brouillon des états de mon cœur
Je viendrai chahuter ta superbe poitrine
Pour donner des ardeurs à mon tendre bonheur.
Je t’écrirai les mots, qui te feront, divine.
jc blondel
#356194 J'ai Cueilli
Posted by
on 08 November 2006 - 03:30 PM
in
Salon de publication principal
J’AI CUEILLI
J’ai cueilli sur ta peau le plaisir défendu
En me saoulant parfois d’un sublime breuvage
Tu m’offris sans compter ce merveilleux voyage
Dans le monde discret où l’amour est vertu.
Profitant de la nuit qui t’aura mise à nu
J’ai chahuté l’ennui, réveillant ton corps sage.
En faisant un festin des fruits de ton corsage
Infidèle je crois, je le suis devenu.
Enlacé dans tes bras sur le bord de ta couche
J’ai déposé cent fois des baisers sur ta bouche
Pour demeurer pour toi, l’otage du désir.
En donnant aux émois des habits de lumière
Nos élans d’amoureux auront un avenir
Ils seront chaque soir, notre unique prière.
jc blondel
J’ai cueilli sur ta peau le plaisir défendu
En me saoulant parfois d’un sublime breuvage
Tu m’offris sans compter ce merveilleux voyage
Dans le monde discret où l’amour est vertu.
Profitant de la nuit qui t’aura mise à nu
J’ai chahuté l’ennui, réveillant ton corps sage.
En faisant un festin des fruits de ton corsage
Infidèle je crois, je le suis devenu.
Enlacé dans tes bras sur le bord de ta couche
J’ai déposé cent fois des baisers sur ta bouche
Pour demeurer pour toi, l’otage du désir.
En donnant aux émois des habits de lumière
Nos élans d’amoureux auront un avenir
Ils seront chaque soir, notre unique prière.
jc blondel
#356178 La Danse De La Marquise
Posted by
on 08 November 2006 - 01:29 PM
in
Salon de publication principal
bonjour melancolique
c'est vrai le rondeau redouble est une belle aventure pour qui s'essaie de a ce genre
j'en ai deja fait deux et je me suis bien amuse a le faire faudra que je recommence tu m'en a donne l'envie
les deux titre sont lanuit et lorsque ma main qui sont sont sur mon blog si tu as envie d'y aller faire un tour
amities
jean claude
c'est vrai le rondeau redouble est une belle aventure pour qui s'essaie de a ce genre
j'en ai deja fait deux et je me suis bien amuse a le faire faudra que je recommence tu m'en a donne l'envie
les deux titre sont lanuit et lorsque ma main qui sont sont sur mon blog si tu as envie d'y aller faire un tour
amities
jean claude
#356177 Muzain
Posted by
on 08 November 2006 - 01:24 PM
in
A corriger
bonjour salam
si ca peut t'aider
Le quintil ou chinquain ou cinquain
Le quintil comporte le plus souvent trois rimes masculines et deux féminines ou inversement, entremêlées. Il peut aussi s'obtenir par un artifice assez fréquent dans la poésie moderne et qui consiste à répéter le premier vers ou la rime du premier vers de la strophe.
La disposition (AABBA) remonte aux rhétoriqueurs de la fin du XVe siècle. On trouve parfois un schème layé, (A12a8b8b8A12); c'est souvent le cas, par exemple, chez Malherbe.
Chez Musset et Lamartine nous trouvons le schème (ABAAB); c'est le quintil du XVe siècle, tel qu'il apparaît chez Jean de la Taille.
Chez Victor Hugo, on trouve le quintil (AABAB) à coté du quintil (ABBAB) et du schème lamartinien (ABAAB).
Quant à la forme choisi par Banville (ABABA), elle se retrouve chez Baudelaire, et sous forme layé (A12b8A12b8A12).
http://www.anthologi...te/traite03.htm
voila un endroit qui repondra a toute tes questions
amicalement
jean claude
si ca peut t'aider
Le quintil ou chinquain ou cinquain
Le quintil comporte le plus souvent trois rimes masculines et deux féminines ou inversement, entremêlées. Il peut aussi s'obtenir par un artifice assez fréquent dans la poésie moderne et qui consiste à répéter le premier vers ou la rime du premier vers de la strophe.
La disposition (AABBA) remonte aux rhétoriqueurs de la fin du XVe siècle. On trouve parfois un schème layé, (A12a8b8b8A12); c'est souvent le cas, par exemple, chez Malherbe.
Chez Musset et Lamartine nous trouvons le schème (ABAAB); c'est le quintil du XVe siècle, tel qu'il apparaît chez Jean de la Taille.
Chez Victor Hugo, on trouve le quintil (AABAB) à coté du quintil (ABBAB) et du schème lamartinien (ABAAB).
Quant à la forme choisi par Banville (ABABA), elle se retrouve chez Baudelaire, et sous forme layé (A12b8A12b8A12).
http://www.anthologi...te/traite03.htm
voila un endroit qui repondra a toute tes questions
amicalement
jean claude
#356135 La Danse De La Marquise
Posted by
on 08 November 2006 - 02:27 AM
in
Salon de publication principal
Citation (Mélancolique @ Nov 7 2006, 01:06 PM) <{POST_SNAPBACK}>
Ô! ma très belle et divine marquise
Quand vous dansez d'un pas si langoureux
Alors votre silhouette si exquise
Nous charme de ses attraits si radieux.
Nous, vos galants, d'un regard amoureux,
Vous scrutons avec grande convoitise
Et de vous tenir sommes désireux,
Ô! ma très belle et divine marquise.
Votre beau jupon, blanc comme banquise,
Froufroute sur des airs mélodieux(9 me-lo-dieux non di-eu)
Et fait que notre âme vous est acquise,
Quand vous dansez d'un pas si langoureux.
Si votre robe, d'un bond capiteux,
Dévoile votre galbe qui nous grise,
De vous, nous rend bien tous coquelucheux(?)
Alors vote silhouette si exquise.
Chaque belle rêvant d'être conquise,
A un maintien des plus majestueux,
Mais, qui d'autre que vous, belle insoumise
Nous charme de ses attraits si radieux.
Si sur vous, mon triste coeur ronsardise
Et chante vos charmes si savoureux,
C'est que ce minois, tout en mignardise,
Le rend désespérément amoureux,
Ô ma très belle!
Mélancolique
Quand vous dansez d'un pas si langoureux
Alors votre silhouette si exquise
Nous charme de ses attraits si radieux.
Nous, vos galants, d'un regard amoureux,
Vous scrutons avec grande convoitise
Et de vous tenir sommes désireux,
Ô! ma très belle et divine marquise.
Votre beau jupon, blanc comme banquise,
Froufroute sur des airs mélodieux(9 me-lo-dieux non di-eu)
Et fait que notre âme vous est acquise,
Quand vous dansez d'un pas si langoureux.
Si votre robe, d'un bond capiteux,
Dévoile votre galbe qui nous grise,
De vous, nous rend bien tous coquelucheux(?)
Alors vote silhouette si exquise.
Chaque belle rêvant d'être conquise,
A un maintien des plus majestueux,
Mais, qui d'autre que vous, belle insoumise
Nous charme de ses attraits si radieux.
Si sur vous, mon triste coeur ronsardise
Et chante vos charmes si savoureux,
C'est que ce minois, tout en mignardise,
Le rend désespérément amoureux,
Ô ma très belle!
Mélancolique
un joli rondeau redouble que n'aurait pas rejeter ronsard
j'aime bien le travail les rimes en eux et ises ne sont pas des plus faciles a utiliser
amicalement
jean claude
