Nath
merci pour ce "ce que tu dit est tres beaux"
c'est sympa
pour quelqu'un qui ne dessine qu'avec des mots
mais faut toujours garder sous la mains
un pinceau et des tubes de couleurs
pour colorer la vie qui semble
parfois si sordide
amicalement
jean claude
jc-blondel's Content
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#293241 Un Dessin
Posted by
on 29 January 2006 - 03:14 AM
in
Salon de publication principal
#293239 Elle Se Reconnaitra
Posted by
on 29 January 2006 - 03:07 AM
in
Salon de publication principal
merci nath
je te repondrai
pourquoi pas
amicalement
jean claude
je te repondrai
pourquoi pas
amicalement
jean claude
#293238 Un Dessin
Posted by
on 29 January 2006 - 03:05 AM
in
Salon de publication principal
UN DESSIN
J’ai trempé mon pinceau dans un pot de peinture
Sur la toile, j’allais un peu dans l’aventure.
Le crayon déposait sous un trait de fusain
L’esquisse d’un tableau, le début d’un dessin.
Sur un fond d’océan, perché sur de l’écume
Un visage venait, il sortait de la brume
Sur un vieil ouragan la chevelure au vent
Elle avait réveillé mes souvenirs d’antan.
Le bleu de son regard avait la profondeur
Des mers de son pays baigné par la chaleur
D’un blond soleil brûlant tandis qu’au fil de l’onde
Je l’ai vue dériver sa belle toison blonde.
Un beau rouge corail avait nacré sa bouche
Qui promettait déjà des folies sous la douche
Milles baisers sucrés, des rêves interdits
Lorsque le jour s’enfuit, lorsque apparaît la nuit.
Sirène revenue aux surfaces d’amour
Pour un homme perdu dans ses aller retours
Elle avait la couleur secrète du désir
Elle avait la candeur discrète du plaisir.
Pour assumer enfin mes idées de bonheur
J’ai bousculé ma vie, j’ai chahuté mon cœur
En trempant mon pinceau dans un pot de peinture
J’ai forcé le destin pour tenter l’aventure.
jc-blondel
J’ai trempé mon pinceau dans un pot de peinture
Sur la toile, j’allais un peu dans l’aventure.
Le crayon déposait sous un trait de fusain
L’esquisse d’un tableau, le début d’un dessin.
Sur un fond d’océan, perché sur de l’écume
Un visage venait, il sortait de la brume
Sur un vieil ouragan la chevelure au vent
Elle avait réveillé mes souvenirs d’antan.
Le bleu de son regard avait la profondeur
Des mers de son pays baigné par la chaleur
D’un blond soleil brûlant tandis qu’au fil de l’onde
Je l’ai vue dériver sa belle toison blonde.
Un beau rouge corail avait nacré sa bouche
Qui promettait déjà des folies sous la douche
Milles baisers sucrés, des rêves interdits
Lorsque le jour s’enfuit, lorsque apparaît la nuit.
Sirène revenue aux surfaces d’amour
Pour un homme perdu dans ses aller retours
Elle avait la couleur secrète du désir
Elle avait la candeur discrète du plaisir.
Pour assumer enfin mes idées de bonheur
J’ai bousculé ma vie, j’ai chahuté mon cœur
En trempant mon pinceau dans un pot de peinture
J’ai forcé le destin pour tenter l’aventure.
jc-blondel
#293235 Elle Se Reconnaitra
Posted by
on 29 January 2006 - 03:02 AM
in
Salon de publication principal
ELLE SE RECONNAITRA
Je suis un vent d’été
Qui vient tout asséché
D’une douce rafale.
Je viendrai déposer
Sur ta joue toute pâle
Le plus doux des baisers.
Laisse enfin tes espoirs
Chasser tes idées noires
Le reste est dérisoire
Ne laisse pas l’absence
Habiller tout d’un noir
Coloré de silence.
Trempe donc ta plume
Au fond de l’encrier
Sort toi donc de la brume
Recommence à rêver
Le moindre cauchemar
N’est qu’un pauvre avatar.
Oublie cette amertume
Qui t’aigri, qui t’embrume
Goûte tous ces bonheurs
Qui vivent dans ton cœur
Laisse les maléfices
Dormir dans leurs offices
Tes jolis mots d’amour
Me manqueront toujours
Laisse sécher tes larmes
Ne baisse pas les armes
Nous te tendrons la main
Reviens nous des demain….
jc-blondel
Je suis un vent d’été
Qui vient tout asséché
D’une douce rafale.
Je viendrai déposer
Sur ta joue toute pâle
Le plus doux des baisers.
Laisse enfin tes espoirs
Chasser tes idées noires
Le reste est dérisoire
Ne laisse pas l’absence
Habiller tout d’un noir
Coloré de silence.
Trempe donc ta plume
Au fond de l’encrier
Sort toi donc de la brume
Recommence à rêver
Le moindre cauchemar
N’est qu’un pauvre avatar.
Oublie cette amertume
Qui t’aigri, qui t’embrume
Goûte tous ces bonheurs
Qui vivent dans ton cœur
Laisse les maléfices
Dormir dans leurs offices
Tes jolis mots d’amour
Me manqueront toujours
Laisse sécher tes larmes
Ne baisse pas les armes
Nous te tendrons la main
Reviens nous des demain….
jc-blondel
#293189 belles revenues
Posted by
on 29 January 2006 - 01:22 AM
in
Salon de publication principal
pascale content que le texte t'es touché
la poesie est parfois faite pour ca
quand a la decoupe
tu es toute pardonne
dommage que tu aies pris
la tranche la plus noire
amicalement
jean claude
la poesie est parfois faite pour ca
quand a la decoupe
tu es toute pardonne
dommage que tu aies pris
la tranche la plus noire
amicalement
jean claude
#293075 belles revenues
Posted by
on 28 January 2006 - 08:32 PM
in
Salon de publication principal
merci serge de ta fidelite
je suis aussi content de voir ici et de penser un peu poesie par les temps qui courent chez toi
ca doit faire du bien de rever un peu
amities
jean claude
je suis aussi content de voir ici et de penser un peu poesie par les temps qui courent chez toi
ca doit faire du bien de rever un peu
amities
jean claude
#292879 Un Adulte Drogue
Posted by
on 28 January 2006 - 10:52 AM
in
Salon de publication principal
merci à vous de vous etre arrete sur ce texte(il n'est pas autobiographique)
et surtout d'etre en accord avec moi
il y a trop de gens qui souffre de cette tyrannie
en esperant qu'ils seront nombreux à s'en sortir
amicalement
jean claude
et surtout d'etre en accord avec moi
il y a trop de gens qui souffre de cette tyrannie
en esperant qu'ils seront nombreux à s'en sortir
amicalement
jean claude
#292791 Un Adulte Drogue
Posted by
on 27 January 2006 - 10:22 PM
in
Salon de publication principal
UN ADULTE DROGUE
Dans l’adulte drogué c’est l’enfant qui sommeille
C’est un homme égaré qui cherche son destin
Le sachet qu’il a pris cache des lendemains
Qui feront espérez des monts et des merveilles.
Héroïne du soir dangereuse maîtresse
Tu rentres dans leurs bras, s’insinue en douceur
Tu mets de la chamade et bouscules leurs cœurs
Pour l’emporter plus loin dans son piège caresse.
La coke samedi dans la nuit vers dimanche
Rentrera dans ton corps embrumant ton cerveau
Ta mémoire oubliera les plus simples des mots
Et te demandera plus, de la poudre blanche.
La pilule extasie dans l’univers techno
Fera vibrer ta vie sur un fil à piano
Et toi tu ne seras qu’un pauvre funambule
Jouant avec sa vie au bord du crépuscule.
Dans l’adulte drogué c’est la mort qui sommeille
Elle attend simplement le dernier dérapage
Pour l’emporter plus loin dans l’ultime voyage
Sans l’espoir que la vie, un soir, ne le réveille.
jc blondel
Dans l’adulte drogué c’est l’enfant qui sommeille
C’est un homme égaré qui cherche son destin
Le sachet qu’il a pris cache des lendemains
Qui feront espérez des monts et des merveilles.
Héroïne du soir dangereuse maîtresse
Tu rentres dans leurs bras, s’insinue en douceur
Tu mets de la chamade et bouscules leurs cœurs
Pour l’emporter plus loin dans son piège caresse.
La coke samedi dans la nuit vers dimanche
Rentrera dans ton corps embrumant ton cerveau
Ta mémoire oubliera les plus simples des mots
Et te demandera plus, de la poudre blanche.
La pilule extasie dans l’univers techno
Fera vibrer ta vie sur un fil à piano
Et toi tu ne seras qu’un pauvre funambule
Jouant avec sa vie au bord du crépuscule.
Dans l’adulte drogué c’est la mort qui sommeille
Elle attend simplement le dernier dérapage
Pour l’emporter plus loin dans l’ultime voyage
Sans l’espoir que la vie, un soir, ne le réveille.
jc blondel
#292790 Voyage Dans Le Temps
Posted by
on 27 January 2006 - 10:21 PM
in
Salon de publication principal
VOYAGE DANS LE TEMPS
Un enfant s’ennuyait tous seul devant la plage
Le bleu de l’océan faisait cligner ses yeux
Et c’est en pointillé qu’apparurent les feux
D’un horizon rougi par le soleil volage.
Il voulait comme lui partir dans le voyage
Incessant de ces jours qui s’effacent joyeux
Sans espoir de retour dans l’édredon frileux
D’une enfance qui fuit dans sa course sauvage.
Promenade du temps qui poussera son âge
Vers les plus haut sommets d’un futur ombrageux
Où le rêve ne sera pas toujours sans enjeux
En devenant un grand dans un vil marécage.
Vieillir reste pour lui, ce nouvel affichage
Qui colore de blanc, ses mèches de cheveux
En scène il mettra ses souvenirs de vieux
Pour raconter sans fin ses rêves d’enfant sage.
Le bleu de l’océan dans tous ces persiflages
Lui parle d’avenir et de jours heureux
Mais l’enfant n’entend pas, son regard de morveux
Lui dit qu’être petit à de beaux avantages.
jc-blondel
Un enfant s’ennuyait tous seul devant la plage
Le bleu de l’océan faisait cligner ses yeux
Et c’est en pointillé qu’apparurent les feux
D’un horizon rougi par le soleil volage.
Il voulait comme lui partir dans le voyage
Incessant de ces jours qui s’effacent joyeux
Sans espoir de retour dans l’édredon frileux
D’une enfance qui fuit dans sa course sauvage.
Promenade du temps qui poussera son âge
Vers les plus haut sommets d’un futur ombrageux
Où le rêve ne sera pas toujours sans enjeux
En devenant un grand dans un vil marécage.
Vieillir reste pour lui, ce nouvel affichage
Qui colore de blanc, ses mèches de cheveux
En scène il mettra ses souvenirs de vieux
Pour raconter sans fin ses rêves d’enfant sage.
Le bleu de l’océan dans tous ces persiflages
Lui parle d’avenir et de jours heureux
Mais l’enfant n’entend pas, son regard de morveux
Lui dit qu’être petit à de beaux avantages.
jc-blondel
#292716 le courant d'air
Posted by
on 27 January 2006 - 06:19 PM
in
Salon de publication principal
LE COURANT D’AIR
Au-delà de minuit dans la douceur du soir
Je deviens courant d’air pour poser la caresse
Sur ton corps engourdi d’un sommeil qui s’empresse
De te garder pour lui dans son beau manteau noir.
Je laisse aller mes doigts sur ta peau qui paresse
Sous la blancheur d’un drap qui cache mon espoir
De te voir t’éveiller nue devant le miroir
Où se reflète un corps offert à la tendresse.
Je suis ce courant d’air qui vient et qui se glisse
Profiteur de l’instant et de ta nudité
Pour réveiller un peu ce désir oublié
Qui s'en vient se nicher prés, tout prés de ta cuisse.
Je suis ce vent secret porteur de ce plaisir
Qui s’endors chaque soir dans de sombres abysses
Emportant tout ton corps sans que tu réagisses
Dans la froideur des nuits où tu t’en va dormir.
Je serai l’ouragan pour te sortir duchesse
Des heures sans amours des jours inassouvis
Je te ferai bondir, bravant les interdits.
Pour qu’au petit matin tu sois belle princesse.
Je viendrais dévaster les bordures d’un lit
Pour abreuvez ton corps de toutes mes caresses
Et dès l’aube ta peau, gavée de ces ivresses,
Encore rougira de ce désir enfuit.
jc-blondel
voilà deirdre la version corrigée
j'espere que je ne rien loupe
amicalement
jean claude
voila un courant d'Erre qui me fait bien plaisir
est il aussi malicieux et coquin
que mon petit courant d'air.......
amities
jean claude
Au-delà de minuit dans la douceur du soir
Je deviens courant d’air pour poser la caresse
Sur ton corps engourdi d’un sommeil qui s’empresse
De te garder pour lui dans son beau manteau noir.
Je laisse aller mes doigts sur ta peau qui paresse
Sous la blancheur d’un drap qui cache mon espoir
De te voir t’éveiller nue devant le miroir
Où se reflète un corps offert à la tendresse.
Je suis ce courant d’air qui vient et qui se glisse
Profiteur de l’instant et de ta nudité
Pour réveiller un peu ce désir oublié
Qui s'en vient se nicher prés, tout prés de ta cuisse.
Je suis ce vent secret porteur de ce plaisir
Qui s’endors chaque soir dans de sombres abysses
Emportant tout ton corps sans que tu réagisses
Dans la froideur des nuits où tu t’en va dormir.
Je serai l’ouragan pour te sortir duchesse
Des heures sans amours des jours inassouvis
Je te ferai bondir, bravant les interdits.
Pour qu’au petit matin tu sois belle princesse.
Je viendrais dévaster les bordures d’un lit
Pour abreuvez ton corps de toutes mes caresses
Et dès l’aube ta peau, gavée de ces ivresses,
Encore rougira de ce désir enfuit.
jc-blondel
voilà deirdre la version corrigée
j'espere que je ne rien loupe
amicalement
jean claude
voila un courant d'Erre qui me fait bien plaisir
est il aussi malicieux et coquin
que mon petit courant d'air.......
amities
jean claude
#292620 bavardages
Posted by
on 27 January 2006 - 02:22 PM
in
Salon de publication principal
merci mergur
de ton commentaire
et d'avoir pris part a mon bavardage
amicalement
jean claude
de ton commentaire
et d'avoir pris part a mon bavardage
amicalement
jean claude
#292618 le courant d'air
Posted by
on 27 January 2006 - 02:19 PM
in
Salon de publication principal
merci deirdre
de t'etre arrete sur sur mon courant d'air
avec ton tapis volant
je vais remedie aux coquilles
merci pour le coup de main
amities
jean claude
merci mergur d'etre passe
amicalement
jean claude
de t'etre arrete sur sur mon courant d'air
avec ton tapis volant
je vais remedie aux coquilles
merci pour le coup de main
amities
jean claude
merci mergur d'etre passe
amicalement
jean claude
#292160 le courant d'air
Posted by
on 26 January 2006 - 04:06 PM
in
Salon de publication principal
en esperant que ce petit courant
permettra a la feuille d'octobre
d'aller danser dans les vent d'automne
pour y retrouver l'ange
qui plane a l'aide de ce courant d'air coquin
amicalement
jean claude
permettra a la feuille d'octobre
d'aller danser dans les vent d'automne
pour y retrouver l'ange
qui plane a l'aide de ce courant d'air coquin
amicalement
jean claude
#292108 le courant d'air
Posted by
on 26 January 2006 - 02:00 PM
in
Salon de publication principal
merci Alain
pour ce commentaire
c'est simplement
un courant d'air
coquin pour rechauffer l'atmosphere
par les temps qui courent
amicalement
jean claude
pour ce commentaire
c'est simplement
un courant d'air
coquin pour rechauffer l'atmosphere
par les temps qui courent
amicalement
jean claude
#291921 le courant d'air
Posted by
on 25 January 2006 - 11:42 PM
in
Salon de publication principal
LE COURANT D’AIR
Au-delà de minuit dans la douceur du soir
Je deviens courant d’air pour poser la caresse
Sur ton corps engourdi d’un sommeil qui s’empresse
De te garder pour lui dans son beau manteau noir.
Je laisse aller mes doigts sur ta peau qui paresse
Sous la blancheur d’un drap qui cache mon espoir
De te voir t’éveiller nue devant le miroir
Où se reflète un corps offert à la tendresse.
Je suis ce courant d’air qui vient et qui se glisse
Profiteur de l’instant et de ta nudité
Pour réveiller un peu ce désir oublié
Qui vient se nicher prés, tout prés de ta cuisse.
Je suis ce vent secret porteur de ce plaisir
Qui s’endors chaque soir dans de sombres abysses
Emportant tout ton corps sans que tu réagisses
Dans la froideur des nuits où tu t’en va dormir.
Je serai l’ouragan pour te sortir duchesse
Des heures sans amours des printemps inassouvis
Je te ferais bondir, bravant les interdits.
Pour qu’au petit matin tu sois belle princesse.
Je viendrais dévaster les bordures d’un lit
Pour abreuvez ton corps de toutes mes caresses
Et dès l’aube ta peau, gavée de ces ivresses,
Encore rougira de ce désir enfuit.
jc-blondel
Au-delà de minuit dans la douceur du soir
Je deviens courant d’air pour poser la caresse
Sur ton corps engourdi d’un sommeil qui s’empresse
De te garder pour lui dans son beau manteau noir.
Je laisse aller mes doigts sur ta peau qui paresse
Sous la blancheur d’un drap qui cache mon espoir
De te voir t’éveiller nue devant le miroir
Où se reflète un corps offert à la tendresse.
Je suis ce courant d’air qui vient et qui se glisse
Profiteur de l’instant et de ta nudité
Pour réveiller un peu ce désir oublié
Qui vient se nicher prés, tout prés de ta cuisse.
Je suis ce vent secret porteur de ce plaisir
Qui s’endors chaque soir dans de sombres abysses
Emportant tout ton corps sans que tu réagisses
Dans la froideur des nuits où tu t’en va dormir.
Je serai l’ouragan pour te sortir duchesse
Des heures sans amours des printemps inassouvis
Je te ferais bondir, bravant les interdits.
Pour qu’au petit matin tu sois belle princesse.
Je viendrais dévaster les bordures d’un lit
Pour abreuvez ton corps de toutes mes caresses
Et dès l’aube ta peau, gavée de ces ivresses,
Encore rougira de ce désir enfuit.
jc-blondel
#291913 bavardages
Posted by
on 25 January 2006 - 11:35 PM
in
Salon de publication principal
BARVARDAGES
Le bel oiseau sifflait dans le vert des feuillages
Il entamait ainsi, un précieux bavardage
Racontant sans soucis, aux autres emplumés
Le récit virevoltant de sa folle journée.
Le chanteur d’un moment dans les feuilles cachées
Charmant les deux amants tendrement enlacés
Le voici paradant montrant au voisinage
Qu’il était le plus beau, drapé dans son plumage.
Le bel oiseau s’est tu sentant venir l’orage
En cohortes serrés voilà de gris nuages
Ayant pour ce futur très proche décidé
De déverser son eau sur ce parc enchanté.
.
Le bel oiseau s’enfuit les ailes déployées
Laissant là, sur le banc ces amants tout mouillés
Il reprenait ainsi son merveilleux voyage
En allant colporter, plus loin, ses bavardages.
jc-blondel
Le bel oiseau sifflait dans le vert des feuillages
Il entamait ainsi, un précieux bavardage
Racontant sans soucis, aux autres emplumés
Le récit virevoltant de sa folle journée.
Le chanteur d’un moment dans les feuilles cachées
Charmant les deux amants tendrement enlacés
Le voici paradant montrant au voisinage
Qu’il était le plus beau, drapé dans son plumage.
Le bel oiseau s’est tu sentant venir l’orage
En cohortes serrés voilà de gris nuages
Ayant pour ce futur très proche décidé
De déverser son eau sur ce parc enchanté.
.
Le bel oiseau s’enfuit les ailes déployées
Laissant là, sur le banc ces amants tout mouillés
Il reprenait ainsi son merveilleux voyage
En allant colporter, plus loin, ses bavardages.
jc-blondel
#291496 belles revenues
Posted by
on 25 January 2006 - 01:12 PM
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Salon de publication principal
merci mergur d'etre passe
amicalement
jean claude
amicalement
jean claude
#291335 belles revenues
Posted by
on 25 January 2006 - 01:35 AM
in
Salon de publication principal
BELLE REVENUE
La belle revenue des rêves de passage
Hante encore le noir de mes songes trop sages
Promettant des demains où tout est éternel
Et que le bleu sera la couleur de mon ciel.
L’ondine qui savait, en ouvrant son corsage,
M’offrir pour un instant ses fruits sauvages
Emprisonna mon cœur dans un bel archipel
Où le plaisir n’aurait qu’un grand lit pour autel.
Princesse d’un pays où rien ne fait ombrage
A l’amour sans façon à l’abri de l’orage
Tu donnes au désir un élan perpétuel
Pour emmener nos corps dans un beau carrousel.
Diablesse quelquefois trônant sur les naufrages
Au moindre coup de vent dès les premiers tangages
Vous parsemez parfois notre contrat mutuel
D’aigreurs consumées, de doute criminel.
Femmes tout simplement, battantes de courage,
Aimantes sans regret, maîtresses sans partage
Lorsque votre beauté prend des saveurs de miel
Vous donnez à nos nuits le rêve originel.
jc-blondel
La belle revenue des rêves de passage
Hante encore le noir de mes songes trop sages
Promettant des demains où tout est éternel
Et que le bleu sera la couleur de mon ciel.
L’ondine qui savait, en ouvrant son corsage,
M’offrir pour un instant ses fruits sauvages
Emprisonna mon cœur dans un bel archipel
Où le plaisir n’aurait qu’un grand lit pour autel.
Princesse d’un pays où rien ne fait ombrage
A l’amour sans façon à l’abri de l’orage
Tu donnes au désir un élan perpétuel
Pour emmener nos corps dans un beau carrousel.
Diablesse quelquefois trônant sur les naufrages
Au moindre coup de vent dès les premiers tangages
Vous parsemez parfois notre contrat mutuel
D’aigreurs consumées, de doute criminel.
Femmes tout simplement, battantes de courage,
Aimantes sans regret, maîtresses sans partage
Lorsque votre beauté prend des saveurs de miel
Vous donnez à nos nuits le rêve originel.
jc-blondel
