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There have been 13 items by OdiN.Cs (Search limited from 24-September 23)
#276866 J'irai dormir....
Posted by OdiN.Cs on 11 December 2005 - 02:26 PM in Salon de publication principal
#274972 Insomnies
Posted by OdiN.Cs on 05 December 2005 - 08:50 PM in Salon de publication principal
#274971 Mes amours mécaniques
Posted by OdiN.Cs on 05 December 2005 - 08:47 PM in Salon de publication principal
#142626 L'ange
Posted by OdiN.Cs on 11 January 2005 - 06:11 PM in Salon de publication principal
#142625 L'ange
Posted by OdiN.Cs on 11 January 2005 - 06:10 PM in Salon de publication principal
On la lui a offerte
La rose empoisonnée.
Sur son corps déposée
Il accepte cette perte.
Le spleen semble être le don
Aux êtres que la vie creuse.
L’épine est insidieuse,
Le mal, lui, est profond.
La fleur s’use, empourprée,
Dans cet immense néant.
Et vidé de son sang
L’ange peut donc s’envoler…
#142624 Insomnies
Posted by OdiN.Cs on 11 January 2005 - 06:08 PM in Salon de publication principal
#142036 Insomnies
Posted by OdiN.Cs on 10 January 2005 - 02:22 PM in Salon de publication principal
#141827 Crubist
Posted by OdiN.Cs on 09 January 2005 - 07:31 PM in Salon de publication principal
#141773 Crubist
Posted by OdiN.Cs on 09 January 2005 - 04:32 PM in Salon de publication principal
#141741 LE
Posted by OdiN.Cs on 09 January 2005 - 02:21 PM in Salon de publication principal
Continue de nous abreuve de si jolis textes.
#141696 Quand Gît Songe...
Posted by OdiN.Cs on 09 January 2005 - 11:12 AM in Salon de publication principal
#141695 Insomnies
Posted by OdiN.Cs on 09 January 2005 - 10:56 AM in Salon de publication principal
#141525 Insomnies
Posted by OdiN.Cs on 08 January 2005 - 07:17 PM in Salon de publication principal
Je suis tellement perdu dans l’océan des foules
Que tant de gens décrivent et pourtant le refoulent
Toutes les nuits me paraissent comme de longues épopées
Mon sommeil s’est perdu dans ses cheveux dorés
La toison à présent enlevée à mes yeux
Morphée n’ose plus bercer cet esprit amoureux
Les regrets enserrant mon âme dans cette torpeur
Tout espoir de repos s’enfuit avec son cœur
Cet esprit tourmenté cherchant une accalmie
Il n’arrive qu’à trouver la douleur et les cris
Et couchant quelques mots, et en avalant d’autres
Je subis ces longues nuits, vous savourez les vôtres
Envahi d’une haine pour ce qu’est ma personne
Je m’aime puis me déteste, chaque nuit je m’ordonne
De chasser et purger la noirceur de mon être
Ce dont on m’investit quand il me fallut naître
Désormais habitué à l’absence de repos
Je maudis par ces heures mon éternel fardeau
Que je patiente inerte ou que je prenne la fuite
La paix m’est jusqu’alors demeurée interdite
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