Ces quelques vers, ami, que je lis sans arrêt
Me ramenent sans cesse à votre grand talent.
Ils écument le Beau pour jeter des diamants
A la face du ciel qui, fier, va s'étoiler...
Amitiés
Baudelarme
Baudelarme's Content
There have been 185 items by Baudelarme (Search limited from 10-June 23)
#326706 Sanglot.
Posted by
on 02 June 2006 - 08:25 PM
in
Salon de publication principal
#326704 Façon.
Posted by
on 02 June 2006 - 08:20 PM
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Salon de publication principal
Que je voudrais aussi ce vent qui se dispose
A pousser dans mon dos des ailes d'évasion,
Pour oublier le sang qui en moi, en fusion,
Me bouillonne la moelle , l'épuise et la nécrose...
Beau texte
Amitiés
Baudelarme
A pousser dans mon dos des ailes d'évasion,
Pour oublier le sang qui en moi, en fusion,
Me bouillonne la moelle , l'épuise et la nécrose...
Beau texte
Amitiés
Baudelarme
#326702 Trois Fois Rien...
Posted by
on 02 June 2006 - 08:14 PM
in
Salon de publication principal
C'est parce que c'est avec trois fois rien qu'on fait un peu de tout
que vos vers eclipsent la beauté de l'eternité même,
En trois fois moins de temps qu'il ne faut pour le dire...
Amitiés
Baudelarme
que vos vers eclipsent la beauté de l'eternité même,
En trois fois moins de temps qu'il ne faut pour le dire...
Amitiés
Baudelarme
#326515 La Fin Du Jour
Posted by
on 01 June 2006 - 10:00 PM
in
Salon de publication principal
Balila
Merci à vous, Madame, d'adoucir cette épreuve
En posant sur la table quelques croissants de lune,
Pour que la vie me soit à nouveau opportune
A l 'instant de sombrer dans ce mal qui m'abreuve...
Amitiés
Baudelarme
Merci à vous, Madame, d'adoucir cette épreuve
En posant sur la table quelques croissants de lune,
Pour que la vie me soit à nouveau opportune
A l 'instant de sombrer dans ce mal qui m'abreuve...
Amitiés
Baudelarme
#326482 La Fin Du Jour
Posted by
on 01 June 2006 - 08:29 PM
in
Salon de publication principal
Henri,
Nul n'est besoin d'armure pour effleurer ces mots.
Le mal qui les dévorent n'est un mal que pour moi.
Merci d'être passé, cependant, sous ce toit
Où Bohémia entend des accents de fado...
Amitiés
Baudelarme
Merci bohémia pour tes infos : il faudra que j'essaye d'en ecouter.
Amitiés
Baudelarme
Hauteur,
Quel honneur vous me faites en trouvant le bon mot.
Le courage parfois me manque dans la nuit,
Quand je ne voudrais pas entendre d'autres bruits
Que tous ceux qui devraient toujours faire eccho...
Merci,
Amitiés
Baudelarme
Merci de ton passage Mary : le passé a quelquefois un goût amer quand un peu de bile
acidifie le présent...
Amitiés
Baudelarme
Nul n'est besoin d'armure pour effleurer ces mots.
Le mal qui les dévorent n'est un mal que pour moi.
Merci d'être passé, cependant, sous ce toit
Où Bohémia entend des accents de fado...
Amitiés
Baudelarme
Merci bohémia pour tes infos : il faudra que j'essaye d'en ecouter.
Amitiés
Baudelarme
Hauteur,
Quel honneur vous me faites en trouvant le bon mot.
Le courage parfois me manque dans la nuit,
Quand je ne voudrais pas entendre d'autres bruits
Que tous ceux qui devraient toujours faire eccho...
Merci,
Amitiés
Baudelarme
Merci de ton passage Mary : le passé a quelquefois un goût amer quand un peu de bile
acidifie le présent...
Amitiés
Baudelarme
#325692 Lettre à
Posted by
on 30 May 2006 - 05:18 AM
in
Salon de publication principal
Merci pour ces mots que mon "âme defunte" s'est collée à la peau...
J'y ai vu un reflet.
Baudelarme
J'y ai vu un reflet.
Baudelarme
#325690 Sanglot.
Posted by
on 30 May 2006 - 05:14 AM
in
Salon de publication principal
Ce texte porte en lui comme un parfum d'antan.
Il sait à votre amour joliment rendre hommage.
Elle a, grâce a vos mots, un bien beau paysage
Où l'éternité même s'est posée un instant...
Amitiés
Baudelarme
Il sait à votre amour joliment rendre hommage.
Elle a, grâce a vos mots, un bien beau paysage
Où l'éternité même s'est posée un instant...
Amitiés
Baudelarme
#325689 La Fin Du Jour
Posted by
on 30 May 2006 - 05:04 AM
in
Salon de publication principal
Merci à vous trois de votre passage. et d'avoir aimé ce texte si personnel....
Bohémia, j'avoue humblement mon ignorance en matière de fado, éclaire moi. Meci.
Amitiés
Baudelarme
Bohémia, j'avoue humblement mon ignorance en matière de fado, éclaire moi. Meci.
Amitiés
Baudelarme
#325407 La Fin Du Jour
Posted by
on 28 May 2006 - 12:30 AM
in
Salon de publication principal
Quelques ombres blaffardes traversent le couloir.
Dehors, la lune est là et pleine de rancoeur.
Un silence pesant impose sa terreur.
Et le bruit de la porte déchire alors le noir.
Une douleur étrange terrasse ma mémoire.
Un froid, long, pénétrant, me glace ainsi le coeur.
Les paupières fermées, j'écoute la douleur
Deverser sa nausée mais je ne veux rien voir.
Quelques ombres déjà s'éloignent. Des fantômes !
Des bribes insensées, des éclats, des morsures.
Et je remets alors ma peau neuve d'armure
Pour partir à l'assaut du monde qui m'entoure.
Mais pendant que les heures de faire face me somment,
Je redoute l'instant où s'eteindra le jour...
Dehors, la lune est là et pleine de rancoeur.
Un silence pesant impose sa terreur.
Et le bruit de la porte déchire alors le noir.
Une douleur étrange terrasse ma mémoire.
Un froid, long, pénétrant, me glace ainsi le coeur.
Les paupières fermées, j'écoute la douleur
Deverser sa nausée mais je ne veux rien voir.
Quelques ombres déjà s'éloignent. Des fantômes !
Des bribes insensées, des éclats, des morsures.
Et je remets alors ma peau neuve d'armure
Pour partir à l'assaut du monde qui m'entoure.
Mais pendant que les heures de faire face me somment,
Je redoute l'instant où s'eteindra le jour...
#324946 Parmi Toutes Les Choses
Posted by
on 25 May 2006 - 07:19 AM
in
Salon de publication principal
Sur son passage doux, on murmure, on chuchotte.
On prend un filet d'eau que pour elle on tricote.
Que de beauté cachée au détours de tes mots.
Je ne fais que passer mais je te dis bravo !
C'est un trés joli texte,
Merci de cette sensibilité que tu sais si bien mettre en mots...
Baudelarme
On prend un filet d'eau que pour elle on tricote.
Que de beauté cachée au détours de tes mots.
Je ne fais que passer mais je te dis bravo !
C'est un trés joli texte,
Merci de cette sensibilité que tu sais si bien mettre en mots...
Baudelarme
#324646 Ce qu'il faut
Posted by
on 23 May 2006 - 10:29 PM
in
Salon de publication principal
Ce qui parfois ne vient quand on le voudrait tant
Arrive un beau matin. Ecoutes ! Tu l'entends ?
Ce texte magnifique vaux que l'on s'y arrête.
Alors, je te salue : chapeau bas, le poète...
Amitiés
Baudelarme
PS : j'ai particulièrement aimé ce texte comme une vérité arrachée au silence
Arrive un beau matin. Ecoutes ! Tu l'entends ?
Ce texte magnifique vaux que l'on s'y arrête.
Alors, je te salue : chapeau bas, le poète...
Amitiés
Baudelarme
PS : j'ai particulièrement aimé ce texte comme une vérité arrachée au silence
#324644 Un bout de vous
Posted by
on 23 May 2006 - 10:22 PM
in
Salon de publication principal
Il sème un peu de lui, prend des souvenirs doux
Agite tout cela comme on fait des remoux
Et le voilà qui part, poétique voyage,
Aux confins d'un ailleurs, du beau dans ses bagages...
Amitiés
Baudelarme
Agite tout cela comme on fait des remoux
Et le voilà qui part, poétique voyage,
Aux confins d'un ailleurs, du beau dans ses bagages...
Amitiés
Baudelarme
#324641 Eclats d'âme.
Posted by
on 23 May 2006 - 10:13 PM
in
Salon de publication principal
Quelque chose a germé par-dessous l'écorchure,
Une perle, un joyau, un fragment d'amertume
Qui quelquefois seulement déchire alors la brume
Qui enferme toujours leurs paupières d'azur...
Jolies blessures de femme,
Baudelarme
Une perle, un joyau, un fragment d'amertume
Qui quelquefois seulement déchire alors la brume
Qui enferme toujours leurs paupières d'azur...
Jolies blessures de femme,
Baudelarme
#324638 Lune Insolente
Posted by
on 23 May 2006 - 10:07 PM
in
Salon de publication principal
SergeL,
Merci d'avoir noté par deux fois ma présence.
Le talent de Condor vallait bien un retour,
Même si je n'ai su en magnifier le cours
Comme sa plume aurait mérité qu'on y pense...
Amitiés
Baudelarme
Merci d'avoir noté par deux fois ma présence.
Le talent de Condor vallait bien un retour,
Même si je n'ai su en magnifier le cours
Comme sa plume aurait mérité qu'on y pense...
Amitiés
Baudelarme
#324634 Le Cinquième élément
Posted by
on 23 May 2006 - 09:57 PM
in
Salon de publication principal
Cela se déguste, en silence, avec douceur et l'on se prend à rêver...
Baudelarme
Baudelarme
#324631 Elle.
Posted by
on 23 May 2006 - 09:53 PM
in
Salon de publication principal
Trés joli texte.
Les 5 derniers vers sont magnifiques et d'une grande puissance évocatrice.
On vit, on vibre, on aime avec vous mon ami...
Amitiés
Baudelarme
Les 5 derniers vers sont magnifiques et d'une grande puissance évocatrice.
On vit, on vibre, on aime avec vous mon ami...
Amitiés
Baudelarme
#324630 Désinvolture
Posted by
on 23 May 2006 - 09:49 PM
in
Salon de publication principal
C'est léger, désinvolte et beau comme les aîles d'un ange...
Baudelarme
Baudelarme
#324407 Lune Insolente
Posted by
on 22 May 2006 - 09:56 PM
in
Salon de publication principal
Décocher l'insolence de revenir encore
Dépecer l'âme humaine qui se vide au comptoir.
Et entendre le bruit du silence, le soir
Deshabiller la lune qui, ignorante, dort.
Dérouter son errance aux abords d'un chemin
Que les étoiles un jour ont choisi d'oublier.
Et dans la forêt noire ou nul ne peut rester
Déposer son fardeau en attendant la fin...
Baudelarme
Dépecer l'âme humaine qui se vide au comptoir.
Et entendre le bruit du silence, le soir
Deshabiller la lune qui, ignorante, dort.
Dérouter son errance aux abords d'un chemin
Que les étoiles un jour ont choisi d'oublier.
Et dans la forêt noire ou nul ne peut rester
Déposer son fardeau en attendant la fin...
Baudelarme
#324399 Robe De Brume.
Posted by
on 22 May 2006 - 09:42 PM
in
Salon de publication principal
Lorsque le beau soudain se prend de la Hauteur,
La brume qu'il dissipe nous révéle une étoile...
Toujours autant de talent...
Baudelarme
La brume qu'il dissipe nous révéle une étoile...
Toujours autant de talent...
Baudelarme
#324398 S’encendrent Mes Nuits
Posted by
on 22 May 2006 - 09:39 PM
in
Salon de publication principal
Ce goût de naufrage, un goût de déjà vu
Pour l'avoir trop goûté, y avoir tout perdu...
Trés beau Mary...
Baudelarme
Pour l'avoir trop goûté, y avoir tout perdu...
Trés beau Mary...
Baudelarme
#321865 Amante
Posted by
on 12 May 2006 - 05:19 PM
in
Salon de publication principal
Cher Condor,
L'absence malheureuse qui te marque et t'afflige
Plante sa dent cruelle plus loin que l'épiderme,
Sans que le mal jamais ne connaisse de terme,
Et tu dors d'un sommeil ou son ombre te fige.
Plus rien n'est tout à fait comme c'était avant.
Plus rien n'a tout à fait le même goût qu'avant.
Et dans la solitude où tu tiens, aimant,
Les larmes qui s'écoulent sont des larmes de sang...
Un texte magnifique,
Amitiés
Baudelarme
L'absence malheureuse qui te marque et t'afflige
Plante sa dent cruelle plus loin que l'épiderme,
Sans que le mal jamais ne connaisse de terme,
Et tu dors d'un sommeil ou son ombre te fige.
Plus rien n'est tout à fait comme c'était avant.
Plus rien n'a tout à fait le même goût qu'avant.
Et dans la solitude où tu tiens, aimant,
Les larmes qui s'écoulent sont des larmes de sang...
Un texte magnifique,
Amitiés
Baudelarme
#321861 Lune Insolente
Posted by
on 12 May 2006 - 05:08 PM
in
Salon de publication principal
Cher Condor,
Décrocher le silence au bout de la nuit blanche
Pour que le mal encore déchire un peu les heures,
Et sentir le soleil faire grandir la douleur
Qui sur ton âme seule si durement se penche.
Percevoir sous le vent un murmure lointain
Ou pourtant de l'aimée tu perçois l'inaudible,
Et découvrir, blessé, que rien n'est plus terrible
Que de sentir encore ton coeur tout prés du sien.
Regarder l'horizon et ne plus rien y voir.
Ecouter les rumeurs et ne plus rien entendre.
Respirer chaque jour l'oxygene de cendres
Qu'elle a laissé un jour en partant vers le soir...
Amitiés
Baudelarme
Décrocher le silence au bout de la nuit blanche
Pour que le mal encore déchire un peu les heures,
Et sentir le soleil faire grandir la douleur
Qui sur ton âme seule si durement se penche.
Percevoir sous le vent un murmure lointain
Ou pourtant de l'aimée tu perçois l'inaudible,
Et découvrir, blessé, que rien n'est plus terrible
Que de sentir encore ton coeur tout prés du sien.
Regarder l'horizon et ne plus rien y voir.
Ecouter les rumeurs et ne plus rien entendre.
Respirer chaque jour l'oxygene de cendres
Qu'elle a laissé un jour en partant vers le soir...
Amitiés
Baudelarme
#319097 Elle A Peint
Posted by
on 01 May 2006 - 09:43 PM
in
Salon de publication principal
Cher Condor,
Quel étrange voyage auréolé de beau
Où le soleil, mourant, s'abandonne à la nuit
Pour que la femme, celle dont on aime les mots
Grave sur l'horizon ce qui déjà s'enfuit...
Un texte qu'on lit et qu'on relit sans se lasser, jamais...
Amitiés
Baudelarme
Quel étrange voyage auréolé de beau
Où le soleil, mourant, s'abandonne à la nuit
Pour que la femme, celle dont on aime les mots
Grave sur l'horizon ce qui déjà s'enfuit...
Un texte qu'on lit et qu'on relit sans se lasser, jamais...
Amitiés
Baudelarme
#316228 Portrait Chinois
Posted by
on 17 April 2006 - 10:09 PM
in
Salon de publication principal
Si j'étais la nature, je serais l'océan
Pour courir jour et nuit aprés le bruit du vent.
Mais si j'étais oiseau, je volerais tout l'or
Que le soleil possede pour devenir Condor...
En hommage à ta si belle plume...
Amitiés
Baudelarme
Pour courir jour et nuit aprés le bruit du vent.
Mais si j'étais oiseau, je volerais tout l'or
Que le soleil possede pour devenir Condor...
En hommage à ta si belle plume...
Amitiés
Baudelarme
#316225 Silence D'un Matin
Posted by
on 17 April 2006 - 10:02 PM
in
Salon de publication principal
Quelques maux griffonnés sur une page blanche,
Un peu de solitude, du sel et une larme,
Et vous voilà, Madame, deshabillant le parme
Pour habiller le noir sur lequel le coeur tranche.
Quelques heures pendues sur un pan de la nuit,
Une lourdeur étrange, un soupçon de nausée,
Et vous voilà, Madame, ainsi cristallisée
Sur votre âme, fragile, et qui souffre et qui vit...
Trés joli,
Amitiés
Baudelarme
Un peu de solitude, du sel et une larme,
Et vous voilà, Madame, deshabillant le parme
Pour habiller le noir sur lequel le coeur tranche.
Quelques heures pendues sur un pan de la nuit,
Une lourdeur étrange, un soupçon de nausée,
Et vous voilà, Madame, ainsi cristallisée
Sur votre âme, fragile, et qui souffre et qui vit...
Trés joli,
Amitiés
Baudelarme
