Sélène
Lune câline
Les étoiles luttent
Ma tête dans les nuages
Reflets ou mirages ?
Absences qui scintillent
Collisions d’étoiles fébriles
Lune fragile
Dure nuit, doux ennuis
Demi lune et piqûre perfide
A la sombre ombre noire
Froide, austère, et blafarde
Lumière laiteuse et lisse
Me laisse de glace
Incandescence galactique
Plaisance des nues hérétiques
Tout ces sens s’éclipsent
S’expliquent, s’évitent
Et plissent ma vie de vide
Chimère silencieuse
Besogneuse et ambitieuse
Accapare mes erreurs vertueuses
Face à cette sainte sérénité sélénique
Benoît GASTOU
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#324812 Sélène
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on 24 May 2006 - 07:20 PM
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Salon de publication principal
#321542 La Marseillaise....
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on 11 May 2006 - 07:52 PM
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Salon de publication principal
Allons mes fiers vassaux
Libérer notre mère patrie
Qui nous a nourri en son sein
Le roi est mort, vive le sort !
Dressez ce fier linge sale
Sur les toits de vos maisons
L’échos des tyrans résonne
Jusque dans vos lits défaits
Déployez vos gorges sèches
Hurlez dans les campagnes
Que les gloires de chaque jours
Viennent à bout de l’ ignominie de ces nuits
Aux larmes pauvres humains que nous sommes
Faire face sans honte à notre fabuleux destin
Sauvons, sauvons notre sang
De ce tourbillons incandescent aux reflets dorés
Benoit gASTOU
Libérer notre mère patrie
Qui nous a nourri en son sein
Le roi est mort, vive le sort !
Dressez ce fier linge sale
Sur les toits de vos maisons
L’échos des tyrans résonne
Jusque dans vos lits défaits
Déployez vos gorges sèches
Hurlez dans les campagnes
Que les gloires de chaque jours
Viennent à bout de l’ ignominie de ces nuits
Aux larmes pauvres humains que nous sommes
Faire face sans honte à notre fabuleux destin
Sauvons, sauvons notre sang
De ce tourbillons incandescent aux reflets dorés
Benoit gASTOU
#320875 Si Le Croque Mort
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on 09 May 2006 - 05:00 PM
in
Le petit salon...
Si le croque mort ne sait plus comment s’habiller
Pourrais-je essayer ce sourire pleins de sens ?
Quitte à survivre sous ces singuliers cyprès
Les costumes sombres sont leurs ombres
Le regard vif en plein air, perdu dans la lumière
Donne moi une seule raison de rester
Allonger là, à boire de grandes gorgées d’eaux salés
Engourdi et tétanisé, les yeux perdus dans le bleu
La terre, la poussière me restent familière
Si le croque mort ne trouve plus son habit
J’aurai quand même un peu de répit
Avant de m’étendre encore dans cette ultime pénombre
BENOIT GASTOU
Pourrais-je essayer ce sourire pleins de sens ?
Quitte à survivre sous ces singuliers cyprès
Les costumes sombres sont leurs ombres
Le regard vif en plein air, perdu dans la lumière
Donne moi une seule raison de rester
Allonger là, à boire de grandes gorgées d’eaux salés
Engourdi et tétanisé, les yeux perdus dans le bleu
La terre, la poussière me restent familière
Si le croque mort ne trouve plus son habit
J’aurai quand même un peu de répit
Avant de m’étendre encore dans cette ultime pénombre
BENOIT GASTOU
#320874 Ces Enfants
Posted by
on 09 May 2006 - 05:00 PM
in
Le petit salon...
A voir s’amuser les enfants
J’en oublie le temps
Aux hémisphères avoisinants
Le Nord à perdu le Sud en mélangeant
Les chances et les arrogances
La pluie ne ruisselle plus en tombant
Le soleil à raison de cette ignorance
Ces enfants ne te disent pas que tu ment
Juste que maintenant il serai grand temps
De les regarder grandir en jouant
Du solide et du liquide ils n’en demandent pas tant
BENOIT GASTOU
J’en oublie le temps
Aux hémisphères avoisinants
Le Nord à perdu le Sud en mélangeant
Les chances et les arrogances
La pluie ne ruisselle plus en tombant
Le soleil à raison de cette ignorance
Ces enfants ne te disent pas que tu ment
Juste que maintenant il serai grand temps
De les regarder grandir en jouant
Du solide et du liquide ils n’en demandent pas tant
BENOIT GASTOU
#320873 Donne Moi....
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on 09 May 2006 - 04:59 PM
in
Le petit salon...
Donne moi le « dur » de ton âme
De tout ces mystères qui me hérissent
Seuls tes frissons attisent mes flammes
Aussi douces que l’intérieur de tes cuisses
Donne moi cette unique larme
Fugitive de tes peurs exquises
Fragiles au cœur secret de femme
Dessines moi cette lourde esquisse
Prends moi ces anciennes angoisses
Qui me terrassent sans relâche
Et désespèrent de ne plus me plaire
Au paroxysme de mon amour ultime
Prends moi le « mou » de mon âme
Cette breloque flasque sans équivoque
BENOIT GASTOU
De tout ces mystères qui me hérissent
Seuls tes frissons attisent mes flammes
Aussi douces que l’intérieur de tes cuisses
Donne moi cette unique larme
Fugitive de tes peurs exquises
Fragiles au cœur secret de femme
Dessines moi cette lourde esquisse
Prends moi ces anciennes angoisses
Qui me terrassent sans relâche
Et désespèrent de ne plus me plaire
Au paroxysme de mon amour ultime
Prends moi le « mou » de mon âme
Cette breloque flasque sans équivoque
BENOIT GASTOU
#320871 Mais Dis Moi......
Posted by
on 09 May 2006 - 04:58 PM
in
Salon de publication principal
Mais dis moi comment vivre
Force moi à parler de mes rires
Oblige moi à pleurer
Je ne suis qu’un humain apeuré
Si je te fait trembler
C’est que mes absences me font rentrer
Lis en moi comme un livre
Et marque les pages comme un soupir
Dérange moi dans mes crises
Ma gêne se fera plus précise
Secoue ce regard perturbé
Qui ne demande qu’a être ravivé
Et réveille mes mains paralysées
Par l’angoisse de n’être plus désiré
Toujours mes reproches trop lisses
Juste pour tes envies d’esquisses
Détruit l’armure de ma condition
Ote le masque de mes émotions
C’est le moins que tu puisses aimer
Qui bouscule et renverse mes idées
Me rend plus faible à tes avancées
Egoïsme évident et exacerbé
Par ces troublantes et étranges sensations
Pour lesquelles je ne ferai jamais de concessions
Me manque cette foutue tendresse
Te délaisses, j’acquiesce et reste ma tristesse
Plus facile à dire qu’à faire passer ces années
Ma bouche bulle comme un nouveau né
Ballotté entre le respect et l’à peu près
L’admiration que je te fait rejeter
Laisse un goût à la fois amer et sucré
Si peu de piment mentent à ma sensualité
Tu me donnes cette insatiable liesse
Ce présent vaut bien cette étrange laisse
BENOIT GASTOU
Force moi à parler de mes rires
Oblige moi à pleurer
Je ne suis qu’un humain apeuré
Si je te fait trembler
C’est que mes absences me font rentrer
Lis en moi comme un livre
Et marque les pages comme un soupir
Dérange moi dans mes crises
Ma gêne se fera plus précise
Secoue ce regard perturbé
Qui ne demande qu’a être ravivé
Et réveille mes mains paralysées
Par l’angoisse de n’être plus désiré
Toujours mes reproches trop lisses
Juste pour tes envies d’esquisses
Détruit l’armure de ma condition
Ote le masque de mes émotions
C’est le moins que tu puisses aimer
Qui bouscule et renverse mes idées
Me rend plus faible à tes avancées
Egoïsme évident et exacerbé
Par ces troublantes et étranges sensations
Pour lesquelles je ne ferai jamais de concessions
Me manque cette foutue tendresse
Te délaisses, j’acquiesce et reste ma tristesse
Plus facile à dire qu’à faire passer ces années
Ma bouche bulle comme un nouveau né
Ballotté entre le respect et l’à peu près
L’admiration que je te fait rejeter
Laisse un goût à la fois amer et sucré
Si peu de piment mentent à ma sensualité
Tu me donnes cette insatiable liesse
Ce présent vaut bien cette étrange laisse
BENOIT GASTOU
#320870 Appel Fumant
Posted by
on 09 May 2006 - 04:57 PM
in
Salon de publication principal
Appel fumant
Les libellules se libèrent
Sorties de leurs tanières elles pullulent
L’atmosphère moite d’après-guerre
Blasphème du soleil levant
Sur ces buttes de corps fumants
L’horizon sanglant s’épanche
En coulées gluantes sur les herbages
De ma vivace enfance militaire
L’innocence me paraît bien légère
Face à ces vieilles taches tenaces
Le sang, le froid, la peur m’interpellent
Ma blessure, mon trouble se résume à la chair
La mort me rappelle
BENOIT GASTOU
Les libellules se libèrent
Sorties de leurs tanières elles pullulent
L’atmosphère moite d’après-guerre
Blasphème du soleil levant
Sur ces buttes de corps fumants
L’horizon sanglant s’épanche
En coulées gluantes sur les herbages
De ma vivace enfance militaire
L’innocence me paraît bien légère
Face à ces vieilles taches tenaces
Le sang, le froid, la peur m’interpellent
Ma blessure, mon trouble se résume à la chair
La mort me rappelle
BENOIT GASTOU
#297757 Face
Posted by
on 11 February 2006 - 12:12 PM
in
Le petit salon...
MERCI
#297756 Je Me Fou
Posted by
on 11 February 2006 - 12:11 PM
in
Salon de publication principal
Citation (irena @ Feb 10 2006, 11:01 PM) <{POST_SNAPBACK}>
[u n truc de oufffffff que j'ai bien aimé
tchao
val
tchao
val
encore merci de ton soutien
VIVE LES FOUS !!!!!!!!!!!
#297755 J’adore Les Fous
Posted by
on 11 February 2006 - 12:10 PM
in
Salon de publication principal
Citation (irena @ Feb 10 2006, 11:35 PM) <{POST_SNAPBACK}>
Un monde de fous ? un monde à part ? mais qui sommes nous ? tous des fous!!! rien de plus
Amitiés,,,,,,,,,,,valérie
Amitiés,,,,,,,,,,,valérie
merci enfin une personne qui voit clair !!!!!!!!!!!!!!!!
mais c'est genial!!!!!!!!
allez les fous venez par ici !!!
#297506 Je Me Fou
Posted by
on 10 February 2006 - 07:08 PM
in
Salon de publication principal
Je me fou
Je me fou de tout
De ces rêves de gloire
Cette ambitieuse descendance
Comme ma réussite décadente
J’idolâtre l’échec
Revendique le droit à l’insouciance
Qu’importe si ma vie n’est que peine
Au moins mes rêves ne resteront pas secs
Benoit gastou
J ADORE C GENIAL !!!!!!!!!!!
c clair ça prend au tripes!!!!!!!!!!!!!!
Je me fou de tout
De ces rêves de gloire
Cette ambitieuse descendance
Comme ma réussite décadente
J’idolâtre l’échec
Revendique le droit à l’insouciance
Qu’importe si ma vie n’est que peine
Au moins mes rêves ne resteront pas secs
Benoit gastou
J ADORE C GENIAL !!!!!!!!!!!
c clair ça prend au tripes!!!!!!!!!!!!!!
#297507 Face
Posted by
on 10 February 2006 - 07:00 PM
in
Le petit salon...
Face à face
Face contre face
Reste à ta place
Enlumine moi
Sans oublier les croix
A la glace de mes artères
Préfère ce facétieux miroir
L’image qu’il te renvoie
Vaut bien son pesant de foi
A l’heure du casse
Regarde juste derrière toi
Il se peut que ton choix s’efface
Et que ma main se fasse basse
benoit gastou
Face contre face
Reste à ta place
Enlumine moi
Sans oublier les croix
A la glace de mes artères
Préfère ce facétieux miroir
L’image qu’il te renvoie
Vaut bien son pesant de foi
A l’heure du casse
Regarde juste derrière toi
Il se peut que ton choix s’efface
Et que ma main se fasse basse
benoit gastou
#297505 J’adore Les Fous
Posted by
on 10 February 2006 - 06:59 PM
in
Salon de publication principal
J’adore les fous
J’adore les fous
Burlesques et entêtés
Tout de blanc sanglés
Le regard un peu mou
Ils désertent le trou
Appelés et chahutés
Rien ne les effraies
Ni le dernier sou
Ni même le cris du loup
J’adore les fous
Benoit gastou
benoitgastou@yahoo.fr
J’adore les fous
Burlesques et entêtés
Tout de blanc sanglés
Le regard un peu mou
Ils désertent le trou
Appelés et chahutés
Rien ne les effraies
Ni le dernier sou
Ni même le cris du loup
J’adore les fous
Benoit gastou
benoitgastou@yahoo.fr
#294794 Scie Ce Vice
Posted by
on 01 February 2006 - 08:09 PM
in
Salon de publication principal
scie ce vice
Si les fleurs sifflent leurs soucis
Les arbres se perdent en palabres
Les racines restent ancrées
Bon grés mal grés
Au rythme des feuilles volantes
L’appel de l’air léger libère
Ce chuchotement végétal
Amplifiant ainsi les hurlements
Des bois meurtris
Jusqu'à la lisière de notre instinct animal
Papillonnant de souches en souches
Je me jaunis de si peu de vert
Et vomis ce gris sirupeux
Qui asphyxie mes vils envies de ville
Où ma scie vicieuse dort à l’abris des repentis
Benoit gastou
Si les fleurs sifflent leurs soucis
Les arbres se perdent en palabres
Les racines restent ancrées
Bon grés mal grés
Au rythme des feuilles volantes
L’appel de l’air léger libère
Ce chuchotement végétal
Amplifiant ainsi les hurlements
Des bois meurtris
Jusqu'à la lisière de notre instinct animal
Papillonnant de souches en souches
Je me jaunis de si peu de vert
Et vomis ce gris sirupeux
Qui asphyxie mes vils envies de ville
Où ma scie vicieuse dort à l’abris des repentis
Benoit gastou
#292601 On est venu ce soir…
Posted by
on 27 January 2006 - 01:19 PM
in
Le petit salon...
merci strofka comem tu dit c rare faut un epu remuer tout ca non??
#292600 VITE !!!
Posted by
on 27 January 2006 - 01:17 PM
in
Salon de publication principal
Vitesse en liesse
Des routes, des routes en déroutent
Des écartades des passages manqués
Des feux oubliés aux lignes blanches
En discontinue jusque dans l’iris
Des plongeons sommaires
Dans le liquide gris vomis de mes roues
Maintiens ton allure
Tu y arrive ? c’est bien !
Arrête de ronger ton frein
Et files jusqu'à t’enrouler
Autour des carcasses rouillées
Tu y est ? retiens ton pieds !
Cligne sur l’aiguille mobile
Chantes les chiffres chavirés
Hérisses ta peau de l’air rapide
Dérides tes lèvres hilares
Jusqu'à l’ivoire blanchis
De ton sourire enfoui
Les culs las se tapent de rire
Tu les sent aussi ? souris !
Remets une couche épaisse
Mets toi à l’aise
Et Allonge le bitume durci
Ça t’apaise ? alors continu…. !
Benoit gASTOU
Des routes, des routes en déroutent
Des écartades des passages manqués
Des feux oubliés aux lignes blanches
En discontinue jusque dans l’iris
Des plongeons sommaires
Dans le liquide gris vomis de mes roues
Maintiens ton allure
Tu y arrive ? c’est bien !
Arrête de ronger ton frein
Et files jusqu'à t’enrouler
Autour des carcasses rouillées
Tu y est ? retiens ton pieds !
Cligne sur l’aiguille mobile
Chantes les chiffres chavirés
Hérisses ta peau de l’air rapide
Dérides tes lèvres hilares
Jusqu'à l’ivoire blanchis
De ton sourire enfoui
Les culs las se tapent de rire
Tu les sent aussi ? souris !
Remets une couche épaisse
Mets toi à l’aise
Et Allonge le bitume durci
Ça t’apaise ? alors continu…. !
Benoit gASTOU
#286077 regarde mon ame !
Posted by
on 10 January 2006 - 08:24 PM
in
Salon de publication principal
merci
c 'est fait pour
amitiés
benoit
c 'est fait pour
amitiés
benoit
#285712 On est venu ce soir…
Posted by
on 09 January 2006 - 07:28 PM
in
Le petit salon...
Seuls au sol sur cette carpette crade
Les mains pleines et le cœur vide
En découdre avec nos vieux démons
On est venu ce soir…
Hurler à la face du monde cet insondable néant
Remplir nos verres et vider nos boites à idées
Embrumer nos globes occultes d’étranges visions
On est venu ce soir…
Caresser ces fils qui tiennent nos vies
Faire jouir le son chaud de ces matières froides
Inverser les potards pour appeler les potes partis
On est venu ce soir…
Battre l’arrière train de cette atmosphère
On fait ce pari charnu
Jusqu’aux rougeurs de l’aube
On est venu ce soir…
Prendre parti pour ces jambes
Relever la fête à bras le corps
A faire trembler nos entrailles
Benoit gastou
Les mains pleines et le cœur vide
En découdre avec nos vieux démons
On est venu ce soir…
Hurler à la face du monde cet insondable néant
Remplir nos verres et vider nos boites à idées
Embrumer nos globes occultes d’étranges visions
On est venu ce soir…
Caresser ces fils qui tiennent nos vies
Faire jouir le son chaud de ces matières froides
Inverser les potards pour appeler les potes partis
On est venu ce soir…
Battre l’arrière train de cette atmosphère
On fait ce pari charnu
Jusqu’aux rougeurs de l’aube
On est venu ce soir…
Prendre parti pour ces jambes
Relever la fête à bras le corps
A faire trembler nos entrailles
Benoit gastou
#285711 CROQUES LA LUNE !!!!
Posted by
on 09 January 2006 - 07:27 PM
in
Le petit salon...
T’as envie de croquer la lune
Marquer de tes dents son sourire
La tenir dans mes mains
Comme un abris un peu enfantin
Lui laisser sa blanche lumière
Veillée dans les noirceurs de ton cosmos
La laisser suspendu à son fils
Pour ne pas aimer la décrocher
De peur de la réveiller
Avant que l’heure ne soit pas sonnée,
Pour lui, pour elle, pour mon humanité
Qu’elle m’échappe des mains, je la perds dans mon océan
Et tu ne repêches qu’une demie
La seule moitié qui ne s’est pas mouillée
Et je découvre que c’est la bonne face, qui s’était caché
Derrière son sommeil, alors je veille toute la nuit,
En scrutant mon ennuie, à la recherche d’un peu de compassion pour mes frères d’âmes
Benoit gastou
Marquer de tes dents son sourire
La tenir dans mes mains
Comme un abris un peu enfantin
Lui laisser sa blanche lumière
Veillée dans les noirceurs de ton cosmos
La laisser suspendu à son fils
Pour ne pas aimer la décrocher
De peur de la réveiller
Avant que l’heure ne soit pas sonnée,
Pour lui, pour elle, pour mon humanité
Qu’elle m’échappe des mains, je la perds dans mon océan
Et tu ne repêches qu’une demie
La seule moitié qui ne s’est pas mouillée
Et je découvre que c’est la bonne face, qui s’était caché
Derrière son sommeil, alors je veille toute la nuit,
En scrutant mon ennuie, à la recherche d’un peu de compassion pour mes frères d’âmes
Benoit gastou
#285710 regarde mon ame !
Posted by
on 09 January 2006 - 07:27 PM
in
Salon de publication principal
Regarde moi dans l’âme
Plus loin que l’apparence physique
Plus prés du cœur
Ne me voie pas avec tes yeux
Atteins moi au cœur
Plus loin qu’un simple contact
Plus près de la caresse
Ne me touche pas avec tes mains
Ecoute mes sentiments
Plus loin qu’une déclaration
Plus prés d’un serment
Ne m’écoute pas avec tes oreilles
Dis moi ton amour
Plus loin que le mots
Plus près du sentiment
Ne me parle pas avec ta bouche
Benoit gastou
Plus loin que l’apparence physique
Plus prés du cœur
Ne me voie pas avec tes yeux
Atteins moi au cœur
Plus loin qu’un simple contact
Plus près de la caresse
Ne me touche pas avec tes mains
Ecoute mes sentiments
Plus loin qu’une déclaration
Plus prés d’un serment
Ne m’écoute pas avec tes oreilles
Dis moi ton amour
Plus loin que le mots
Plus près du sentiment
Ne me parle pas avec ta bouche
Benoit gastou
#285709 REFLETS FROISSES
Posted by
on 09 January 2006 - 07:25 PM
in
Salon de publication principal
Des reflets froissés ont brouillés ma mire
Une fois de plus, j’ai déchiré mes draps
Casser le verre du cendrier
Je rends visite à mon ami Anconetti
A trop vouloir sonder mes Abîmes
J’en oublie mes vieux vices
Et quand ça ne veut pas, ça veut encore
Je te cite en crypté et te récite en clair
Et si mon âme vaut qu’on la mime
Sache qu’elle ne parlera pas
De tes signes moribonds
Je n’en retire rien
Et de mes regards qui font mouche
Couvre ton chef et laisse moi découvrir mon crâne
Y’en a déjà beaucoup d’autres qui attendent dans les coulisses
Alors je me traîne jusqu’au pied du poteau rose
Je mets ta couleur en berne
Dans une ultime volonté
Avant que le couperet
Ne tombe à mes pieds
Benoit gastou
Une fois de plus, j’ai déchiré mes draps
Casser le verre du cendrier
Je rends visite à mon ami Anconetti
A trop vouloir sonder mes Abîmes
J’en oublie mes vieux vices
Et quand ça ne veut pas, ça veut encore
Je te cite en crypté et te récite en clair
Et si mon âme vaut qu’on la mime
Sache qu’elle ne parlera pas
De tes signes moribonds
Je n’en retire rien
Et de mes regards qui font mouche
Couvre ton chef et laisse moi découvrir mon crâne
Y’en a déjà beaucoup d’autres qui attendent dans les coulisses
Alors je me traîne jusqu’au pied du poteau rose
Je mets ta couleur en berne
Dans une ultime volonté
Avant que le couperet
Ne tombe à mes pieds
Benoit gastou
#285070 Les Lunes Bitumées
Posted by
on 06 January 2006 - 07:09 PM
in
Salon de publication principal
En attendant les lunes bitumées
Je détruis les bruits de ma vie
Et sulfates mes envies à l’envers
Les autostrades célestes s’inclinent
Se félicitent de trouer les nuées
Et ne s’arrêtent pas de terminer
Les étoiles nourrissantes saupoudrent les bouches cousues
Les filantes filent les fiertés mal assumés
Combinaisons opaques et casques de raison
Harnaché, sanglé, ma structure putrescible désespère le départ
Les tremblantes rugissent ,les secousses se coursent et mes yeux décollent de leurs orbites
Benoit GASTOU
Je détruis les bruits de ma vie
Et sulfates mes envies à l’envers
Les autostrades célestes s’inclinent
Se félicitent de trouer les nuées
Et ne s’arrêtent pas de terminer
Les étoiles nourrissantes saupoudrent les bouches cousues
Les filantes filent les fiertés mal assumés
Combinaisons opaques et casques de raison
Harnaché, sanglé, ma structure putrescible désespère le départ
Les tremblantes rugissent ,les secousses se coursent et mes yeux décollent de leurs orbites
Benoit GASTOU
#285069 Pointez, jugez, hurlez
Posted by
on 06 January 2006 - 07:08 PM
in
Salon de publication principal
Pointez, Jugez, Hurlez…
Des points, des traits, des serpentins dorés
Des points, des traits des filaments croisés
Des points, des tresses affiliées
Les os et Les « S »
Sur le stress de nos points
Pointez du doigt nos siestes « O »
Des points, des traits désabusés
Des points, des traits attitrés
Des points, des poings abimés
Les sots et les « Si »
Sur les dires de nos hôtes
Jugez-les sans lest
Des points, des traits surmenés
Des points, des traits en retrait
Des points, des traits dissimulés
Les toasts et les tests
Sur les canapés éventrés
Hurlez pour ce qui « se » …
Benoît GASTOU
Des points, des traits, des serpentins dorés
Des points, des traits des filaments croisés
Des points, des tresses affiliées
Les os et Les « S »
Sur le stress de nos points
Pointez du doigt nos siestes « O »
Des points, des traits désabusés
Des points, des traits attitrés
Des points, des poings abimés
Les sots et les « Si »
Sur les dires de nos hôtes
Jugez-les sans lest
Des points, des traits surmenés
Des points, des traits en retrait
Des points, des traits dissimulés
Les toasts et les tests
Sur les canapés éventrés
Hurlez pour ce qui « se » …
Benoît GASTOU
#280910 MOI je sais...
Posted by
on 24 December 2005 - 12:50 PM
in
Salon de publication principal
Merci beaucoup
ce qui m'interesse c'est justement d'avoir la reaction des filles car c'est pour elles que j'ai ecrit ça!!!
ce qui m'interesse c'est justement d'avoir la reaction des filles car c'est pour elles que j'ai ecrit ça!!!
#280743 Comme une bougie égarée
Posted by
on 23 December 2005 - 02:29 PM
in
Le petit salon...
A la lueur méfiante d’une bougie égarée
Je reviens sur les morceaux choisis de ma vie
Etendage de feuillets volages
Je m’illumine de milles visages
effeuille un peu plus cette triste mine
Quelques traces noirâtres me rappellent à leurs bons souvenirs
Instant d’antan ou moment présent
Ceci suinte et ceci glisse
S’ immisce jusque dans les fibres blanchis de mes offenses
Benoit gastou
Je reviens sur les morceaux choisis de ma vie
Etendage de feuillets volages
Je m’illumine de milles visages
effeuille un peu plus cette triste mine
Quelques traces noirâtres me rappellent à leurs bons souvenirs
Instant d’antan ou moment présent
Ceci suinte et ceci glisse
S’ immisce jusque dans les fibres blanchis de mes offenses
Benoit gastou
