C'était pas ... dur
Alain31's Content
There have been 46 items by Alain31 (Search limited from 07-June 23)
#280100 Devinette : Que suis-je ?
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on 21 December 2005 - 12:16 PM
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Don't worry, be raidie !
C'était pas ... dur
C'était pas ... dur
#278944 ANGOISSE PROFONDE
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on 17 December 2005 - 07:27 PM
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Citation (lacape @ Dec 17 2005, 06:53 PM) <{POST_SNAPBACK}>
... une longue descente, vertigineuse, l'angoisse de mourir ...
Pas l'angoisse ... surtout pas !
#278942 Noël des Exclus
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on 17 December 2005 - 07:20 PM
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Tu cries dans le désert.
Tu déranges à noël,
t'es gonflé.
C'est pas TLPment correct ce que tu dis-là.
T'as compté les posts sur les évènements de novembre ici ?
Ils tiennent sur les doigts d'une main.
Je ne parle pas des 2 ou 3 miasmes chiés par quelques nazillons qui trainent impunément leur haine sur ce forum, mais de textes ou poèmes qui ont entendu la douleur des ghettos.
Tu déranges à noël,
t'es gonflé.
C'est pas TLPment correct ce que tu dis-là.
T'as compté les posts sur les évènements de novembre ici ?
Ils tiennent sur les doigts d'une main.
Je ne parle pas des 2 ou 3 miasmes chiés par quelques nazillons qui trainent impunément leur haine sur ce forum, mais de textes ou poèmes qui ont entendu la douleur des ghettos.
#277622 I Grec
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on 13 December 2005 - 01:03 PM
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Un jour, peut-être,
sait-on jamais ?
tu essaieras,
mais, sans les pieds !
Avec la tête,
ça marche aussi !
Ca peut être beau,
la poésie !
sait-on jamais ?
tu essaieras,
mais, sans les pieds !
Avec la tête,
ça marche aussi !
Ca peut être beau,
la poésie !
#277586 Espoir
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on 13 December 2005 - 10:34 AM
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Songe qu'une nuit,
tout ce temps perdu,
je serai venu,
tué par l'ennui.
J'aurai mis à nu,
pétales de vie,
un peu ma folie,
beaucoup d'inconnues.
Passionement, j'aime,
à la folie même,
pas du tout la vie.
La mort qui m'épie.
Je t'aime.
tout ce temps perdu,
je serai venu,
tué par l'ennui.
J'aurai mis à nu,
pétales de vie,
un peu ma folie,
beaucoup d'inconnues.
Passionement, j'aime,
à la folie même,
pas du tout la vie.
La mort qui m'épie.
Je t'aime.
#276734 Pour que ne reste
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on 11 December 2005 - 12:31 AM
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Citation (coucou @ Dec 10 2005, 08:38 PM) <{POST_SNAPBACK}>
tu sais on un point commun, toi et moi ........... toi et moi ou Moi et toi
Je viens de te lire dans noel est noel.
merci
#276732 Aux vents du sud
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on 11 December 2005 - 12:20 AM
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Citation (Condor @ Dec 10 2005, 10:10 PM) <{POST_SNAPBACK}>
Il faut écrire comme on le sent. 
Je ne t'en veux pas de ressentir ce que tu ressens et d'aimer ce que tu aimes. Mais j'en veux à Alain31 de donner des explications techniques erronées, qui peuvent induire en erreur des personnes qui liraient ses commentaires. 
Je ne t'en veux pas de ressentir ce que tu ressens et d'aimer ce que tu aimes. Mais j'en veux à Alain31 de donner des explications techniques erronées, qui peuvent induire en erreur des personnes qui liraient ses commentaires. Condor, sauf le respect que je te dois pour la très grande qualité de tes poèmes, pourrais-tu m'expliquer ce que tu reproches vraiment à ce vers "L'océan, complice, vint s'ancrer à bâbord" ?
Il est vrai que ta proposition:"Complice, l'océan vint s'ancrer à bâbord" est plus fluide mais je pense que l'auteur a volontairement placé "L'océan" en tête de son vers, pour le mettre en valeur.
En poésie, la liberté est seule maîtresse à bord.
Mais je veux bien de tes conseils s'ils sont avisés.
Baliba, ton vers initial " Soudée à cette envie de clouer les étoiles" était parfait, il comptait bien douze pieds.
#276687 TO AQABARAMAZOV
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on 10 December 2005 - 08:58 PM
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Merci Dedalus, très très beau.
Ne crache pas sur Zola, il t'aurait aimé, je crois bien !
Ton poème va plaire à kerfon-le-faf !!!
Ne crache pas sur Zola, il t'aurait aimé, je crois bien !
Ton poème va plaire à kerfon-le-faf !!!
#276684 A cou vers
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on 10 December 2005 - 08:36 PM
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Zeek, c'est un site de "poésie" ... pas de "rime" !!!
#276682 Pour que ne reste
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on 10 December 2005 - 08:34 PM
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Bien, ton poème !
Quand, comme ici, tu ne cherches pas à faire de la rime pour de la rime, ça ressemble à quelque chose.
Quand, comme ici, tu ne cherches pas à faire de la rime pour de la rime, ça ressemble à quelque chose.
#276681 Noël est Noël
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on 10 December 2005 - 08:27 PM
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T'aurais pu nous éviter "doux jésus", NON DE DIEU !
#276677 Oh ! douce nuit...
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on 10 December 2005 - 08:11 PM
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Putain, ça pue le FN, ici !
Toi, le modérateur, t'attends quoi ?
Que toute la bande à kerfon-le-faf s'installe sur TLP ?
Ca te fait pas gerber, ces insultes vomies pour la nième fois ?
Choisis ton camp, tu le vires ou tu me vires, mais pour une fois, rends-toi utile !
Y a urgence !!!
Alain31
Je reposte ici, ce que j'avais écrit il y a moins d'un mois.
(Pour faire gerber kelcon et ses complices !)
La rue sait qu'elle a faim.
Elle n'entend plus les histoires à s'endormir flouée.
Les promesses n'engraissent que ceux qui les vomissent.
A trop avoir gentiment gobé ce vomi, la rue le rend, chaud.
Qui semait la disette récolte l'épouvante.
Tombent les allumettes sur les bombes roulantes.
Les cages grises cachent des tigres affamés.
Les effluves des ripailles de la ville dégoulinent jusqu'aux naseaux des fauves.
La faim ouvre les yeux et vole le sommeil.
Tendre la main, demander sa part et se faire taper sur les doigts.
Les crocs s'affutent dans le noir.
Alors vient le temps de mordre, de retourner le fouet.
Les rôles sont inversés, les coups partent d'en bas.
C'est les fauves qui agitent les torches et encerclent la ville.
Le dompteur fait le beau quand le lion est en cage.
Il devient le gigot des affamés sauvages.
Il a fait lionceaux, des chatons qu'il tenait prisonniers dans ses classes fermées.
Entre des murs-barreaux, il jetait sa pâtée.
Mangez, y en a pas d'autre.
La pâtée-vérité, somnifère, la pâtée juste et bonne.
Vos ancêtres, les gaulois ... la Loire prend sa source ... le participe passé s'accorde ... deux et deux font ...
Et un, jamais ?
Non, tu n'es pas !
Le troupeau est !
Ceux qui ne suivent pas ont du bâton.
Du blanc cassé au noir, en passant pas le beur, le breton, le kabyle, le corse, l'arabe, l'occitan, le juif, le basque, le roux, le boiteux, la fille, le bègue ...
La machine est rodée, chaque pièce qui gêne est jetée au rebut.
Mais le rebut s'ameute et la meute a grandit.
Elle a faim maintenant.
Faim de rêve, de justice, faim d'une place entière.
Le bâton, elle a vu comment on s'en servait.
Son dos s'en souviens.
Alors, elle s'en sert.
Place, bourreau !
Pose ta tête vide sur ton billot ... ou choisi le bûcher !
08 octobre 2005
Toi, le modérateur, t'attends quoi ?
Que toute la bande à kerfon-le-faf s'installe sur TLP ?
Ca te fait pas gerber, ces insultes vomies pour la nième fois ?
Choisis ton camp, tu le vires ou tu me vires, mais pour une fois, rends-toi utile !
Y a urgence !!!
Alain31
Je reposte ici, ce que j'avais écrit il y a moins d'un mois.
(Pour faire gerber kelcon et ses complices !)
La rue sait qu'elle a faim.
Elle n'entend plus les histoires à s'endormir flouée.
Les promesses n'engraissent que ceux qui les vomissent.
A trop avoir gentiment gobé ce vomi, la rue le rend, chaud.
Qui semait la disette récolte l'épouvante.
Tombent les allumettes sur les bombes roulantes.
Les cages grises cachent des tigres affamés.
Les effluves des ripailles de la ville dégoulinent jusqu'aux naseaux des fauves.
La faim ouvre les yeux et vole le sommeil.
Tendre la main, demander sa part et se faire taper sur les doigts.
Les crocs s'affutent dans le noir.
Alors vient le temps de mordre, de retourner le fouet.
Les rôles sont inversés, les coups partent d'en bas.
C'est les fauves qui agitent les torches et encerclent la ville.
Le dompteur fait le beau quand le lion est en cage.
Il devient le gigot des affamés sauvages.
Il a fait lionceaux, des chatons qu'il tenait prisonniers dans ses classes fermées.
Entre des murs-barreaux, il jetait sa pâtée.
Mangez, y en a pas d'autre.
La pâtée-vérité, somnifère, la pâtée juste et bonne.
Vos ancêtres, les gaulois ... la Loire prend sa source ... le participe passé s'accorde ... deux et deux font ...
Et un, jamais ?
Non, tu n'es pas !
Le troupeau est !
Ceux qui ne suivent pas ont du bâton.
Du blanc cassé au noir, en passant pas le beur, le breton, le kabyle, le corse, l'arabe, l'occitan, le juif, le basque, le roux, le boiteux, la fille, le bègue ...
La machine est rodée, chaque pièce qui gêne est jetée au rebut.
Mais le rebut s'ameute et la meute a grandit.
Elle a faim maintenant.
Faim de rêve, de justice, faim d'une place entière.
Le bâton, elle a vu comment on s'en servait.
Son dos s'en souviens.
Alors, elle s'en sert.
Place, bourreau !
Pose ta tête vide sur ton billot ... ou choisi le bûcher !
08 octobre 2005
#276655 Aux vents du sud
Posted by
on 10 December 2005 - 06:55 PM
in
Salon de publication principal
Très beau poème, Balila.
Puisque tu as choisi une structure à douze pieds, tu devrais en ajouter un au huitième vers.
Pour ce qui est du onzième vers "L'océan, complice, vint s'ancrer à bâbord", tu as parfaitement "le droit" de le laisser tel qu'il est, il est très bien.
Les règles de la poésie classique s'accommodant parfaitement bien des alexandrins, le "e" final de "complice" n'étant ni devant une voyelle, ni à la fin du vers, ce mot compte bien trois syllabes.
Tu pourrais, comme il te l'a été suggéré, inverser les deux premiers mots, ce qui deviendrait: "Complice, l'océan vint s'ancrer à bâbord".
La lecture en serait simplifiée pour les "parisianistes" mais Paris n'est pas la France.
Ce vers ne me pose personnellement aucun problème.
Par respect pour "l'océan", je préfère que tu l'aies placé en début de phrase car c'est bien lui le personnage central de ce vers, et il n'est qu'accessoirement "complice".
J'y suis d'autant plus sensible, qu'en Occitanie, où ma langue est la langue de la poésie par excellence, on ne dit pas "la Garonne" mais on dit "Garonne".
Adieusiatz
Puisque tu as choisi une structure à douze pieds, tu devrais en ajouter un au huitième vers.
Pour ce qui est du onzième vers "L'océan, complice, vint s'ancrer à bâbord", tu as parfaitement "le droit" de le laisser tel qu'il est, il est très bien.
Les règles de la poésie classique s'accommodant parfaitement bien des alexandrins,
le "e" final de "complice" n'étant ni devant une voyelle, ni à la fin du vers, ce mot compte bien trois syllabes.Tu pourrais, comme il te l'a été suggéré, inverser les deux premiers mots, ce qui deviendrait: "Complice, l'océan vint s'ancrer à bâbord".
La lecture en serait simplifiée pour les "parisianistes" mais Paris n'est pas la France.
Ce vers ne me pose personnellement aucun problème.
Par respect pour "l'océan", je préfère que tu l'aies placé en début de phrase car c'est bien lui le personnage central de ce vers, et il n'est qu'accessoirement "complice".
J'y suis d'autant plus sensible, qu'en Occitanie, où ma langue est la langue de la poésie par excellence, on ne dit pas "la Garonne" mais on dit "Garonne".
Adieusiatz
#276196 Un soir à Bordeaux
Posted by
on 09 December 2005 - 11:38 AM
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Salon de publication principal
Je ne connais pas Bordeaux, mais ton magnifique poème me fait l'aimer déjà.
Je t'envoie, par Garonne, mes amitiés.
(En occitanie, on ne dit pas "la Garonne", on l'appelle "Garonne".
Je ne le dis pas pour ton texte superbe, mais pour expliquer ma deuxième ligne.)
Pense à cliquer sur "Mon espace" puis sur "Changer le nom d'affichage" pour que ton pseudo nous soit visible.
Petite remarque: le dixième vers compte un pied de trop.
Suggestion: tu peux simplement supprimer le "e" final de "encore".
Je t'envoie, par Garonne, mes amitiés.
(En occitanie, on ne dit pas "la Garonne", on l'appelle "Garonne".
Je ne le dis pas pour ton texte superbe, mais pour expliquer ma deuxième ligne.)
Pense à cliquer sur "Mon espace" puis sur "Changer le nom d'affichage" pour que ton pseudo nous soit visible.
Petite remarque: le dixième vers compte un pied de trop.
Suggestion: tu peux simplement supprimer le "e" final de "encore".
#276180 Présentation
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on 09 December 2005 - 11:13 AM
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Tu commences à me plaire HXBC6 !
#276177 Sur des rythmes urbains
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on 09 December 2005 - 11:08 AM
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La dernière strophe ?
La plus belle, le coup de grâce !
Eh, oui, ça fait mal où on touche.
La plus belle, le coup de grâce !
Eh, oui, ça fait mal où on touche.
#276167 Si vous avez trente secondes devant vous....
Posted by
on 09 December 2005 - 10:51 AM
in
Salon de publication principal
Citation (Zeek @ Dec 9 2005, 08:59 AM) <{POST_SNAPBACK}>
Je ne suis pas d'accrod avec cette strophe. L'art ce doit d'être de l'art dans tous les sens parlant du terme. L'art muet n'a jamais existé !
C'est précisement ce qu'il dit !
Tu devrais le relire, Zeek, mais entre les lignes aussi !!!
**********
Slt HXBC6 !
R H3PM5E2
2 R8T5SG7
D T7F4SG7
2 B5NB5E2
#275718 LA SOIE ET L'OR
Posted by
on 08 December 2005 - 10:31 AM
in
Salon de publication principal
Quelqu'un, ici, avait soulevé le problème du nombre de pieds.
Sur ce point, il avait parfaitement raison.
Pour une construction parfaite en 8/8/4/2, tu devrais enlever un pied au sixième vers.
A la place de "A la lumière de ton sourire " tu pourrais dire "A ta lumière de sourire".
Mais ce n'est qu'une suggestion, je ne me premettrais pas de te dire ce que tu dois écrire.
Tu as raison de dire "... il ne s'agit que d'un petit poème d'amour balancé sur le net".
Mais, il est charmant ton petit poème d'amour.
Sa structure est agréable à lire et lui donne un rythme sympa.
En résumé, il me plait beaucoup.
Amitiés
Sur ce point, il avait parfaitement raison.
Pour une construction parfaite en 8/8/4/2, tu devrais enlever un pied au sixième vers.
A la place de "A la lumière de ton sourire " tu pourrais dire "A ta lumière de sourire".
Mais ce n'est qu'une suggestion, je ne me premettrais pas de te dire ce que tu dois écrire.
Tu as raison de dire "... il ne s'agit que d'un petit poème d'amour balancé sur le net".
Mais, il est charmant ton petit poème d'amour.
Sa structure est agréable à lire et lui donne un rythme sympa.
En résumé, il me plait beaucoup.
Amitiés
#273691 Le pont Mirabeau par Guillaume Apollinaire
Posted by
on 30 November 2005 - 10:43 AM
in
Le petit salon...
Il me court des frissons
et des larmes de joie.
L'ivresse d'une voix,
un pont en émotion.
Merci Timothée pour ce trésor.
(Enregistrement du 24 décembre 1913 à la BNF)
et des larmes de joie.
L'ivresse d'une voix,
un pont en émotion.
Merci Timothée pour ce trésor.
(Enregistrement du 24 décembre 1913 à la BNF)
#273408 Rimes
Posted by
on 29 November 2005 - 01:25 PM
in
Le petit salon...
Citation (bohemia @ Nov 28 2005, 10:55 PM) <{POST_SNAPBACK}>
Et avec quel soft je transforme mon .wav en .mp3?
Bohémia
Bohémia
Bonjour bohemia,
Tu peux utiliser CDex qui est un freeware très simple d'emploi.
Voici un lien où tu peux le télécharger, ensuite tu l'installes.
Après, tu l'ouvres, tu cliques sur "Conversion" dans la barre de menu, en haut, et tu sélectionnes "WAV -> MPEG".
Tu choisis ton fichier source en .wav et tu cliques sur "Convertir".
Ton fichier en .mp3 sera alors créé dans ton dossier "... Mes documents\Ma musique".
@+
Alain
#273184 TROIS PETITS TOURS . . .
Posted by
on 28 November 2005 - 05:05 PM
in
Salon de publication principal
Tout en haut du bleu, il est écrit, sur la même ligne:
"Connecté en tant que : Mon espace · Voir les nouveaux messages · Mon assistant · 0 message(s)"
Alain
"Connecté en tant que : Mon espace · Voir les nouveaux messages · Mon assistant · 0 message(s)"
Alain
#272892 TROIS PETITS TOURS . . .
Posted by
on 27 November 2005 - 06:27 PM
in
Salon de publication principal
Grande émotion, poésie.
Merci.
PS: Pense à cliquer sur "Mon espace" puis sur "Changer le nom d'affichage", c'est nécessaire depuis que ce forum à changé, vers le 11 nov 2005
Merci.
PS: Pense à cliquer sur "Mon espace" puis sur "Changer le nom d'affichage", c'est nécessaire depuis que ce forum à changé, vers le 11 nov 2005
#272891 Lettre à Victor...!
Posted by
on 27 November 2005 - 06:15 PM
in
Salon de publication principal
"Pauvre Victor Hugo,
Mon ami de la rime ..." ?????
Non, Victor Hugo était l'ami de la Poésie ... pas de la rime !
Il n'aurait jamais été l'ami d'un ennemi du Peuple, si frêle soit ce peuple.
En d'autres temps, les Poètes savaient voir la misère derrière le rideau de fumée.
Ils ne lui portaient pas le coup de grâce, surtout quand elle est à terre.
Alain
Mon ami de la rime ..." ?????
Non, Victor Hugo était l'ami de la Poésie ... pas de la rime !
Il n'aurait jamais été l'ami d'un ennemi du Peuple, si frêle soit ce peuple.
En d'autres temps, les Poètes savaient voir la misère derrière le rideau de fumée.
Ils ne lui portaient pas le coup de grâce, surtout quand elle est à terre.
Alain
#272712 >..........QU'EST-CE QU'ELLE A MA TRONCHE ?
Posted by
on 26 November 2005 - 07:08 PM
in
Salon de publication principal
t'Ecris n'importe Quoi ...eT je m'en Bat les Ailes!
... et ya pas de quoi en faire un fromage !!!
mais, le publier ici, oui !
Merci de nous ouvrir la porte sur tes neurones.
Amicalement
Alain
... et ya pas de quoi en faire un fromage !!!
mais, le publier ici, oui !
Merci de nous ouvrir la porte sur tes neurones.
Amicalement
Alain
#272421 Claire de lune
Posted by
on 25 November 2005 - 11:59 AM
in
Salon de publication principal
Ta tête, blottie sur mon épaule nue,
inonde de tes longs cheveux épars
ma poitrine offerte où brillent encore les perles
d'une sueur exquise.
Ta main vagabonde guide tes doigts légers
qui viennent butiner sur la peau de mon cou,
pour l'apprendre par cœur, avec délicatesse,
comme un papillon frôle de sa trompe une fleur.
Ta jambe posée sur mes jambes étales, à demi repliée,
comme un soleil couchant embrasse l'horizon,
avec tes doigts de pieds pour délicieux rayons,
me couvre d'une douce tiédeur voluptueuse.
Tes cils se désunissent et te laissent entrevoir des dunes de délices,
mais tu redoutes encore que ce ne soit qu'un rêve.
Nos regards se retrouvent et nos yeux sympathisent.
Alors, rassérénée, ton visage s'éclaire d'un sourire radieux.
Ta peau douce frémit sous mes doigts vagabonds.
Ta bouche trouve mes lèvres, tes mains sculptent mon corps.
Tout ton être se cambre, se déchaîne et chavire,
parsemé de diamants de sueur étincelants sous la lune complice.
inonde de tes longs cheveux épars
ma poitrine offerte où brillent encore les perles
d'une sueur exquise.
Ta main vagabonde guide tes doigts légers
qui viennent butiner sur la peau de mon cou,
pour l'apprendre par cœur, avec délicatesse,
comme un papillon frôle de sa trompe une fleur.
Ta jambe posée sur mes jambes étales, à demi repliée,
comme un soleil couchant embrasse l'horizon,
avec tes doigts de pieds pour délicieux rayons,
me couvre d'une douce tiédeur voluptueuse.
Tes cils se désunissent et te laissent entrevoir des dunes de délices,
mais tu redoutes encore que ce ne soit qu'un rêve.
Nos regards se retrouvent et nos yeux sympathisent.
Alors, rassérénée, ton visage s'éclaire d'un sourire radieux.
Ta peau douce frémit sous mes doigts vagabonds.
Ta bouche trouve mes lèvres, tes mains sculptent mon corps.
Tout ton être se cambre, se déchaîne et chavire,
parsemé de diamants de sueur étincelants sous la lune complice.
