Y’avait un mec qui chantait
« Born in the USA »
C’était y’a combien de temps ?
C’était alors moins déprimant….
On était rebelles,
La vie était belle
Dans l’indiscipline
Loin de l’usine…..
Perfecto sur le dos
Foutu bande d’ados
Qui jouaient aux cons
Dans la banlieue de Lyon.
Aujourd’hui qu’en est-il ?
De ces souvenirs débiles ?
Quelques mots écrits à la vas-vite…
Avant qu’ils ne prennent la fuite….
Le destin
A séparer les chemins…
Tôle, cimetière, dope pour plusieurs
Pour d’autres, famille, boulot, et pleurs….
« J’ai pris mon premier coup de pied quand j’ai touché terre » (1),
Le passé à parfois un goût bien amer…
Que les fantômes s’en aillent…
Je ne veux plus livrer bataille……
(1) Bruce Springsteen : Born in the USA
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#331614 Passé
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on 27 June 2006 - 12:14 PM
in
Salon de publication principal
#283338 Tout Continue
Posted by
on 01 January 2006 - 07:31 PM
in
Salon de publication principal
Nouvelle session
Pour les engagements
Si fragiles
Qui volent comme les feuilles…
Lendemain de fête
Les cotillons,
Les sapins
Tombent sur le plancher.
Aucun bouleversement
En vue,
Tout semble si semblable
Sous la pluie froide et grise…..
Allongé dans ma chambre,
Lumières éteintes,
Je reprends mon rôle
D’éternel dépressif mélancolique….
En novembre
Il pleuvra toujours dans mon cœur
En Août
Le soleil brûlera toujours mes blessures….
Rien de nouveau
Tout continue
Mouvement perpétuel
Terrible mécanisme inébranlable….
Pour les engagements
Si fragiles
Qui volent comme les feuilles…
Lendemain de fête
Les cotillons,
Les sapins
Tombent sur le plancher.
Aucun bouleversement
En vue,
Tout semble si semblable
Sous la pluie froide et grise…..
Allongé dans ma chambre,
Lumières éteintes,
Je reprends mon rôle
D’éternel dépressif mélancolique….
En novembre
Il pleuvra toujours dans mon cœur
En Août
Le soleil brûlera toujours mes blessures….
Rien de nouveau
Tout continue
Mouvement perpétuel
Terrible mécanisme inébranlable….
#283084 Je mute
Posted by
on 31 December 2005 - 02:58 PM
in
Salon de publication principal
Je recherche le silence
Dans ma non-existence
Je cours dans la cité
Traquant l’obscurité…
Dans le bordel
De ce monde artificiel
Il y a des brutes
Qui nous exécutent….
La vie est accessoire
Dans la sphère noire
Saturée d’excréments
Et où l’on se ment….
Sous les néons
D’amusements bidons
J’aspire
Et expire…..
Dans la poussière
Je cherche le sanctuaire
Où je trouverais le repos
Loin du chaos….
En attendant, je flingue mes impressions
Je flingue mes émotions
Et me mute
En pute….
Dans ma non-existence
Je cours dans la cité
Traquant l’obscurité…
Dans le bordel
De ce monde artificiel
Il y a des brutes
Qui nous exécutent….
La vie est accessoire
Dans la sphère noire
Saturée d’excréments
Et où l’on se ment….
Sous les néons
D’amusements bidons
J’aspire
Et expire…..
Dans la poussière
Je cherche le sanctuaire
Où je trouverais le repos
Loin du chaos….
En attendant, je flingue mes impressions
Je flingue mes émotions
Et me mute
En pute….
#280297 Photographie d'une ruine
Posted by
on 21 December 2005 - 08:13 PM
in
Salon de publication principal
Dans les ruines
D’un hôpital psychiatrique désaffectée
La longue robe noire de la mort
Traîne dans son sillage les vestiges de la folie.
Des fenêtres à barreaux
Pour cacher ceux que l’on n’aimait pas voir
Des fous, en somme
Et comme étiquette générique.
La camisole, la cellule capitonnée
Bouffée par le temps
Ne sont plus qu’épaves
Dans les bâtiments dévastés…
Quelque graf ici ou là
Et des tessons de bouteilles
Comme décor nu
De l’ancienne prison des « détraqués »
Mais le silence de plomb
N’arrive pas encore,
D’ailleurs y arrivera t’il un jour,
A fondre sur les cris névrosés……
D’un hôpital psychiatrique désaffectée
La longue robe noire de la mort
Traîne dans son sillage les vestiges de la folie.
Des fenêtres à barreaux
Pour cacher ceux que l’on n’aimait pas voir
Des fous, en somme
Et comme étiquette générique.
La camisole, la cellule capitonnée
Bouffée par le temps
Ne sont plus qu’épaves
Dans les bâtiments dévastés…
Quelque graf ici ou là
Et des tessons de bouteilles
Comme décor nu
De l’ancienne prison des « détraqués »
Mais le silence de plomb
N’arrive pas encore,
D’ailleurs y arrivera t’il un jour,
A fondre sur les cris névrosés……
#277674 Rien ne change
Posted by
on 13 December 2005 - 04:15 PM
in
Salon de publication principal
Error 404
File not found
Personne à l’adresse indiquée
Le numéro est Hors service…
Cadavre inanimé
Sur le tapis du salon
Plus d’autre bruit
Que celui du ventilo….
Ecran blanc
Comme les cheveux
Plus rien à voir
Que l’abandon….
Les oubliettes modernes
Sont bordées d’indifférence
Ont y met les vieux, les handicapés
Et tout ce que l’on ne veut plus voir….
La foule galope
Sur les trottoirs illuminés
Cherchant de quoi
Donner un sens à sa vie…
Dans les resto de la misère
Les épaves du capitalisme
Grouillent quelques mois par an
Loin des centres illuminés…
Au Palais Bourbon
Dans les jardins du Luxembourg
Rue Matignon, à L’Elysée…
Rien ne change, depuis des années….
Les restos du coeur
File not found
Personne à l’adresse indiquée
Le numéro est Hors service…
Cadavre inanimé
Sur le tapis du salon
Plus d’autre bruit
Que celui du ventilo….
Ecran blanc
Comme les cheveux
Plus rien à voir
Que l’abandon….
Les oubliettes modernes
Sont bordées d’indifférence
Ont y met les vieux, les handicapés
Et tout ce que l’on ne veut plus voir….
La foule galope
Sur les trottoirs illuminés
Cherchant de quoi
Donner un sens à sa vie…
Dans les resto de la misère
Les épaves du capitalisme
Grouillent quelques mois par an
Loin des centres illuminés…
Au Palais Bourbon
Dans les jardins du Luxembourg
Rue Matignon, à L’Elysée…
Rien ne change, depuis des années….
Les restos du coeur
#277671 VILLES DU MONDE
Posted by
on 13 December 2005 - 03:45 PM
in
Salon de publication principal
Un poème qui fait nous prouve ta culture géographique. 
...Intéressant à plus d'un sens....
...Intéressant à plus d'un sens....
#277667 Nitch
Posted by
on 13 December 2005 - 03:42 PM
in
Salon de publication principal
Toujours dans les jeux de maux....J'adore 
#277637 Il ne reste plus qu'à mourir.....
Posted by
on 13 December 2005 - 02:34 PM
in
Salon de publication principal
J’éjacule le trop plein
Trop plein de spleen,
Trop plein de stress,
Trop plein de sans…..
Je me masturbe
Crachant d’hermétiques
Lambeaux noircis
A la fumée du néant…..
Je cours dans les dédales
Du labyrinthe en métal
Que j’ai moi-même construit
Et qui maintenant me détruit….
Plongé dans l’air du temps
Je me noie en essayant de nager
Entre les requins
Et les piranhas…
Métamorphosé en mutant
Couvert d’étiquettes
De marques
J’ai tué ma personnalité….
Cobaye dans le labo
Des centres commerciaux
J’avale, je bois
Jusqu’à dégueuler même mon cerveau…
Tout a été dit….
Plus rien à ajouter….
Tout à été fait…
Il ne reste plus qu’à mourir…..
Trop plein de spleen,
Trop plein de stress,
Trop plein de sans…..
Je me masturbe
Crachant d’hermétiques
Lambeaux noircis
A la fumée du néant…..
Je cours dans les dédales
Du labyrinthe en métal
Que j’ai moi-même construit
Et qui maintenant me détruit….
Plongé dans l’air du temps
Je me noie en essayant de nager
Entre les requins
Et les piranhas…
Métamorphosé en mutant
Couvert d’étiquettes
De marques
J’ai tué ma personnalité….
Cobaye dans le labo
Des centres commerciaux
J’avale, je bois
Jusqu’à dégueuler même mon cerveau…
Tout a été dit….
Plus rien à ajouter….
Tout à été fait…
Il ne reste plus qu’à mourir…..
#277530 Soir de Cafard
Posted by
on 13 December 2005 - 12:12 AM
in
Salon de publication principal
Nouveau document
Nouvelle page….
Couleur blanche
Format…21x29.7
Page vierge
Page à violer
D’amour, de chagrins
De joies, de haines….
Imagination à l’affût
De la moindre idée
A coucher sur le papier
A décortiquer ….
O pour quelques rimes
Je ferais bien comme Faust
Un pacte avec le Diable
Pour qu’il m’envois un Méphistophélès.
Bras de fer
Avec mon esprit
Pour forger l’élégie…
Le poème, nec plus ultra…..
Rade d’idée
Radeau médusant
Accoudé au comptoir
Des soirs de cafards……
Nouvelle page….
Couleur blanche
Format…21x29.7
Page vierge
Page à violer
D’amour, de chagrins
De joies, de haines….
Imagination à l’affût
De la moindre idée
A coucher sur le papier
A décortiquer ….
O pour quelques rimes
Je ferais bien comme Faust
Un pacte avec le Diable
Pour qu’il m’envois un Méphistophélès.
Bras de fer
Avec mon esprit
Pour forger l’élégie…
Le poème, nec plus ultra…..
Rade d’idée
Radeau médusant
Accoudé au comptoir
Des soirs de cafards……
#277506 Folie....FIN
Posted by
on 12 December 2005 - 10:51 PM
in
Salon de publication principal
Photographie d’une vie
Pas grand-chose à dire
Sur un giga de vide,
Sur un disque dur cassé…
Cerveau comateux
Puissance impuissante
Marche mollasse
Vers nulle part….
Hotline injoignable
Problème irrémédiable
Carte graphique en noir et blanc
Sur couleur sombres….
Intoxication des circuits
Overdose Overdose….
Cortex H.S
Dysfonctionnement généralisé…
Perte de contrôle
Hôpital, Hôpital….
Camisole, Camisole….
Folie, Folie…..Fin…..
Pas grand-chose à dire
Sur un giga de vide,
Sur un disque dur cassé…
Cerveau comateux
Puissance impuissante
Marche mollasse
Vers nulle part….
Hotline injoignable
Problème irrémédiable
Carte graphique en noir et blanc
Sur couleur sombres….
Intoxication des circuits
Overdose Overdose….
Cortex H.S
Dysfonctionnement généralisé…
Perte de contrôle
Hôpital, Hôpital….
Camisole, Camisole….
Folie, Folie…..Fin…..
#276302 l'amour, la mort, mon sort
Posted by
on 09 December 2005 - 03:15 PM
in
Salon de publication principal
Euh comment dire ça.?..j'a adoré !!!!!
#276281 Suicide mental
Posted by
on 09 December 2005 - 02:19 PM
in
Salon de publication principal
sombre et alors ? J'adore
#276277 halloween
Posted by
on 09 December 2005 - 02:08 PM
in
Salon de publication principal
Je ne sais pas si tu es fan de Gothique N...? mais ta plume m'en semble bien inspirée et est inspirée de toute façon...
#276276 Juste un clown triste et con
Posted by
on 09 December 2005 - 02:04 PM
in
Salon de publication principal
J'aimerais bie avoir une grande soeur comme toi, charmante Héloïse... 
#276269 Juste un clown triste et con
Posted by
on 09 December 2005 - 01:46 PM
in
Salon de publication principal
La cadence electro
Rythme ma plume
Sur fond de bpm tempo
Et j’augmente le volume….
Tu aimes ou tu n’aime pas…
Si tu aimes, mes écrits, c’est cool
Sinon c’est pas ça
Qui empêchera que l’encre coule…
Je ne suis pas réalité
Ni homme ni femme
Mais androgyne masqué
Derrière l’écran sans âme…
Mon sourire s’est éteint
Sur mon visage
Face aux regards des humains
Je ne suis que le reflet de sombres rivages….
Aucune once de séduction ni d’humour
Aucune pointe de beauté ni de grâce
Aucune parole d’amour…
Dans mes mots carapaces…..
Clic-clac je suis surfeur
Sur la toile
Voyeur et acteur
De vies qui se dévoilent…
Je ne cherche aucun succès
Juste catharsis à travers des lignes
Qui ne font d’autre procès
Que celui d’une vie rectiligne….
Je ne recherche aucun panthéon
Et me fonds dans la masse
Je suis juste un clown triste et con
Sans race et qui vous laisse la place…..
Rythme ma plume
Sur fond de bpm tempo
Et j’augmente le volume….
Tu aimes ou tu n’aime pas…
Si tu aimes, mes écrits, c’est cool
Sinon c’est pas ça
Qui empêchera que l’encre coule…
Je ne suis pas réalité
Ni homme ni femme
Mais androgyne masqué
Derrière l’écran sans âme…
Mon sourire s’est éteint
Sur mon visage
Face aux regards des humains
Je ne suis que le reflet de sombres rivages….
Aucune once de séduction ni d’humour
Aucune pointe de beauté ni de grâce
Aucune parole d’amour…
Dans mes mots carapaces…..
Clic-clac je suis surfeur
Sur la toile
Voyeur et acteur
De vies qui se dévoilent…
Je ne cherche aucun succès
Juste catharsis à travers des lignes
Qui ne font d’autre procès
Que celui d’une vie rectiligne….
Je ne recherche aucun panthéon
Et me fonds dans la masse
Je suis juste un clown triste et con
Sans race et qui vous laisse la place…..
#276267 Si vous avez trente secondes devant vous....
Posted by
on 09 December 2005 - 01:42 PM
in
Salon de publication principal
Citation (Zeek @ Dec 9 2005, 12:27 PM) <{POST_SNAPBACK}>
Heu, j'ai pris 30 secondes pour répondre désolé !
Sauf que même en relisant autour des lignes, je comprends toujours que la strophe dis : je cite :
L’art doit être joli et muet
En peinture comme en littérature…
Je comprend bien que la censure le rend muet, mais si l'autocenseur le fait, c'est bien qu'il l'est dans ce cas ? Me trompe-je ?
Sauf que même en relisant autour des lignes, je comprends toujours que la strophe dis : je cite :
L’art doit être joli et muet
En peinture comme en littérature…
Je comprend bien que la censure le rend muet, mais si l'autocenseur le fait, c'est bien qu'il l'est dans ce cas ? Me trompe-je ?
Zeek...je crois enfin je ne sais pas...mais à te lire dans ton com et dans tes poèmes (je pense que tu es quelqu'un d'intelligent (le compliment est gratis
))..je pense que tu dois avoir compris que c'était de la pure ironie, et que j'ironise sur une forme d'art généralisée qui est à mon goût insipide et insignifiante....
#276135 BISTROT.
Posted by
on 09 December 2005 - 09:56 AM
in
Salon de publication principal
J'aime bien cet instant de vie quotidienne si bien écrit....
#276119 Si vous avez trente secondes devant vous....
Posted by
on 09 December 2005 - 08:52 AM
in
Salon de publication principal
J’ai quelques minutes
Devant moi
Pour écrire quelques phrases abruptes
Sur tout et n’importe quoi….
Je ne suis pas philosophe
Ni théoricien
Je noircis juste quelques strophes
Qui ne serviront à rien.
Quelques certitudes
Qui ne briseront pas la cohésion
De la multitude….
Enfermée dans l’indifférence-religion….
Il faut respecter le moule lisse
Evitons de parler de lutte, de combat
Qui froisserait la matrice
Et le repos de s prélats….
Evitons de parler de choses qui fâchent…
Qui briserait l’Ordre National…
Qui nous massacre à la hache
Mais rien que de très normal…..
Censure, autocensure…
L’art doit être joli et muet
En peinture comme en littérature…
Ne parlons plus que de bouquets de bluets…
Je ne cherche pas de dissidence
Ni l’anarchie…
Je reste avec mes incohérences
Et ma neurasthénie….
Dans l’idéologie hypocrite
Du consensus…
Mes mots se font ermites
Et ne sont pas côtés à l’argus….
Stars académiques
Sur écran plasma
Il faut du foot pour la république
Pour plonger les gens dans le coma…
Les minutes passent
Et en mauvais rimailleur
J’en ai fini avec cette mélasse…
Que je laisse aux lecteurs…..
Pour finir, je ne suis sur que d’une chose
Un jour mon corps
Se foutra de ma prose
Quand viendra la mort…..
Devant moi
Pour écrire quelques phrases abruptes
Sur tout et n’importe quoi….
Je ne suis pas philosophe
Ni théoricien
Je noircis juste quelques strophes
Qui ne serviront à rien.
Quelques certitudes
Qui ne briseront pas la cohésion
De la multitude….
Enfermée dans l’indifférence-religion….
Il faut respecter le moule lisse
Evitons de parler de lutte, de combat
Qui froisserait la matrice
Et le repos de s prélats….
Evitons de parler de choses qui fâchent…
Qui briserait l’Ordre National…
Qui nous massacre à la hache
Mais rien que de très normal…..
Censure, autocensure…
L’art doit être joli et muet
En peinture comme en littérature…
Ne parlons plus que de bouquets de bluets…
Je ne cherche pas de dissidence
Ni l’anarchie…
Je reste avec mes incohérences
Et ma neurasthénie….
Dans l’idéologie hypocrite
Du consensus…
Mes mots se font ermites
Et ne sont pas côtés à l’argus….
Stars académiques
Sur écran plasma
Il faut du foot pour la république
Pour plonger les gens dans le coma…
Les minutes passent
Et en mauvais rimailleur
J’en ai fini avec cette mélasse…
Que je laisse aux lecteurs…..
Pour finir, je ne suis sur que d’une chose
Un jour mon corps
Se foutra de ma prose
Quand viendra la mort…..
#275765 Plaisirs virtuels....
Posted by
on 08 December 2005 - 12:26 PM
in
Salon de publication principal
Je tape sur le clavier
Quatre lettres
Les plus recherchées du Web :
S…E…X…E….
Dirigé vers un site
Ou tout semble gratuit
Surtout la première partie
Le reste est sous abonnement….
Il y en a pour tout le monde
Des hommes
Des femmes
Des couples voir plus….
Je surf entre les galeries…
Je surf du soft au hard
De la masturbation à la partouze
Des noir/Es, des blanc/Hes…..
Sur mon Peer to peer
Je télécharge des films
Qui squattent mon disque dur
Et quelques Dvdix
Derrière mon écran
Je sens l’excitation venir…
En pointant mon curseur
Sur des trucs amateurs….
Du plaisir soft
Du plaisir sans risque
Du plaisir virtuel…
Voir sans toucher……
Sexe à distance
Sexe sans amour….
La chair pixellisée…
Vient chez moi par Adsl….
Quatre lettres
Les plus recherchées du Web :
S…E…X…E….
Dirigé vers un site
Ou tout semble gratuit
Surtout la première partie
Le reste est sous abonnement….
Il y en a pour tout le monde
Des hommes
Des femmes
Des couples voir plus….
Je surf entre les galeries…
Je surf du soft au hard
De la masturbation à la partouze
Des noir/Es, des blanc/Hes…..
Sur mon Peer to peer
Je télécharge des films
Qui squattent mon disque dur
Et quelques Dvdix
Derrière mon écran
Je sens l’excitation venir…
En pointant mon curseur
Sur des trucs amateurs….
Du plaisir soft
Du plaisir sans risque
Du plaisir virtuel…
Voir sans toucher……
Sexe à distance
Sexe sans amour….
La chair pixellisée…
Vient chez moi par Adsl….
#275701 Trash girl: Act 1
Posted by
on 08 December 2005 - 08:59 AM
in
Salon de publication principal
L'autre jour en attendant cette boîte en métal qui m'emméne dans les murs du capitalimse...je voyais des adolescentes en train de fumer...et je me disais qu'elles ne savent pas que ce baton de nicotine est une véritable drogue et que si l'on commence pour le "fun", aprés il est beaucoup moins fun d'en sortir....
#275700 La Lutte N'est Pas Un Luxe
Posted by
on 08 December 2005 - 08:57 AM
in
Salon de publication principal
Bon tout ces smiley pour dire que j'adore ces quelques lignes que je viens de lire
#275699 Sur des rythmes urbains
Posted by
on 08 December 2005 - 08:52 AM
in
Salon de publication principal
Les rythmes urbains
Martèlent leur musique
Amplifiant Le stress metropolitain
Sur des ombres schizophréniques.
On klaxon, on cri
Faible pourcentage de patience
Entre les murs gris
De la ville aux folles danses…
De multiples pas
S’enfoncent dans le vide
Cerné d’immeuble en magma
De sociétés rigides….
Un paysage artificiel
Planté sur le bitume
Des tours violant le ciel
S’alignent une à une…
Des crânes aliénés
Suivent la file
Vers des lieux surmenés
Et des terres infertiles.
Des centres commerciaux
Dévorent la foule
Et dans des Mac Do
On se restaure de bouffe super cool
Epoque du vide et du rien
Ere de la connerie indicible
En vous rien de bien
Vous êtes si destructibles…..
Martèlent leur musique
Amplifiant Le stress metropolitain
Sur des ombres schizophréniques.
On klaxon, on cri
Faible pourcentage de patience
Entre les murs gris
De la ville aux folles danses…
De multiples pas
S’enfoncent dans le vide
Cerné d’immeuble en magma
De sociétés rigides….
Un paysage artificiel
Planté sur le bitume
Des tours violant le ciel
S’alignent une à une…
Des crânes aliénés
Suivent la file
Vers des lieux surmenés
Et des terres infertiles.
Des centres commerciaux
Dévorent la foule
Et dans des Mac Do
On se restaure de bouffe super cool
Epoque du vide et du rien
Ere de la connerie indicible
En vous rien de bien
Vous êtes si destructibles…..
#275386 Nombrilistique
Posted by
on 07 December 2005 - 12:21 PM
in
Salon de publication principal
Je tape sur le clavier
Des phrases incertaines
Qui viennent vitrifier
Mes folies souterraines….
Je n’écris pas l’amour
Celui qui sur la page
Rime toujours avec toujours
Avant le fatal naufrage.
Désolé pour vous,
Mais, la gaieté m’est si étrangère
Que vous devez trouver cela fou
Et peut-être mortuaire.
Je suis X ou Y
Sous ce masque
J’avance avec
Et mes vers élégiaques….
Je fais mon lit
Dans les cendres
De la mélancolie
Et ne me veut pas Cassandre….
Juste exister
Le temps d’écrire
Des mots enténébrés
Et puis me rendormir.
Des phrases incertaines
Qui viennent vitrifier
Mes folies souterraines….
Je n’écris pas l’amour
Celui qui sur la page
Rime toujours avec toujours
Avant le fatal naufrage.
Désolé pour vous,
Mais, la gaieté m’est si étrangère
Que vous devez trouver cela fou
Et peut-être mortuaire.
Je suis X ou Y
Sous ce masque
J’avance avec
Et mes vers élégiaques….
Je fais mon lit
Dans les cendres
De la mélancolie
Et ne me veut pas Cassandre….
Juste exister
Le temps d’écrire
Des mots enténébrés
Et puis me rendormir.
#275333 Présentation
Posted by
on 07 December 2005 - 09:49 AM
in
Salon de publication principal
Je sais, je sais mes mots
Sont plus proches du niveau zéro
Que de l’académique
Que des règles prosodiques…
Je ne suis que vide inexistant
Tapotant derrière l’écran
Ecrivant d’une mauvaise plume
Mon aigreur, ma rancune.
Ma vie n’est que vacuité
N’est que banalité
Elle n’a rien de fantastique
Et est cadavérique.
La page blanche
Etanche
Mes incohérences
Mes rêves sans sens….
Dans les vers
Je brûle mon enfer
Dans cette réalité virtuelle
Moins abstraite que la réelle….
Je ne suis rien
Même pas quelqu’un
Même pas poète même d’opérette
Je ne suis qu’une silhouette qui a pris perpette
Sont plus proches du niveau zéro
Que de l’académique
Que des règles prosodiques…
Je ne suis que vide inexistant
Tapotant derrière l’écran
Ecrivant d’une mauvaise plume
Mon aigreur, ma rancune.
Ma vie n’est que vacuité
N’est que banalité
Elle n’a rien de fantastique
Et est cadavérique.
La page blanche
Etanche
Mes incohérences
Mes rêves sans sens….
Dans les vers
Je brûle mon enfer
Dans cette réalité virtuelle
Moins abstraite que la réelle….
Je ne suis rien
Même pas quelqu’un
Même pas poète même d’opérette
Je ne suis qu’une silhouette qui a pris perpette
#275120 61205
Posted by
on 06 December 2005 - 02:07 PM
in
Salon de publication principal
Je viens de nulle part
Je marche dans ce couloir noir
Je marche dans les ténèbres
D’un sordide algèbre.
Dans le silence du néant
Mon corps se fait inexistant
Et mes yeux pleurent
Pendant des heures…..
Dans ce monde de verre et de métal
Je ne suis pas un être vital
J’ai juste le droit à la misère
Parmi d’autres poussières.
J’ai moins de valeur
Que tous leurs computers
Réglant la vie citadine
De millions d’anonymes
Je ne suis plus rien
Qu’une ombre au loin
De ces Centres
Où se nourrissent les Ventres.
Je marche dans ce couloir noir
Je marche dans les ténèbres
D’un sordide algèbre.
Dans le silence du néant
Mon corps se fait inexistant
Et mes yeux pleurent
Pendant des heures…..
Dans ce monde de verre et de métal
Je ne suis pas un être vital
J’ai juste le droit à la misère
Parmi d’autres poussières.
J’ai moins de valeur
Que tous leurs computers
Réglant la vie citadine
De millions d’anonymes
Je ne suis plus rien
Qu’une ombre au loin
De ces Centres
Où se nourrissent les Ventres.
