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#340488 A Travers La Cime Des Arbres

Posted by decker on 25 August 2006 - 10:15 PM in Salon de publication principal

A TRAVERS LA CIME DES ARBRES

Ce soir la lune est haut perchée
Et la solitude bien présente.
Je la regarde de ma terrasse
Et puis j’attends qu’elle s’efface.


Ce soir le temps me paraît long
Parce que je suis si seul, dans ma passion.
Ce soir la vie n’a plus de goût
Parce que si seul au fond du trou.

Elle est partie pour s’amuser
Et ma laissé, tout en pensée.
Elle est partie prendre son pied
Et m’a jeté sans se retourner.

Voila pourquoi,
Je ne dors pas
Voila pourquoi
Je l’attends là.

Et s’est avec une autre
Que viens le réconfort
S’est avec cette autre
Que je m’endors

Je me suis allongé dehors
Malgré la froideur de la nuit
Telle une forme indéfinie
Telle une masse difforme

Et j’attends là que la vie passe.

Elle n’est pas comme les autres
Elle ne sait pas pourquoi je l’aime.
Je ne l’aime pas comme les autres
Je ne sais plus pourquoi je l’aime.

J’ai voulu y mettre fin
Mais cette lumière
A travers la cime des arbres s’est opposée.
Et couché là j’y ai pensé,
Mais le destin s’est révolté.


Et je l’attends, je l’attends, je l’attends …



#340482 Nénuphar était Mon Nom

Posted by decker on 25 August 2006 - 10:08 PM in Salon de publication principal

non!
quand, les fleurs sont elles belles ?



#340283 Nuits

Posted by decker on 25 August 2006 - 09:09 AM in Salon de publication principal

un poème comme je les aime.
divine nostalgie quand tu nous tiens...



#340247 Nénuphar était Mon Nom

Posted by decker on 24 August 2006 - 09:13 PM in Salon de publication principal

Citation (decker @ Jul 20 2006, 07:39 AM) <{POST_SNAPBACK}>
La similitude est frappante!
Les fleurs sont généralement très belles mais...
trop à dire!
quand penses-tu?

pas de réponse ?



#340240 Laisse Glisser Cette Larme

Posted by decker on 24 August 2006 - 08:44 PM in Salon de publication principal

Laisse goutter cette larme



Meurtris moi de tes armes,
Lègue mon cœur saignant.
De cette bise volée,
Laisse trépasser l’envoûtement.
Sur ton échine cuivrée,
Laisse goutter cette larme.
Ne te retourne pas,
Ne me rattrape pas,
Laisse toi m’oublier !



#340225 Quatre Vingt Millions De Tombes

Posted by decker on 24 August 2006 - 08:03 PM in Salon de publication principal

Citation (heloise @ Aug 24 2006, 06:04 PM) <{POST_SNAPBACK}>
C'est toi qui me parle d'espoir ?
Moi aussi j'aime le mot encore
Bien à toi








Serais-tu messagère ?

Messagère de la paix, symbole de l'amour,
Et si tu voyageais, sans même faire un détour,
Les Hommes de toutes terres, connaîtraient tous un jour
Cette belle sensation, que l'on appelle l'Amour.
~~~~~~~~
Tout comme le drapeau blanc, tout au bout d'une guerre,
Arrête les sacrifices qui détruisent notre terre
Mais jamais ne te laisse, surprendre par les chasseurs
Qui voudraient mettre fin aux battements de ton cœur
~~~~~~~~
Portées par tes ailes blanches, semblables à celles des anges
Trouve tous les nuages où se cachent les anges,
Qui jusqu'au dernier jour, feront pleuvoir l'Amour,
Jusqu'au dernier peuple, n'espérant que son tour.
~~~~~~~~
A travers les nuages, envole toi vers l'alliance,
Promesse de Dieu à l'Homme, qui arrête le déluge.
En te posant sur elle, tel un nouveau refuge,
Délivre tous les hommes des éternelles souffrances.
~~~~~~~~
Au-delà des voyages, reste beauté divine,
Colombe, ma belle Colombe, tu seras la plus digne.



#340221 A La Crête Des Blés

Posted by decker on 24 August 2006 - 07:53 PM in Salon de publication principal

Mes plus plates excuses !!!
J'avais lu entre les lignes.
Cependant il est vrai que certaines âmes sont dures à satisfaire, alors je m'y applique.
Même si le temps me manque un peu, c'est pour moi une réelle motivation que de relever le défit.
Par contre les explications même positives m'aident à progresser.




Merci de m'avoir ouvert les yeux sur mon erreur d'interprétation !



bizzz!



#340215 A La Crête Des Blés

Posted by decker on 24 August 2006 - 07:16 PM in Salon de publication principal

Citation (Eden @ Aug 15 2006, 07:13 PM) <{POST_SNAPBACK}>
j'aurais pu dire excessif, mais non c'est plutot pas mal écrit !

peace



développe stp. explique moi mes erreurs. c'est plus construstif que de dire juste " c'est mal écrit".



#339472 A La Crête Des Blés

Posted by decker on 15 August 2006 - 03:57 PM in Salon de publication principal

Citation (decker @ Jul 26 2006, 02:22 PM) <{POST_SNAPBACK}>
j'aime assez les sensations vraies et puissantes qui nous transportent dans d'autre mondes...

y'a plus de commentaires ?



#337037 Sensualité

Posted by decker on 26 July 2006 - 03:35 PM in Salon de publication principal

C’est la vague soudaine qui monte et qui descend


jolie métaphore !



#337036 A La Crête Des Blés

Posted by decker on 26 July 2006 - 03:22 PM in Salon de publication principal

Citation (comtedormestconti @ Jul 26 2006, 04:19 AM) <{POST_SNAPBACK}>
Quel élan d'érudition tout en caresses...
Comment rester insensible a cet emportement!!!
cool.gif



j'aime assez les sensations vraies et puissantes qui nous transportent dans d'autres mondes...



#336990 Hallucinescence

Posted by decker on 25 July 2006 - 11:29 PM in Salon de publication principal

tout simplement magnifique !



#336947 A La Crête Des Blés

Posted by decker on 25 July 2006 - 05:18 PM in Salon de publication principal

A la crête des blés



La froideur diurne électrique, trépignée par le rayon astral
Laisse place aux fumeroles telluriques, se disséminant aux abîmes.
Et la lourdeur de l’aube, d’un pas décidé,
Ecchymose impérissable d’une matinée accablante,
Éveille le métabolisme des âmes de ces lieux.



Le croassement prééminent de ce piètre charognard
Entraînant férocement nos délicats osselets dans sa cacophonie,
N’a eu raison de nous, épanchés sur nos flans, dans cet infini drap blond
Quand le zéphyr matutinale, d’une légèreté exquise
Câline nos frimousses, jusqu’à la chaire de poule.




Les seings de cette nuit, estampillées en nous,
Ôtent l’inappétence, tant la libido est forte.
L’aboutage de nos chaires tout en concupiscence,
Ricochet des ébranlements incessants de nos anatomies dégarnies.
C’est alors que nos charpentes éreintées des ébats, soupirant de plaisirs
Sous le clin d’œil espiègle du curieux volatile
Bravent l’apesanteur à la crête des blés.



#335821 Nénuphar était Mon Nom

Posted by decker on 20 July 2006 - 08:39 AM in Salon de publication principal

Citation (balila @ Jul 19 2006, 12:59 PM) <{POST_SNAPBACK}>
cool.gif

balila

La similitude est frappante!
Les fleurs sont généralement très belles mais...
trop à dire!
quand penses-tu?



#335820 Assise sur le rivage les pupilles dilatées

Posted by decker on 20 July 2006 - 08:33 AM in Salon de publication principal

souvenir



#335557 Nénuphar était Mon Nom

Posted by decker on 19 July 2006 - 08:28 AM in Salon de publication principal

merci !
je suis heureux de voir que mes poésies sont lues
malgré le nombre important de candidats
bisous a tous !!!!



#335152 Nénuphar était Mon Nom

Posted by decker on 16 July 2006 - 03:32 AM in Salon de publication principal

Merci !
C’est surtout la nostalgie et le désespoir
Qui en ce monde me jouent des tours.



#335120 Nénuphar était Mon Nom

Posted by decker on 15 July 2006 - 08:33 PM in Salon de publication principal

Nénuphar était mon nom.




Nénuphar était mon nom
Mais la lente agonie de nos plaisirs charnels,
Déchaînée par moquerie de l’obscure sablier,
Séquestre mon appétence des saisons euphoriques.
C’est alors que mon âme se prend à divaguer.


De ces vagabondages, éclosent les scepticismes,
D’une paires en prostration,
Victime quotidiennement de leur ignoble lâchage,
Favorisant l’enchantement des instants solitaires et futiles.


L’atrophie de nos émotions
Laisse peu à peu s’épanouir cette pesante tranquillité.
Tarissant  tous les jours
L’étang où je vis le jours.

Tapis en son sein
Je m’enracine en vain
En espérant enfin
L’avalanche du destin.

Et combien de temps encore …



#334726 A Travers La Cîme Des Abres

Posted by decker on 13 July 2006 - 02:27 AM in Le petit salon...

A TRAVERS LA CIME DES ARBRES

Ce soir la lune est haut perchée
Et la solitude bien présente.
Je la regarde de ma terrasse
Et puis j’attends qu’elle s’efface.


Ce soir le temps me paraît long
Parce que je suis si seul, dans ma passion.
Ce soir la vie n’a plus de goût
Parce que si seul au fond du trou.

Elle est partie pour s’amuser
Et ma laissé, tout en pensée.
Elle est partie prendre son pied
Et m’a jeté sans se retourner.

Voila pourquoi,
Je ne dors pas
Voila pourquoi
Je l’attends là.

Et s’est avec une autre
Que viens le réconfort
S’est avec cette autre
Que je m’endors

Je me suis allongé dehors
Malgré la froideur de la nuit
Telle une forme indéfinie
Telle une masse difforme

Et j’attends là que la vie passe.

Elle n’est pas comme les autres
Elle ne sait pas pourquoi je l’aime.
Je ne l’aime pas comme les autres
Je ne sais plus pourquoi je l’aime.

J’ai voulu y mettre fin
Mais cette lumière
A travers la cime des arbres s’est opposée.
Et couché là j’y ai pensé,
Mais le destin s’est révolté.


Et je l’attends, je l’attends, je l’attends …



#334725 Stana

Posted by decker on 13 July 2006 - 01:58 AM in Salon de publication principal

STANA





Fille de l’Amour,
Enfant de toujours.
Ta venue dans nos vies
Est l’une de nos envies.
~~~~~~~~
Tu es la reine de nos cœurs
Et nous apportes le bonheur.
Fais naître en nous la fois,
Amène en nous la joie.
~~~~~~~~
Envie de toi,
Besoin de toi
Envie de t’aimer
Et de te dorloter...
~~~~~~~~
Te serrer dans nos bras,
Nous en rêvons des fois.
Te bercer dans l’amour,
Nous en rêvons toujours.
~~~~~~~~
Viens STANA
Entre dans la vie.
Viens STANA
Viens notre chérie.



#334724 Doigts De Fée

Posted by decker on 13 July 2006 - 01:50 AM in Salon de publication principal

DOIGTS DE FÉE




Finement dessinés
Câlins et doux
Ils me font frissonner
Lorsqu’ils caressent mon coup.
--------
Elle a les mains magiques.
Celles qu’ont les aveugles nostalgiques,
leurs assurent la vue.
Même de leur vue dépourvus.
--------
Électrocuté par le bout de ses doigts,
J’ai senti crépiter mon cœur.
Comme la flèche du sagittaire, ses doigts
Délicatement, piquent mon cœur.
--------
Elle a des doigts de fée
Et avec, elle me fait frémir.
Elle a des doigts de fée
Qui doucement remplissent mon corps de désirs
--------
Je voudrais que jamais ils ne me lâchent
Je souhaiterais qu’à ma peau, ils restent collés
Comme pour m’éviter de m’étouffer ;
Comme pour éviter que mon cœur ne lâche.



#278908 Ici gît

Posted by decker on 17 December 2005 - 05:30 PM in Salon de publication principal

Il en faut pour tous les goûts
La vie serait bien monotone...
merci !
a+



#278905 Ici gît

Posted by decker on 17 December 2005 - 05:22 PM in Salon de publication principal

aussi brouillon que l'actualité française!



#278904 Je t'attends

Posted by decker on 17 December 2005 - 05:18 PM in Salon de publication principal

merci ! rolleyes.gif



#278903 Assise sur le rivage les pupilles dilatées

Posted by decker on 17 December 2005 - 05:12 PM in Salon de publication principal

Assise sur le rivage les pupilles dilatées



Posée là sur une galette surplombant le rivage.
La peau mate, cheveux crépus, les lignes de sa bouille continûment affirmés
Elle observa surgir cette grosse baleine née d'ailleurs.
Enceinte de milliers d'humanoïdes,
Venus en conquête.

Mais les récents colons,
Étrangers d'elle de corps,
Ont su nonobstant ses paternels
S'imposer en divinités.

Et à peine délestés de leurs attirails mortuaires,
Alléchés par la pensée de la déraciner.
Mais l'appétence de la vie,
La conduite à sa débandade.

Le firmament ce jour là
Entra en déchirure
Tandis que les sons des réels trépas
Emportèrent leurs enjambées misérables.

Elle cavale de tout son cran
Pour perpétuer l'existence
Mais l'empressement de la balle
N'a fait qu'un cratère de sa tendre chaire

Déchiquetée par les débris,
Les bras en croix comme ceux de leur christ.
Elle gisait là inerte sur le sol maculé,
De son hémoglobine giclant de son oesophage,
Le thorax perforé par le projectile diabolique.
D'une ultime exhalaison, tout en appel,
Elle ferme les paupières, ramassée par sa mère.

Celle-ci traquée et traînée, ramenée tout au cordon de la grève souillée
Enchaînée, embarquée sur ces insignifiantes barges.
Empilés aux viscères de la bête,
Sous le poids des coups de fouets sur sa peau ambrée laissant d'indélébiles traces

Encordés les uns aux autres
Estampillés dans leurs nuques en sueurs
Du poinçon de ces rois
Ils prirent la mer, vers quel sort...

Contre tous leurs pugilats vains,
Pis étaient leurs matins.
La noirceur de leur geôle flottant aux grés des vents.
Les ébranlements répétés de cette machine à tuer.
Le bruissement de ces voliges à chaque remonté stomacal.

Et le deuil tous les jours plus présent à leurs pieds,
Les odeurs nauséabondes des ces pus mélangés,
N'était plus perceptibles par leurs narines bouchées,
Par leurs crasses amoncelées dépassant de leurs nez.

La sonorité de leurs chaînes asphyxiait le clapotis des vagues,
La cadence du tamtam rythmait les pulsations de leurs coeurs.
Et les empreintes de ces liens creusant plus profondes,
Les crevasses dans leur chaire pleine de meurtrissures et d'entailles.

Tout au bout du voyage, au bout de ce lynchage.
Ils ont pilé cette terre n'étant pourtant pas la leur
Tous en rang deux par deux, les jougs éternellement serrés.
Et les fouets claquant pour ne pas s'oublier.

Contre les allures de ces îles angéliques,
S'oppose à réalité du purgatoire des noirs
De la besogne dans ses nouveaux glèbes,
Au mépris de leurs ressemblances.

Ces hommes les ont jugés parce que tous différents.
Mais avaient-ils le droit de les prendre pour des bêtes.
Au-delà de cette haine emplissant à jamais leurs êtres
Le pardon de ces actes aussi cruels soient-ils
Ne mérite t-il pas simplement le plus grand des respects ?