Non c'est du charabia et je m'en passerai volontier !! Où alors je comprend pas ce que tu veux dire...
J'ai compris que tu as écrit a l'envers mais bon...

Hamburger d’une blonde

Pour commencer je toast mon pain, et j’attend trente secondes,
Il arrive entre mes mains, attention je suis blonde ;
Je dois mettre une bonne sauce, j’ai cru penser, mais a laquelle…
Oups! Elle est toute rose, au fond de teint de la poubelle !

Une poignée d’oignons, entre les orteils de ma main,
Histoire que ça soit bon, je cherche oulala en vain,
J’ai du vernis a ongle, avec du bon parfum,
Avec l’oignon je jongle, oignon rose goût jasmin !!

Ah la salade, elle n’est pas assez verte, je la trouve pas assez complète,
Avant qu’elle arrive dans votre assiette, je vais chercher de quoi faire chez Josette ;
Un peu d’herbe de son jardin, tondue m’as t’elle dit ce matin,
De quoi faire de l’herbe de Provence, elle qui loge au nord de la France !!!

Je voulais mettre une tomate, ça rentre pas elle n’est pas plate,
Je souhaitai parfaire le casse-croûte, toutes ses odeurs ça me dégoûte ;
Alors un peu d’huile de soja, confondue avec le tue rats,
Une pointe de cheveux d’ange, chouette j’suis une nouille, je coupe ma frange !

Je retrouve enfin ma cuisine, et une rondelle d’aubergine,
Une tranche de salami, foie gras pour bons amis ;
Il manque plus qu’un bon steak haché, mais problème il est congelé,
Alors je vais vite le chauffer, au micro onde de José !!!!

Une pincée de sel de la mer, ça donne un bon pti goût amer,
J’ai dit « je pense » alors méfiance, c’est une illusion avec des chances ;
On me dit bête car je suis blonde, c’est un jugement assez immonde,
Ok, j’ai pas la tête sur les mains, mais de près je vois loin.

Ding ! Ca y es j’ai ma viande, avec un bel aspect glacé,
Dire que je suis friande, je l’aurai bien mangé ;
Trop tard c’est l’heure d’être ouvert, je dois ouvrir le restaurant,
Moi cuisinière, fière je vous sert, bon appétit mes chers clients !

Mickaël Gil – 18 Juillet 2005

Merci de vos commentaires, mais je dois avouer que je comprend pas l'interet des commentaires que vous me laissez parfois...
J'écris pour savoir ce que vous pensez de mon écrit, savoir s'il vous a plu, si vous vous y reconnaissez, etc... Pas qu'on me dise, "on te laisse faire ce que tu veux", je le sais merci !
Amitiés
Mick

Merci de ton "temoignage", j'aurai simplement aimé un avis sur mon écrit, est t'il bon, ou mauvais ?
Merci de ton passage en tout les cas.

Et pour répondre a Kwizera, NON ce n'est pas une blague, c'est le reflet des jeunes d'aujourd'hui... Alors les commentaire comme ca... Je m'en passerai volontier !

Amitiés,
Mick

Laissez moi écrire

La poésie est un don, suscitant l’admiration,
Je suis poète de renom, non je suis poète par passion…

Alors,

Laissez moi écrire, ce qui m’enchante et ce qui m’inspire,
Laissez moi sourire, devant les mots et leur sens que j’admire ;
Laissez moi ma feuille pour amie, toute blanche de par son habit,
Laissez la moi pour ma survie, laissez la moi en faire ma vie…

Avec inspiration, ou bien consternation,
J’écris la poésie, parfois même je la vis…
Avec un peu de temps, des mots, des sentiments,
Les phrases viennent par envie, les mots viennent à l’esprit…

Toujours sous forme de poésie, aux formes et sens précis,
J’étale mes incompris, mes pleurs et mes cris,
Mon amour épanoui, mes chagrins et soucis,
Emotions infinies, retrouvés à l’écrit…

Je parle de tout, parfois de rien ;
Je parle sans tabous, d’hier et de demain ;
Je parle de moi comme de vous, je parle même des bons à rien,
Je parle des gens et de leurs goûts, de ce que vous êtes pour certains.

Alors ne venez pas me dire, que je n’ai pas le droit d’écrire,
N’essayez pas de m’interdire, de dire le meilleur comme le pire,
Cherchez plutôt votre raison, face à mes propres opinions,
Devant les mots, les émotions, devant mes manières et façons.

Je n’écris pas pour votre orgueil, d’ailleurs j’ignore vos mauvais oeils,
J’écris de mon plein gré, de ce soupçon de liberté,
Je n’écris pas pour les idiots, qui ignorent même leurs propres mots,
J’écris avec simplicité, juste pour pouvoir m’évader…

Ma plume est la fleur de l’évasion, qui s’épanoui au fil des saisons,
Mon encre est la source de l’inspiration, qui s’écarquille pour donner le ton,
Ma feuille est l’illumination, des mots de l’imagination,
Ma langue est à la communication, ce que le reste devient de la composition.

Alors à vous qui venez me lire, vous qui peut être allez me maudire,
Me remercier ou me contredire, me défier ou bien m’applaudir,
Sachez que je n’écris pas que pour vous, car à me lire vous êtes beaucoup,
Que vous soyez bons ou mauvais, après tout personne n’est parfait.

Après vous avoir dit la vérité, ou juste le fond de mes pensées,
Après tout ce que vous avez lu, incompris ou bien entendu,
Alors laissez moi ce plaisir, d’écrire à n’en plus finir,
Et laissez moi mourir heureux, avec un poème pour adieu…

Mickaël Gil – 22 Novembre 2005

Bien trouvé ce poème ! C'est assez original et les rimes en -aille sont pas toujours évidentes et je trouve qu'il y a de la justesse.
Bravo pour ce bel écrit qui en tout les cas, file sur de bons rails !
Amicalement,
Mick

Sympathique petit poème, avec pas mal de rimes mais je ne trouve pas cela genant, je trouve que c'est assez bien choisi mais pas assez devellopé... En tout cas c'est une lecture agréable, sur lequelle je ne pourrai pas en dire plus, si ce n'est que j'aime bien cette image avec le coquelicot.
Amitiés sincères,
Mick

Un bien bel écrit, court c'est vrai mais il est agréable a lire.
Je suis nouveau mais je me permet de vous dire que c'est fort bien écrit.
Mes amitiés,
Mick

Un bien joli poème, belle lecture, bravo !
Mes amitiés sincères,
Mick

Trash Girl : Act 1 : Toxic
Récit d’une tragédie – Reflets d’aujourd’hui


Elle a treize ans et elle fume des cigarettes,
Comme elle est jeune, elle taffe en cachette,
Ses parents de se doutent de rien,
Elle rentre imprégnée de parfum…

Elle a des airs innocents, des petites couettes comme les enfants,
Elle a même un visage de bébé, des petits doigts bien écartés,
Mais cette petite bouille s’est mise à fumer, à crapoter puis à inhaler,
Dans son coin de rue bien planqué, avec à la main sa clope allumée.

Tout à commencer ce jour, où une copine lui dit « bonjour »,
« Viens je t’emmène quelque part », et elle la suivi dans le noir ;
Quelques minutes plus tard, dans un lieu caché du regard,
Elle lui dit « J’ai réussi à en piquer », en parlant de deux clopes volées…

Alors elle lui propose de fumer, juste une taffe pour essayer,
Un peu perdue, déboussolée, elle ne se voyait pas la refuser,
Donc elle se retrouva, avec une clope entre ses doigts,
Elle a fumé ses quelques taffes, elle a commis sa plus grosse gaffe.

« Pouah, c’est dégoûtant ! », avait t’elle dit pourtant,
Sa copine s’était de plus étouffée, mais elles ont recommencés…
Le lendemain elles avaient leurs paquets, des clopes comme s’il en pleuvait,
Et elles ont crapoté jusqu’à même inhaler, car la cigarette leur avait manqué…

Pourtant l’odeur ne les attirait pas, mais elles adoraient l’effet du tabac,
Le sentiment de faire comme les « grands », de mégoter de temps en temps,
Ce jeu qui est de se rebeller et où les parents ne doivent pas deviner,
Que leur petite fille chérie, est en train de consumer sa vie…

Aujourd’hui elle fume un paquet par jour, elle les inhale tour à tour,
Pour combler cette dépendance, un manque, une souffrance,
Elle fume même dans ses toilettes, quand ses parents sont sous la couette,
A la fenêtre de sa chambre, qu’il soit juillet ou bien décembre,
De toutes façons elle cache ses mégots, dans le cendrier sous son bureau,
Et elle planque ses cigarettes, derrière ses peluches, sa cachette.

Mais un beau jour elle s’est trompée, croyant que sa mère était couchée ;
Elle a allumer sa cigarette, avec sa petite allumette,
Et au moment de la première taffe, la porte s’est ouverte,
Sa mère lui a foutu une baffe, après sa découverte…

Consternée, étonnée, incapable de bouger, sa propre fille est en train de fumer,
Parmi les cris et les pleurs, le père arrive en sueur,
Entre les parents et leur fille, la discussion part en vrille,
« Pourquoi ? Pourquoi ? » s’interrogent t’ils, pour comprendre ce geste débile.

Et enfin tout s’explique, mais le constat est dramatique,
Elle est bel et bien accro, à ces putains de malboro,
Et les parents sont mal placés, car ils fument comme des pompiers,
Fini la fille à l’image radieuse, leur bout de chou est devenue fumeuse…

A présent elle peut fumer à la maison, elle n’a même pas de restriction,
A croire que les parents laissent à l’abandon, leur progéniture dans sa dérision ;
Du coup elle sors en boite s’éclater, pour boire et surtout s’en griller,
Et puis il parait que fumer, c’est grandir et être stylé…

Elle joue sa grande adolescente, elle se défonce en inconsciente
Ses poumons vieillissent tellement vite, qu’ils en sont à la mort subite,
Noirs avant d’être devenu gris, la merde lui a pourri sa vie,
Le tabac a fait de sa santé, des poumons trop asphyxiés.

Incapable de s’en séparer, dépendante et accablée,
La jeune fille se retrouve isolée, avec son briquet pour l’achevée,
Quelques taffes bien inspirées, pour que sa vie parte en fumée,
Car elle est morte d’un cancer, sa clope l'a emmener au cimetière…

Mickaël Gil – 6 Décembre 2005