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#360261 Toutelapoésie

Posted by Artal on 29 November 2006 - 02:12 AM in Salon de publication principal

Citation
Veillez à ce que les muses
S’éternisent
Pour que toutelapoèsie
Donne toujours goût à la vie
A travers son inépuisable langage
A l’image de celui des sages


Mon Cher Ami,

Je te découvre ici par pur hasard et j'aime beaucoup ce poème et surtout la dernière strophe malgré que les autres, je les aime également..
Je vais t'écrire en privé sur ta messagerie dès demain matin..
Toute mon amitié t'accompagne sur le chemin de la vie...mes Amitiés également à ta famille et tes amis.

Artal


#356769 Les Feux Bénits

Posted by Artal on 10 November 2006 - 08:43 PM in Salon de publication principal

Citation (jc-blondel @ Nov 10 2006, 02:06 PM) <{POST_SNAPBACK}>
j'aime bien
dommage que le cinquieme vers n'a que 7 pieds

amicalement
jean claude


Autant pour moi, quand je trouve inutile de recompter mes pieds après composition.
Un accident rythmique...je corrige.
Merci pour cette remarque utile...et merci d'avoir quand même aimé.

Poétiquement.

Artal


#356578 Les Feux Bénits

Posted by Artal on 10 November 2006 - 11:08 AM in Salon de publication principal

Les feux bénits

Je n’écoute plus mon courage
Pour quelques rimes, quelques mots
Devrais-je vivre les orages
Les impurs crachats des sots ?

La horde et ses instincts fangeux
Qu’un orgueil maudit pousse au crime
Glorifiant le fiel des miteux
A éventer les feux sublimes.

Et mon émoi toujours tendu
Pour quelques versets bien rimés
En fortes visions défendues
Vivra du mutisme acculé.

Vos accords vibrent suggestifs
Alors que mes passions lascives
Se meurent au gibet afflictif
D’une grâce consécutive.

Je calte au-delà les fureurs
Vers l’horizon qui tend ses bras
Où mes bleutés ambassadeurs
Se glorifient de mes ébats.

Artal (nov.-06)


#355626 Poème

Posted by Artal on 05 November 2006 - 02:50 PM in Salon de publication principal

Je découvre dans « Le Nouvel Obs » les souhaits de la famille et par respect à cette famille, je retire mon poèmes ainsi que mes messages afin de mettre un terme à la polémique…


#355607 Poème

Posted by Artal on 05 November 2006 - 01:03 PM in Salon de publication principal

Citation (belvis @ Nov 5 2006, 12:30 PM) <{POST_SNAPBACK}>
Il y a de ces raisonnements ...

Parce que socque " attaque " un poème dans sa forme en lui trouvant des pieds bots,
il lui faut pour ça arguer du fait que moi entre autre, je doive le trouver " inattaquable ".
je n'en ai jamais fait la démonstration, et ne veux pas le faire.

J'ai simplement mis l'accent sur le fait que l'on ne crache pas à la gueule de celui qui l'a écrit,
parce que le sujet déplaît plus que fortement à certains, comme à vouloir donner une éspèce de leçon à je ne sais qui au nom de je ne sais quoi...
Il y a des sensibilités et des susceptibilités qu'ils ne faudrait pas déranger?

Artal a le merite d'avoir écrit de la poésie.
Elle ne plaît pas à tout le monde, soit.

Mais à vouloir descendre en flammes,
sans déscendre en flammes,
tout en descendant en flammes...

Ici ce n'est pas l'enfer ni le paradis.

Si la poésie se résumait simplement à une histoire de pieds mal chaussés,
nous serions tous des Geishas.

Il y en a quelques-unes...


Chez mes détracteurs Belvis, j’ai entrevu un excès de scrupules désagréables…Condamner l’emploi de certains mots de notre langue, j’ignorais la perversité de mon attitude…Quand la bravache se manifeste.
Et j’aime beaucoup « Si la poésie se résumait à une histoire de pieds mal chaussés, nous serions tous des Geishas »
Le véritable poète n’est-il pas le sensible qui « livre le monde dans sa réalité profonde et chaque être dans sa liaison à l'unité du tout. (Mounier) »


#355594 Poème

Posted by Artal on 05 November 2006 - 11:53 AM in Salon de publication principal

Citation (Eden @ Nov 5 2006, 11:41 AM) <{POST_SNAPBACK}>
ah oui ça oui le principe démocratique inclut la critique de tout, évidemment mais je pense que Artal le conçoit ainsi...

peace



Evidemment j’accepte la critique, elle me fait vivre mais j’accepte également l’auto critique chez les donneurs de leçons…"Regarde la poutre" (selon Saint Luc si je ne me trompe)…Je ne parle pas pour toi Eden…


#355577 Poème

Posted by Artal on 05 November 2006 - 10:49 AM in Salon de publication principal

Citation (socque @ Nov 5 2006, 10:38 AM) <{POST_SNAPBACK}>
Oui, je suis d'accord avec toi Eden, ce poème n'est pas le plus mauvais du site, mais j'ai eu l'impression que, parce qu'il dénonce un crime, Artal et belvis partaient du principe qu'il était inattaquable. C'est là que je ne suis pas d'accord. D'autre part, en poésie, je pense que le fond et la forme sont un. Une forme faible affaiblit (affadit) le message. Et ça peut être dommage.



Une triste ressource pour l'impuissance...


#355575 Poème

Posted by Artal on 05 November 2006 - 10:37 AM in Salon de publication principal

Citation (socque @ Nov 5 2006, 10:31 AM) <{POST_SNAPBACK}>
"Ce qui prouve Soque que dans mes émotions je ne compte pas mes pieds.." : justement, la passion est souvent mauvaise conseillère, y compris en poésie je crois. Un minimum de recul et de réflexion est plus fertile.

Je ne cherchais pas à "apporter au débat" en effet, l'essentiel ayant été dit. Simplement exprimer ce que je pense.

Pour l'analyse de mes textes, vous me feriez plaisir, mais je sens que ce n'est pas là un argument qui pourrait vous fléchir !

Bon dimanche donc.



Je découvre dans « Le Nouvel Obs » les souhaits de la famille et par respect à cette famille, je retire mon poèmes ainsi que mes messages afin de mettre un terme à la polémique…


#355571 Poème

Posted by Artal on 05 November 2006 - 10:22 AM in Salon de publication principal

Citation (socque @ Nov 5 2006, 10:08 AM) <{POST_SNAPBACK}>
Je suis bien d'accord avec toi Gaston ! Désolée, Artal, mais je ne comprends absolument pas ce que peut apporter votre poème : étant, à mon avis, mauvais dans sa forme, il ne peut que desservir sa cause ! Dire qu'un poème dénonçant un crime est mauvais, ce n'est sûrement pas faire l'apologie de ce crime.

Dans le poème, la forme des alexandrins n'est pas toujours respectée :
"Vous-en-ga-gez-sur-e-lle-vos-bas-re-gards-de-fous" (13 syllabes)
"Ô-fi-lle-que-tu-sois,-blan-che-rou-ge ou-black" (11 syllabes, et la virgule est bizarrement placée)

Je pense qu'en général le style du poème est grandiloquent, chargé d'emphase et de pathos. L'émotion est souvent mieux évoquée par la sobriété que par des mots ampoulés.

Bon dimanche à vous Artal.



Ce qui prouve Socque que dans mes émotions je ne compte pas mes pieds..
Chacun ampoulant ses mots comme il le désire, quand l’attaque plutôt stérile n’apporte rien au débat…
Je pourrais en faire autant sur l’analyse de vos textes mais plus adroit que vous ne le pensiez, je m’abstiendrai….
Que ce dimanche vous soit agréable Socque…


#355564 Poème

Posted by Artal on 05 November 2006 - 09:41 AM in Salon de publication principal

Je découvre dans « Le Nouvel Obs » les souhaits de la famille et par respect à cette famille, je retire mon poèmes ainsi que mes messages afin de mettre un terme à la polémique…


#355464 Poème

Posted by Artal on 04 November 2006 - 08:55 PM in Salon de publication principal

Citation (Gaston Kwizera @ Nov 4 2006, 08:15 PM) <{POST_SNAPBACK}>
oui de toute façon, si ce n'est point toi, c'est donc ton frère, hein ?
oh non je ne maitrise rien. je m'éforce juste de ne pas ranger les gens dans des petites boites. ça conduit à de grosses bétises comme celles qu'on peut lire cez toi.

celle ci : "Même ce monopole-là vous réclamez." est particulièrement vide

mais bon c'est bien... les jt font du beau boulot


#355243 Poème

Posted by Artal on 03 November 2006 - 05:49 PM in Salon de publication principal

Je découvre dans « Le Nouvel Obs » les souhaits de la famille et par respect à cette famille, je retire mon poèmes ainsi que mes messages afin de mettre un terme à la polémique…

L a famille de la jeune femme grièvement brûlée dans l'incendie volontaire d'un autobus à Marseille assure n'éprouver aucune haine, aucune colère envers les auteurs de l'agression.
"La famille n'a ni colère, ni haine, ni rancoeur", a déclaré Ousmane Diagana, cousin de la victime, Mama Galledou, et porte-parole de la famille, vendredi 3 novembre.
"Nous avons foncièrement confiance dans la justice française. Il faut la laisser faire son travail. Nous ne sommes pas dans la polémique, le drame doit rester familial", a-t-il ajouté lors d'une conférence de presse.
L'état de santé de la jeune femme de 26 ans suit une "évolution plutôt positive" et toute la famille a été touchée par les multiples gestes de solidarité, a-t-il dit.
Mama Galledou, qui est sous respiration artificielle à l'hôpital de la Conception, a été brûlée sur 60% du corps.

"Respect de l'intimité"


#351078 Le Jardin Des Poètes

Posted by Artal on 14 October 2006 - 07:52 PM in Salon de publication principal

Le jardin des poètes

Et je rêvassais en la décence du lieu
Là où souffle la puissance inspiratrice.
Dans ce jardin de paradis, en ce milieu
Me vient la vision sacrée, celle créatrice.
 
......Alors que je composais, l'ombre des fleurs dansait sur l'ajouture de mes vers. De temps à autre, j'observais le magnolia qui berçait une lourde branche chargée de l'affiquet bouquet aux grappes florales odoriférantes. Une feuille luisante me caressait la joue, tandis que la cigale entamait ses derniers crissements.
...... L'onde de mon cœur toujours limpide désaltérait ma soif à développer, par l'idiome du poète, les rimes les plus en forme à la lueur d'une lune de Dieu, dans ce jardin parfumé de la présence des Maîtres auxquels je reste asservi moralement, au regard de la discipline de ma langue.
...... Les étoiles, comme clouées dans les hauteurs de l'empyrée, poussent à l'acmé l'inexorable fièvre de l'amant des Muses. Aussi, j'écris pour vous, dans cet oreiller de douceur, rémora et tout à la fois, aiguillon actif de l'impulsion.
...... Observez les ombrages du haut jardin, là où le buste du sanctifié se dresse en valeureux. Méditez le pouvoir de ses lexies complexes et compassées puis fixez le pérégrin, l'errant que je suis en ce lieu, dans ma quête de troubaire à exorciser mes vœux.
 
Et je rêvassais à la pudeur d'une plume
A sa cruauté, puis l'ouïr gémir d'amour
Dans ce jardin de paradis, là où nous fûmes
Tantôt amants et parfois humbles troubadours.
 
...... Alors, je composais ma ballade en son honneur car devenue mon amie, cette plume qui avait honte de sa laideur, sans visage, renaissante, en ce jardin éclairé de l'astre en lunaison. J'avais jusque là ignoré l'odeur des roses et des lilas, car tous leurs parfums restaient concentrés autour de ses lèvres d'amante des mots, alors que moi, je déchirais mon âme à charpenter l'aigreur. Le rossignol en s'étant tu, avait ouvert la voie car revenu des enfers, je retrouvais enfin celle des boulevards.
...... Chaque jour j'allais saluer l'effigie de Hugo. Ah si j'avais pu, je l'aurai dilué sous mes baisers mais encore, transformé en un fleuve d'inspiration aux neuf écluses d'illumination. Au partage des odes, je gratifiais ma Muse d'un lit d'une soie verte au courtil des assembleurs de nuées lumineuses et courtoisement, m'inclinant à l'hommage, je m'abandonnais aux affinés délices de ces parages.
 
Et je rêvassais là où ne ternit l'éclat
De par son harmonie, admirable beauté
Dans cet éden des pas au tapis de lilas
Un bijou de vierge au jardin de Béziers.
 
Artal


#350970 Suzanne Vigné

Posted by Artal on 14 October 2006 - 10:38 AM in Salon de publication principal

Suzanne Vigné

Tu auras hanté les plages et les quartiers
Piétiné les sables marins et les galets
Lié à l'organique l'art le plus abstrait
Quand fuyait sur la toile, la sublimité.
 
Cette mémoire des jours heureux, toujours là
Le rivage était l'énigme, le cadre plat
Antibes des peintres, l'art fut le potentat
Le salon Picasso, nous en rêvions n'est-ce pas ?
 
La dorade en grappe, les acryliques fuchsia
Embaumaient la pièce des effluves de glas
Alors que nous jaspinions tous deux comme ça
Toi, les pinceaux dans la main, moi, le regard gras.
 
Ah, souviens t'en, nos soirées vernissages
Tu étais l'artiste génie et moi le sage
Du signe rêvé, le poisson que tu as aimé
Peinturé, dessiné et d'affect gratifié.
 
Dans la foule tu étais l'art et moi Artal
Le peintre des grandes surfaces, magie blanche
Comme disait André Villers, photographe génial
Messe lumineuse et bla-bla-bla, l'aisance.
 
J'immortalise nos confessions, nos échanges
J'accole aux reliques un doux baiser de grâce
Quand je te sens toute proche, guide et mon ange
En coexistence de mon obscure trace.
 
Artal (oct.-06)


Suzanne Vigné biographie
S. Vigné - La rencontre avec Artal
Artal par Suzanne Vigné (dessin 1977)

 


#350969 Dans La Chaleur De Nos Draps

Posted by Artal on 14 October 2006 - 10:33 AM in Salon de publication principal

Bravo Minotaure, j'aime beaucoup...Toujours présente la Tigresse à ce que je vois...Félicitations..
Amitiés..
Artal


#309107 Elle Ose Obséder Mozart..

Posted by Artal on 26 March 2006 - 06:21 PM in Salon de publication principal

Egalement, je m'excuse, je vous croyais poétesse alors que vous êtes homme...C'est dans l'attention de vos phrases au masculin que m'est venu le déclic...Mea Culpa...
L'amitié commence où la bataille se termine...
Oui, serrons-nous la main..
Artal


#309091 Elle Ose Obséder Mozart..

Posted by Artal on 26 March 2006 - 05:38 PM in Salon de publication principal

Citation (lacape @ Mar 26 2006, 04:26 PM) <{POST_SNAPBACK}>
monsieur artal veut polémiquer," une authoresse poétesse", je ne pense que dans votre bouche ce terme est flatteur je ne revendique aucune forme, je suis un être libre, j'écris quand je veux, ce que je veux, et je n'ai de compte à rendre à personne.
Je me suis permis de visiter votre site,  vos écrits sentent la poussière et la naphtaline un peu comme vous !!
allez bonne soirée cher ami !!


Quelle en est la raison de cette agression gratuite ?...."Authoress poétesse " tout simplement pour auteur poétesse...Consultez votre blog "  Vas y Brian dis moi que le matin est pur.. " et j'y ai laissé un commentaire plus que flatteur...Je m'excuse pour le mal que j'aurai pu vous faire subir et vous remercie pour ma poésie poussièreuse aux senteurs naphtaline, un peu comme moi.
En cette année 2006, la poésie me semble composée dans la fatigue et le stress, un regret supplémentaire..
Artal


#309073 Elle Ose Obséder Mozart..

Posted by Artal on 26 March 2006 - 03:14 PM in Salon de publication principal

Citation (lacape @ Mar 26 2006, 09:30 AM) <{POST_SNAPBACK}>
Elle ose obséder Mozart
            Confond les yeux fermés d'un ange
            A l'idée d'un frisson, se couvre
            D'une litanie, le feu épate et ondule
            Claque au vent d'une église
            Les voix ricochent, aux murs d'une attitude
            Le temps d'avancer........


Une "authoress poétesse" comme je les aime car oeuvrant dans les nobles formes..
Ce poème "Elle ose obséder Mozart" en est une preuve..

Artal...

Les poèmes de Artal


#309065 Murâ-qabah - Méditation

Posted by Artal on 26 March 2006 - 02:40 PM in Salon de publication principal

Merci à vous deux

Lacape et Irena pour vos sympatiques messages d'encouragements...

Amitiés..

Artal


#309005 Murâ-qabah - Méditation

Posted by Artal on 26 March 2006 - 09:42 AM in Salon de publication principal

Murâ-qabah - Méditation



Mon pas lent chancelle au seuil de la sombreur
Des vastitudes ténébreuses aux airs froids.

Le sindon sous le bras, las j'appointe mes heures
En aguets du terme fatal auquel j'ouvre droit.

Prophète sur vos terres je ne suis, mais j'irai
Par appel d'un coucher de soleil m'y enfouir.

Quand l'orémus du muezzin je saluerai
Pauvre en partance, mon âme ira s'enrichir.

La murâ-qabah garde au cœur son pollen
Qui fertilisera ma famille, mes enfants

Et j'arroserai de vos larmes mon éden
Car pour héritage j'y laisserai mon sang .

Artal (mars 06)
Influencé par la poésie arabe, je laisse parler mon cœur.


#299045 Suave Clarté

Posted by Artal on 19 February 2006 - 11:10 AM in Salon de publication principal

Suave clarté

Il pleut dans cette nuit comme il pleure en ma vie
Message des unis aux larmes de folie.
Caresser la honte et les reproches puissants
Savourer la fonte, repousser le tourment.

Délice d'orgueil et prétentieuse douleur
Seigneur je suis mon deuil en priant le sauveur
Pour que renaît amour la haine des vaincus
Car ce qui devait m'advenir est advenue.

Ma plainte est une prière riche de vœux
Combien de choses qui doivent plaire à Dieu
En grand dommage d'une coutumière renarde
Et le fond d'orage des pénitents de garde.

J'ai créé la rime pour ma jeune fémuse
Puis donné à mon hymne sans choisir la ruse
Mais je conserve au cœur l'image dépourvue
Et sans réserve, l'amour de la tendre élue.

Artal (févr.-06)

Les poèmes de Artal


#293092 Le Nostalgique

Posted by Artal on 28 January 2006 - 09:06 PM in Salon de publication principal

Citation (grandvent @ Jan 27 2006, 07:48 PM) <{POST_SNAPBACK}>
Lecture de son histoire,
Au périgée amour et gloires.
Étalon sauvage spolié du vert pacage
Fougueux, l’est-t-il ! Sans ombrage.

De l’obscurité fagoté,
Absente la lune et les étoiles
Rêve éveillé, sombre compagnon fortuit,
Où donc sont le rossignol et son chant oriental

Prémonition d’un ricochet utopique.
Chevauchée effrénée au milieu des menhirs,
La volupté libertine, s’est entichée du zéphyr.  
Face au rebours du temps condensé, gémit le nostalgique.

A la concupiscence au tréfonds de son âme assoupie,
L’Appétence de la passion embastillée dans les geôles de l’oubli,
Compagnes au verbiage sans embûches.
Ah ! La belle, à leur insu comme bien t’amuses.
Le poète convoité par sa muse,
La rime à chaque vers trébuche.

En son antre, éternelle flamme de son âme, ne l’invite.
Douleur profonde, quand la raison s’irrite.
Dans son sillage, indifférente Aphrodite.
L’espoir sien outragé, à son tour l’imite.

Saule pleureur, pérenne deuil.
Au seuil de sa porte en éveil,
L’illusion d’évasion en vain,
Et pourtant pareils à ceux des séraphins
Ses cheveux grisonnants. Ah ! Le bon vin,
N’est-t-il pas celui qui remonte à des temps lointains.

Nénuphars sans épines développés
Dans une eau trouble, sérénité retrouvée.
Le nostalgique cheminant son chemin,
Répugne les détours malins.

chenikel  le 27/01/2006


Ce poème par ces vers mystiques me laisse songeur et je croirai qu'il a été composé spécialement pour moi, toi qui connais mon histoire, ma muse, mes peines..
Merci mon Ami, car je suis resté un bon moment rêveur devant l'image, cette image que tu m'auras mis sous les yeux..
Amitié..

Artal


Ce poème par ces vers mystiques me laisse songeur et je croirai qu'il a été composé spécialement pour moi, toi qui connais mon histoire, ma muse, mes peines..
Merci mon Ami, car je suis resté un bon moment rêveur devant l'image, cette image que tu m'auras mis sous les yeux..
Amitié..

Artal


#293088 L'homme Et La Fourmi

Posted by Artal on 28 January 2006 - 08:56 PM in Salon de publication principal

Monsieur de La Fontaine lui même n'aurait pas fait mieux...Bravo Chenikel, tu mérites ma meilleure note et une multitude d'étoiles car j'aime beaucoup ce poème apportant une réalité vraie.
Amitiés...

Artal


#292728 Certains vieux

Posted by Artal on 27 January 2006 - 07:18 PM in Salon de publication principal

La vieillesse que tu images est en effet une triste réalité et tu as su si bien définir l'hypocrisie de certains enfants dans l'accompagnement de "leurs vieux"...
Merci pour ce moment de vérité Poète ..

Artal

Les poèmes de Artal


#289683 La femme (acrostiche)

Posted by Artal on 20 January 2006 - 08:45 PM in Salon de publication principal

Citation (grandvent @ Jan 20 2006, 08:40 PM) <{POST_SNAPBACK}>
L'amour sans toi
A jamais n'existera

Fascinante depuis toujours
Ensorcelante en amour
Majestueuse est ta sculpture
Merveille de la nature
Enviée jusqu'à en mourir

Chenikel le 20/01/2006


Que ferions nous sans notre djezaria mon cher Ami...
Très beau, j'aime ta poésie et tu le sais..
Offre-moi une crapaude..
Amitié.

ARTAL



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