Très belle Idée Artémisia, ça donne :
La nuit a tracé des routes sur sa peau
Et les chaleurs s’évaporent en auréoles blondes
Quand les cils hésitent enbattements dociles
Les cheveux désordre sont couronne sacrée
Le corps proue de son lit s’élance
Houleuse la mer du dehors appelle
Les murmures deviennent rumeur
Alors la toile de cretonne habille son cœur.
C’est le jour.
Merci à toi
Mikla's Content
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#344397 Éveil
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on 15 September 2006 - 10:29 PM
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#344313 Éveil
Posted by
on 15 September 2006 - 04:11 PM
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Salon de publication principal
Merci Ambréance, j'ai l'impression aussi que le fait de commencer par un article enlève de la musicalité au texte. J'y retravaille.
Amitiés
Version 2
La nuit a tracé des routes sur sa peau
Et les chaleurs s’évaporent en auréoles blondes
Quand les cils hésitent en battements dociles
Les cheveux en désordre sont couronne sacrée
Le corps proue de son lit s’élance
Mais la mer houleuse du dehors appelle
Les murmures deviennent rumeur
Alors la toile de cretonne habille son cœur.
C’est le jour.
Amitiés
Version 2
La nuit a tracé des routes sur sa peau
Et les chaleurs s’évaporent en auréoles blondes
Quand les cils hésitent en battements dociles
Les cheveux en désordre sont couronne sacrée
Le corps proue de son lit s’élance
Mais la mer houleuse du dehors appelle
Les murmures deviennent rumeur
Alors la toile de cretonne habille son cœur.
C’est le jour.
#344037 Éveil
Posted by
on 14 September 2006 - 11:01 AM
in
Salon de publication principal
La nuit a tracé des autoroutes sur sa peau
Les chaleurs s’évaporent en auréoles blondes
Les cils hésitent en battements dociles
Les cheveux en désordre de couronne sacrée
Le corps proue de son lit s’élance
La mer houleuse du dehors appelle
Les chuchotements deviennent rumeur
La toile de cretonne habille son cœur.
C’est le jour.
#342331 Zarzuela Incertaine
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on 05 September 2006 - 02:30 PM
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Oui c'est aussi ça la zarzuela...
Merci de ta lecture Corine
Merci de ta lecture Corine
#342325 Zarzuela Incertaine
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on 05 September 2006 - 01:13 PM
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J'aime beaucoup ta suggestion Christophe, la strophe y gagne en rythme aussi ! il faut que je change l'ordre des vers des autres stohes Pour "poussait", je réfléchis, tu as peut-être raison, je me demande juste si au moment où je l'ai écrit j'ai choisi ce mot par hasard ou s'il avait une signification particulière.
ça donnerait
Je me suis tue
L’air lançait de grands souffles frais
L’écho des vagues andalouses résonnait
J’ai attendu
Je me suis assise
Dans le patio le soleil ruisselait
J’ai lissé la robe froissée
J’ai arrangé ma mise
J’ai rêvé
La grande horloge soupirait
Je me suis éveillée
J’ai secoué sur ma nuque mes cheveux défaits
J’ai dansé
Sur les carreaux de faïence
À m’étourdir à m’enivrer
Avant de tomber de chagrin immense.
Merci de ta lecture Eden
ça donnerait
Je me suis tue
L’air lançait de grands souffles frais
L’écho des vagues andalouses résonnait
J’ai attendu
Je me suis assise
Dans le patio le soleil ruisselait
J’ai lissé la robe froissée
J’ai arrangé ma mise
J’ai rêvé
La grande horloge soupirait
Je me suis éveillée
J’ai secoué sur ma nuque mes cheveux défaits
J’ai dansé
Sur les carreaux de faïence
À m’étourdir à m’enivrer
Avant de tomber de chagrin immense.
Merci de ta lecture Eden
#342178 Zarzuela Incertaine
Posted by
on 04 September 2006 - 11:03 AM
in
Salon de publication principal
Je me suis tue
L’air poussait de grands souffles frais
J’ai attendu
L’écho des vagues andalouses résonnait
Je me suis assise
Dans le patio le soleil ruisselait
J’ai arrangé ma mise
J’ai lissé la robe froissée
J’ai rêvé
La grande horloge soupirait
Je me suis éveillée
J’ai secoué sur ma nuque mes cheveux défaits
J’ai dansé
Sur les carreaux de faïence
À m’étourdir à m’enivrer
Avant de tomber de chagrin immense.
L’air poussait de grands souffles frais
J’ai attendu
L’écho des vagues andalouses résonnait
Je me suis assise
Dans le patio le soleil ruisselait
J’ai arrangé ma mise
J’ai lissé la robe froissée
J’ai rêvé
La grande horloge soupirait
Je me suis éveillée
J’ai secoué sur ma nuque mes cheveux défaits
J’ai dansé
Sur les carreaux de faïence
À m’étourdir à m’enivrer
Avant de tomber de chagrin immense.
#339677 Les Chuchotis De Victoria
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on 18 August 2006 - 01:45 PM
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Carla et Héloïse, merci d'être passées sur la pointe du regard...
Sébastien, j'ai toujours cru que c'était Harrison qui chantait Across the univers !
Amitiés
Sébastien, j'ai toujours cru que c'était Harrison qui chantait Across the univers !
Amitiés
#339239 Ami-ami.
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on 13 August 2006 - 06:42 PM
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Il y avait longtemps que je ne t'avais pas lu, ça m'a manqué !
#339223 L’été Où Je Vais Mourir
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on 13 August 2006 - 03:46 PM
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Merci d'avoir "exhumé" ce texte des tréfonds tlpsiens ! Je n'écris plus beaucoup en ce moment et ça fait plaisir de voir que tout ne meurt pas forcément...
Amitiés
Amitiés
#339222 Les Chuchotis De Victoria
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on 13 August 2006 - 03:43 PM
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Salut Henri, il y avait longtemps... Une deva c'est dans la religion indhouiste une divinité : un "être de lumière".
Amitiés
Amitiés
#339025 Les Chuchotis De Victoria
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on 12 August 2006 - 03:26 PM
in
Salon de publication principal
On les perçoit déjà
Les chuchotis de Victoria
A voix basse, à petits pas
Elle se hâte, douce deva.
Quelques lunes peut-être
Quelques soleils aussi
Pour se donner à naître
De murmures en chuchotis.
Les chuchotis de Victoria
A voix basse, à petits pas
Elle se hâte, douce deva.
Quelques lunes peut-être
Quelques soleils aussi
Pour se donner à naître
De murmures en chuchotis.
#332614 Sens D'sus D'sous
Posted by
on 03 July 2006 - 11:05 AM
in
Salon de publication principal
En envers
à l’enfer
en endroit
à l’étroit
à tâtons
tarte citron
de guingois
langue au chat
en travers
notre affaire
pas d’répit
pi tant pis
j’y peux rien
petits seins
zyeux tous ronds
polochon
un baiser
de brasier
fard à joue
mon bijou
à l’enfer
en endroit
à l’étroit
à tâtons
tarte citron
de guingois
langue au chat
en travers
notre affaire
pas d’répit
pi tant pis
j’y peux rien
petits seins
zyeux tous ronds
polochon
un baiser
de brasier
fard à joue
mon bijou
#318753 Bateau De Papier
Posted by
on 28 April 2006 - 10:42 PM
in
Salon de publication principal
C’est le capitaine d’un vaisseau de papier
Il pilote des cerfs-volants
C’est un dresseur de mouches tsé-tsé
Il grimpe au sommet des crèmes mont-blanc
Chasseur de mammouths
Coloriste de papillons
Dessinateur, traceur de routes
Pêcheur de lampions
Tresseur de festons
Il enfouit les trésors
Dans des forêts sans nom
Où les mots sont de l’or
Il pose des paratonnerres
Sur les cœurs en danger
En péril d’amours-éclairs
Ceux qui laissent déchiré
Il descend au fond des mers
Pour y décrocher les étoiles
Souffle sur les prières
Et y suspend des voiles
C’est un lundi qui se croit dimanche
Il s’imagine lune et il est soleil
C’est un baiser qui se penche
Lorsque le matin je m’éveille
Il pilote des cerfs-volants
C’est un dresseur de mouches tsé-tsé
Il grimpe au sommet des crèmes mont-blanc
Chasseur de mammouths
Coloriste de papillons
Dessinateur, traceur de routes
Pêcheur de lampions
Tresseur de festons
Il enfouit les trésors
Dans des forêts sans nom
Où les mots sont de l’or
Il pose des paratonnerres
Sur les cœurs en danger
En péril d’amours-éclairs
Ceux qui laissent déchiré
Il descend au fond des mers
Pour y décrocher les étoiles
Souffle sur les prières
Et y suspend des voiles
C’est un lundi qui se croit dimanche
Il s’imagine lune et il est soleil
C’est un baiser qui se penche
Lorsque le matin je m’éveille
#316893 Totem
Posted by
on 21 April 2006 - 06:30 PM
in
Salon de publication principal
Oui, sombres, merci Ambreance de ton passage
Amitiés
Amitiés
#316875 Totem
Posted by
on 21 April 2006 - 03:17 PM
in
Salon de publication principal
Tout est passage
Tout nous retient
Tout nous relie
Et tout nous annule
Ils traversent le fleuve
Comme on enjambe le temps
La vie est derrière
La vie est devant
Comme eux nous passerons.
Attendre le crépuscule
Et de nuit nous fuirons
À pas légers de funambules
Tout est passage
Tout nous retient
Tout nous renie
Et tout nous ennuie
Partis sans adieu
Sans éteindre les feux
Laissons les cailloux
Se souvenir de nous.
Passée la rive des songes
Nos pas s’allongent
Vers l’inconnu
En terre nue
Tout est passage
Tout nous retient
Tout nous replie
Et tout nous remplit
Tout nous retient
Tout nous relie
Et tout nous annule
Ils traversent le fleuve
Comme on enjambe le temps
La vie est derrière
La vie est devant
Comme eux nous passerons.
Attendre le crépuscule
Et de nuit nous fuirons
À pas légers de funambules
Tout est passage
Tout nous retient
Tout nous renie
Et tout nous ennuie
Partis sans adieu
Sans éteindre les feux
Laissons les cailloux
Se souvenir de nous.
Passée la rive des songes
Nos pas s’allongent
Vers l’inconnu
En terre nue
Tout est passage
Tout nous retient
Tout nous replie
Et tout nous remplit
#315558 Loup De Montréal
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on 14 April 2006 - 10:06 PM
in
Salon de publication principal
Bravo, j'aime beaucoup comment ça résone, il y a une sonorité, une cadence...
Amitiés
Amitiés
#314700 Envie D'été
Posted by
on 12 April 2006 - 11:30 AM
in
Salon de publication principal
Citation (Henri. @ Apr 11 2006, 08:02 PM) <{POST_SNAPBACK}>
Nostalgie de l'été qui berce...(la nostalgie, pas l'été)
j'aime ta plume
bises
Henri
j'aime ta plume
bises
Henri
Hello Henri, il y avait longtemps... heureuse de te croiser !
#314313 Envie D'été
Posted by
on 11 April 2006 - 06:31 PM
in
Salon de publication principal
Merci à vous trois d'être passés lire.
Avec ces quelques rayons de soleil, rares trop rares, j'ai des envies d'été !
Bises
Avec ces quelques rayons de soleil, rares trop rares, j'ai des envies d'été !
Bises
#314238 Ce Qu'il Ne Faut Pas Faire Le Jour De Votre Mariage
Posted by
on 11 April 2006 - 05:21 PM
in
Salon de publication principal
Morte de rire, moi j'étais enceinte de six mois le jour où j'ai dit oui, euphorique, je me marais de tout, le chapeau de la belle-mère, le stylo qui avait fuit dans la poche de la veste blanche de mon frère, la tête de mon futur époux (que j'aurais du regarder à deux fois) un vrai moment de plaisir...
#314230 Envie D'été
Posted by
on 11 April 2006 - 05:13 PM
in
Salon de publication principal
La grève s’ennuie, la plage s’étend
L’eau se retire et fait semblant
S’exclut du monde visible et dors
Les lais et relais de la mer et les marais
Les dunes pointent à coup de rein
Sur le plat infini de la main
Un pied s’enfonce et laisse
L’empreinte d’un coquillage
L’écume douce fait naufrage
En bordure épaisse
Un soleil triste est mort
Atomisant son écorce
Fin de jour sur la rive
Fin du monde aussi
Fixe quelques grains ivres
Accrochés aux cheveux…
L’eau se retire et fait semblant
S’exclut du monde visible et dors
Les lais et relais de la mer et les marais
Les dunes pointent à coup de rein
Sur le plat infini de la main
Un pied s’enfonce et laisse
L’empreinte d’un coquillage
L’écume douce fait naufrage
En bordure épaisse
Un soleil triste est mort
Atomisant son écorce
Fin de jour sur la rive
Fin du monde aussi
Fixe quelques grains ivres
Accrochés aux cheveux…
#312864 Post-sciptum
Posted by
on 06 April 2006 - 01:10 PM
in
Salon de publication principal
Oups, je n'avais pas vu les coms. Merci Héloïse et lacape, je suis flattée de vos passages ici,
Amitiés à vous deux
Amitiés à vous deux
#312583 Post-sciptum
Posted by
on 05 April 2006 - 12:58 PM
in
Salon de publication principal
M'ci Henri 
#312315 Post-sciptum
Posted by
on 04 April 2006 - 08:43 PM
in
Salon de publication principal
Pardon si je l'ai déjà posté :-( c'est pas exprès, en tous cas merci d'être passées toutes les deux :-)
#312234 Post-sciptum
Posted by
on 04 April 2006 - 06:22 PM
in
Salon de publication principal
Je n’ai rien écrit
Pas de trace sur le papier
C’est au silence
Au long silence
En acier de Tolède
Que je veux ajouter
Quelques mots lucides
Transparents et purs
Quelques mots clairvoyants
Aveuglants et malhabiles
Quelques mots désespérés
En forme d’après
Sur le bas de la feuille
Ma griffure en blanc :
Post-scriptum
#308616 Anecdote Du Lundi (à Oublier Dès Le Mardi)
Posted by
on 24 March 2006 - 02:39 PM
in
Le petit salon...
Si tu en as une pour chaque jour de la semaine je suis preneuse
