Jump to content


hivanea's Content

There have been 18 items by hivanea (Search limited from 24-May 23)


By content type

See this member's

Sort by                Order  

#283386 Sans doute

Posted by hivanea on 01 January 2006 - 10:21 PM in Salon de publication principal

se connaitre et se savoir... Femme !

Bravo,

hivanea



#283384 OBSTINEMENT

Posted by hivanea on 01 January 2006 - 10:16 PM in Salon de publication principal

j'aime ta voix d'autaomne...

Bonne année dans ton vague poétique où la précision de tes mots atise nos songes...

Hivanea



#283383 Nous Nous Vantions Des Causes

Posted by hivanea on 01 January 2006 - 10:11 PM in Salon de publication principal

j'aime beaucoup ce texte...

Hivanea



#283377 sous le ciel

Posted by hivanea on 01 January 2006 - 09:57 PM in Salon de publication principal

merci beaucoup...



#283349 sous le ciel

Posted by hivanea on 01 January 2006 - 08:42 PM in Salon de publication principal

Sous le toit

Qui a vu
Suspendu
Comme un fil
Au bout
Du ciel
Comme un toit
Bien connu
Ou tout le monde
Est chez soi
Qui reçoit
De la part
Du ciel
Son lot d’étoiles
Claires
Qui a su
Par hasard
L’étendue
Des dégâts
Sous le toit
Le ciel et
La terre
Où s’écrasaient
Les étoiles
Déçues
Par tant de
Déconvenue
Qui a bu
L’eau du cru
La seule
Etendue
Qui luisait
Avenue
Pour des siècles
En une nuit
Disparut
Qui a cru
Sous le toit
Détendu
Que la vie
S’étirait
Au delà
Des êtres nus.

Mais
Rien n’est foutu.



#283348 exister à vue

Posted by hivanea on 01 January 2006 - 08:39 PM in Salon de publication principal

Collage d’image
Superposition d’avant-garde
Dimensionné sur contre page
Positionné en page de garde

Contre plan, contre jour
Relevé, rincé, fixé
Relief imprimé de contour
L’image enfin peut exister



#283200 Un instant silencieux

Posted by hivanea on 31 December 2005 - 08:34 PM in Salon de publication principal

Un instant silencieux


Un sourire radieux
Et le Savoir qui mieux
Ou plus grand que mes yeux
Où le mots face à Dieu

N’a de limite
Que la larme sale
Ecrasant du doigt, l’encre pale

Sur le pas de nos pas
Et la porte se claque
Et la poésie lasse
S’en détourne de moi



#283198 grains de beauté

Posted by hivanea on 31 December 2005 - 08:30 PM in Salon de publication principal

Grain de beauté

Les grains de ta beauté
Esquissent sur ta peau
Constellation et voie lactée

Lactée comme le flot
Oublié sur ma peau
Du jet de ta fusée



#282190 Je me meurs d'aimer

Posted by hivanea on 29 December 2005 - 01:37 PM in Salon de publication principal

j'étais dans la forêt, auprès de tes mots. L'hiver blanc s'avançait... j'ai senti son souffle.
Nul besoin d'ouvrir la fenêtre ni pour s'évader ni pour frissonner...

Hivanéa



#282185 l'eau qui coule

Posted by hivanea on 29 December 2005 - 01:29 PM in Salon de publication principal

Citation (Trémaouézan @ Dec 29 2005, 11:33 AM) <{POST_SNAPBACK}>
Visiblement les nuages sont responsables... de l'eau qui coule. laugh.gif "Ont-ils rien fait ?" disais-tu...

La construction de ton poème s'émaille de propos ironiques, voire sarcastiques... Un peu de rancœur sous-jacente ? Non ? huh.gif

Trémaouézan


du tout, ce sont les idées qui viennent... d'elles même. Je les laisse faire.



#282184 avis de mer

Posted by hivanea on 29 December 2005 - 01:27 PM in Salon de publication principal

merci à tous.
heureuse d'être parmi vous...

hivanéa



#282117 l'eau qui coule

Posted by hivanea on 29 December 2005 - 11:13 AM in Salon de publication principal

L’eau qui coule

Ce fut une eau... Plate
Qui gravit des montagnes...Nitrate
Dans un verre... Qui pique
Renversée sur la nappe... Phréatique

Une belle eau d’étendue... Un fleuve
Emportée par le courant... Couleuvre
Aux berges verdoyantes... Serpente
A des faims de grandeur... Dévorante

C’est le goût salé de l’eau... Cachalot
En vagues moribondes... Sur la grève
De sa force le séant... De l’eau
Lèche les grands fonds... De rêve

Une larme sur ta joue...Joue
Dégouline nonchalamment... Mon œil
Ta main l’efface... D’un coup
Tu renifles et sourit... Orgueil



#282113 avis de mer

Posted by hivanea on 29 December 2005 - 11:10 AM in Salon de publication principal

Avis de mer


Elle est tantôt cette vague
À l’écume acide et dévorante
Qui passe sur l’âme
Assombrissant la lueur pâle
Qui subsiste en le cœur
Ce palpitant qui dérape
Lorsque la vague noie
Elle est autant cette langueur nue
Cette vague mourante
S’étirant jusqu’au cœur
Laissant la grève découverte
Isolée à la vue
Déshabillée de son ego
La plage libérée de l’eau
Se dévoile enfin
Elle est tantôt la mer calme
Huileuse et délicieuse
Reflétant dans ses plis fins
Un bonheur certain
Elle est aussi fougueuse
La mer déchaînée
Qui s’en prends aux nuages
Ont-ils vraiment rien fait ?

Et la lune dans tout ça ?
Cache t-elle sa culpabilité
Dans un jour ensoleillé ?
Son influence d’astre
S’exerce la nuit
Sous nos cieux révérends
Et le jour accompli
Vers d’autres galaxies
La lune se terre
Derrière sa beauté
La lune aura
Bien du mystère
À nous dévoiler



#282112 et

Posted by hivanea on 29 December 2005 - 11:04 AM in Salon de publication principal

de la poésie...

Hivanéa



#281928 Quelques saisons, certains plasirs

Posted by hivanea on 28 December 2005 - 08:08 PM in Salon de publication principal

merci d'avoir pris le temps de lire...
et pour votre accueil.



#281821 Quelques saisons, certains plasirs

Posted by hivanea on 28 December 2005 - 02:24 PM in Salon de publication principal

Citation (Trémaouézan @ Dec 28 2005, 02:18 PM) <{POST_SNAPBACK}>
Bonjour hivanea

Lecture impressionniste très appréciée.

Bienvenue

Trémaouézan



je viens d'arriver, je patouille un peu dans l'utilisation, mais merci infiniment pour cet accueil !



#281817 Quelques saisons

Posted by hivanea on 28 December 2005 - 02:06 PM in Salon de publication principal

Quelques saisons
Certains plaisirs

C’est dans les recoins
Que l’ombre manifeste
Concentrait ses effets
Autre part
Sur les murs jaunis
Du soleil de juillet
Sur toutes les nuances
De vert et d’orange
Qu’offrait le jardin
Une lumière magique
Consumait doucement
Le temps passé
A tout contempler
Comme j’aimais
En silence
Me réjouir simplement
De la vie
A la vue de la nature
Dont la simplicité
N’a d’égale que sa grande beauté
Comme un nuage
Qui prend forme
Le jeu des reflets
Sur l’eau
N’importe quelle eau
Qu’elle fut flaque
Grisée de trottoirs
Etang pétillant au soir tombant
Ou le grand océan
Je ne pourrai vivre
Sans nourrir mon regard
Des présents quotidiens
Offerts à tout vent
Les regards des enfants
Leurs jeux et leurs rires
Désirs de consolation
Des mots et des chants
Un vieux mur
Une murette
De pierre vêtu de lierre
Une rue avenue
Une maison avenante
Une grille ordinaire
Un arbre qui impose
Une sagesse sans équivoque
Le bruit des vagues
Colorant de brun
Le clair du sable
Croquant les pâtés
Faisant rire les pieds
Qui courent
En allé et retour
Sur la grève marquée
Caresser de la main
La roche verdoyante
Sentir presque
Une chaleur odorante
Caresser aussi
Le tronc des arbres
Des arbres sur ma route
Les murs chauds de lumière
Où rêvent des lézards
Puis l’automne suspendu
Chercher au-delà de la vue
Dans le brouillard épais
L’ombre la plus lointaine
Apprécier dans la brume
La profondeur de champs
La profondeur du champ
Y deviner la bête
Qui cueille encore un peu
La dernière pâquerette
Et ses cornes levées
Se sentir à son tour
Dans la poix du labour
Observé.



#281816 Quelques saisons, certains plasirs

Posted by hivanea on 28 December 2005 - 02:05 PM in Salon de publication principal

Quelques saisons
Certains plaisirs

C’est dans les recoins
Que l’ombre manifeste
Concentrait ses effets
Autre part,
Sur les murs jaunis
Du soleil de juillet,
Sur toutes les nuances
De vert et d’orange
Qu’offrait le jardin,
Une lumière magique
Consumait doucement
Le temps passé
A tout contempler.
Comme j’aimais,
En silence,
Me réjouir simplement
De la vie
A la vue de la nature
Dont la simplicité
N’a d’égale que sa grande beauté.
Comme un nuage
Qui prend forme.
Le jeu des reflets
Sur l’eau,
N’importe quelle eau,
Qu’elle fut flaque
Grisée de trottoirs
Etang pétillant au soir tombant
Ou le grand océan,
Je ne pourrai vivre
Sans nourrir mon regard
Des présents quotidiens
Offerts à tout vent
Les regards des enfants
Leurs jeux et leurs rires
Désirs de consolation
Des mots et des chants.
Un vieux mur,
Une murette,
De pierre vêtu de lierre
Une rue avenue,
Une maison avenante,
Une grille ordinaire
Un arbre qui impose
Une sagesse sans équivoque
Le bruit des vagues
Colorant de brun
Le clair du sable,
Croquant les pâtés
Faisant rire les pieds
Qui courent
En allé et retour
Sur la grève marquée
Caresser de la main
La roche verdoyante.
Sentir presque,
Une chaleur odorante.
Caresser aussi,
Le tronc des arbres
Des arbres sur ma route.
Les murs chauds de lumière
Où rêvent des lézards
Puis l’automne suspendu,
Chercher au-delà de la vue
Dans le brouillard épais
L’ombre la plus lointaine.
Apprécier dans la brume
La profondeur de champs,
La profondeur du champ.
Y deviner la bête
Qui cueille encore un peu
La dernière pâquerette.
Et ses cornes levées
Se sentir à son tour,
Dans la poix du labour
Observé.[/font]