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#352612 Liquidation émotive!

Posted by riz(remo)mot on 20 October 2006 - 02:56 AM in Le petit salon...

Citation (Tyi @ Oct 8 2006, 06:37 PM) <{POST_SNAPBACK}>
Pire,
Tu es sympathique!


smile.gif



#352611 Fragments Poétiques

Posted by riz(remo)mot on 20 October 2006 - 02:51 AM in Le petit salon...

Fragment 43

Votre bave bouillonnante est un prodige,
Emanant de l’intimité des absences !
Aussi, avec votre coiffure d’épine
L’univers s’en réjouira.
Et l'orchidée n'enfantera plus guère
La lune de vos yeux!

Pour mon cheval céleste!
à cause de vos pommettes en pierre
L’essence restera une barbarie objective !

Votre opium monsieur  est pourri
Tout comme votre ivresse ancestrale !
L’offrande reste donc impossible !
Le silence ne vous écoutera point
Il est sourd vous savez,
Tout comme vous amies fées !
L’effluve de l’iceberg est aveugle
Et n’envahira point vos frissons.

Votre bave bouillonnante est un prodige
Posée là, pour mon cheval !
Soyez honnête monsieur!
Et ne touchez plus aux lueurs des songes
Avalez donc une mélodie ou deux
Puis buvez le noir de la nuit
Soyez propre l’ami, soyez bon!
Et lavez vous les mains
Avec le sang des fleurs endormies.



#352544 Les Catacombes De L'âme Homerienne

Posted by riz(remo)mot on 19 October 2006 - 08:03 PM in Le petit salon...

Jeudi 23 juin 2005

Dans l’amour de l’autre, l’amour que l'on a vis à vis des autres, l'amour consacré à son entourage et à sa famille, dans cette forme globale de l'amour dans toutes ses variations changeantes, il faut impérativement entendre l’amour de soi comme seule perspective personnelle!
L'amour, c'est donc nécessairement penser à soi, s’aimer en autrui pour soi, exister dans ceux et celles qu’on désigne souvent par (les autres)!!
À soi, oui, il faut y penser bien avant toute l'humanité réunie, et là se confirme en réalité l'indéniable prouve de l’égocentrisme chez le genre humain, espèce démunie par nature et assez stupide ma foi, qui peut certainement beaucoup plus se prédéfinir à travers l’identité que l'on s’attribue d'avantage, qu'à travers celle concédée par ses différents acteurs.
L'identité est acquise pour le sujet à travers ses différentes fusions relationnelles et autres approchements pouvant se constituer à partir de ce qu'il est lui même, et d'avantage sans doute à partir de ce qu'autrui représente pour lui.
L’expérience empirique démontre de façon évidente qu’il est impossible que l’amour entre deux être humains soit vraiment pour soi même, or si l’un aime une qualité chez l’autre, son amour pour celle-ci n’est tout simplement que parce qu’il déteste son opposé! Ce qui revient encore à cet attachement lié avant tout à soi-même, bien avant ladite qualité pour laquelle il estime aimer son prochain !
Il faut comprendre que l'on aime bien parce que on veut être aimé, ce qui revient relativement toujours à cette étroitesse de l'esprit affamé d'estime, de l'esprit affamé d’être, logique machinale et rétreinte, qui pousse le sujet à tout vouloir, à tout espérer sans raison, et parfois même à tout abandonner par amour ou par haine d’ailleurs, or si tu ne m’aimes pas, moi non plus je ne t’aime pas ! Et parce qu’aussi tu m’offres ça, alors de même, en échange, je te proposes ça! Je t’aime de plus en plus, parce que mon ennemi est autant le tien, et ma sympathie vis-à-vis de toi, doit toujours- et ne peut d'ailleurs en aucun cas- que se limiter à nos seules antipathies communes.
Selon moi, seule une analyse adéquate et méticuleuse de la structure globale de la prime nature, pourrait éventuellement nous illuminer sur cet individualisme plein d’égoïsme, très proche de la haine…individualisme égocentrique, que vous et moi, nous ne pourrons vraiment feindre, et cela malgré notre alliance civile, et tout autres familiarités hypocrites, qui tissent la plupart de nos valeurs animales.
Ceci dit, vu qu’il n’y a pas encore de chirurgiens spécialisés pour prévenir les incartades de l’âme, habiles pour cartographier ces nombreux mécanismes optionnels liés à son essence matricielle, alors, je n’ai - dans ce cas - qu’à vous suggérer d’aimer, et aimez s’il vous plait ceux qui vous aiment. Surtout ceux là !
Pour avoir plus de respect, plus d’amour pour vous-même, soyez brillants, intelligents, et détestez à fond la caisse, mais n’aimez guère ceux détestant ce que vous aimez !
C’est là, mes chers amis, la plus digne des définitions que l'on peut accorder à l'amour, à partir de là, les ennemis de mes ennemis deviennent mes meilleurs amis, et c'est cela la seule vraie détermination, celle de l’amour, de mon amour pur !
Là, chers frères sont mes valeurs! La vraie paix de l'amour, el l'aisance globale de tout mon être! En raison de cette vision de l’amour, autrui essaye déjà de feindre la vérité, il cherche à l'amour d'autres explications, et peu à peu l’odeur de l’hypocrisie, l’exhalaison impure de la vanité, deviennent son mode d'expression, mais il sait toutefois qu'il est inutile de s'affaire à gloser sur un tel sujet.
Cette vision de l'amour est constante dans notre vie, elle concerne toute l'humanité, à l'exception cependant de l’amour entre le divin et son esclave !



#352255 Fragments Poétiques

Posted by riz(remo)mot on 19 October 2006 - 02:41 AM in Le petit salon...

fragment 42

Savoir, c’est décrypter le qualificatif
Des six sillions solaires !
Savoir c’est être pendu sous le vide de l’étang
L'étang vide de l’absurdité !
Savoir c’est traire le nectar de six collets!
Six collets jonchés là
Ou ici sur l’épave corporelle du babiroussa !!
Savoir c’est oublier les livides fractions
Les six bissectassions niées.
Manifestation inutile du sens saccadé,
Du non sens casé
Du sens dans la pénombre du doute !
Savoir c’est l’infernale huronne,
Qui sculpte et peint la raison
Aux six couleurs de regrets !
Savoir!
Le sentiment, c’est savoir et ne plus rien voir !
Savoir!
Etat sombre du délaissement
Enterré dans le grain de la connaissance !



#352009 Fragments Poétiques

Posted by riz(remo)mot on 18 October 2006 - 09:54 AM in Le petit salon...

fragment (41)

Dévorez la dépouille de cet androïde !
Et vous ne vous égarerez point.
Dans les lisières de mon esprit!
Faites ce que je vous dis
Et soyez digne de votre
Ipséité de princesse!


À partir de l’orée de ma dépouille !
L’ordre univoque est toujours extraordinaire !
L’allumette y a le baiser muet.
Libérée de son devenir, tel l’automate
Qui avance vers l’inconnu !

Sciez le chemin que la corde
Esquisse vers mon destin !
Et cet autre être de regret
Que vos soupirs ont soufflés
Que vos idées ont isolé
Sur le front de ma dépouille !

Ensuite,
Devra être l’offrande l’automate!
La déesse du dénuement !
S’en sustentera pour soigner son appétit !

Alors guère vous ne reculerez
Devant l’arbre des ténèbres
Et point vous n’effacerez
Les commandements du peuple lapins
Jamais vous n’aurez à purifier
La corrosion des îles mouches!
Et pour toujours, l’essentiel
vous sera guide dans l’éther compressé !
Le troupeau des atomes bleus,
vous pourrez sacrifier pour traire
Les mamelles de l’étoile.



#352004 Fragments Poétiques

Posted by riz(remo)mot on 18 October 2006 - 09:39 AM in Le petit salon...

fragment 40

Dans le monde des crétins
Il y a ceux qui violent des chiens!
Les oppriment de caresses et de câlins
D'autres, en pique-nique dans leur jardin
Les dégustent avec un bout pain.

Dans le monde des chagrins
Les garçon sont entretenus avec des knouts
Et les filles vendues aux marabouts
les handicapés y tous des babouins
Ces païens infirmes ne servent à rien
Or, plus on croit qu’ils sont dans le besoin
Plus on leur tend la main,
Et en retour, nous, on ne reçoit rien!
Et parfois on donne et on donne
Jusqu'à vouloir en assassiner un!


Citation (Eden @ Oct 15 2006, 11:45 AM) <{POST_SNAPBACK}>
Le dernier laisse à désirer.


smile.gif



#350609 Les Catacombes De L'âme Homerienne

Posted by riz(remo)mot on 12 October 2006 - 08:37 PM in Le petit salon...

lundi 20 juin 2005

évidemment, je suis ivre de circonspections, et j'avoue que je n’aime pas du tout mon prochain !
Les rejetons qui puent la pisse ! Ces tranches de caca pourri ne me font pas rire, et la surpopulation annoncée me donne des frissons au dos! L'avenir apparaît appartenir aux livres de légendes! En vrai, rien, rien ne va dans ma vie!
Je feins péniblement d’être aimable et me comporte fièrement en minable.
J’ai la même mine livide depuis toujours, le même visage balafré, et toujours cette mine de bête surexcitée. Délavé par les soucis du quotidien, mon visage est tel un morceau de tissu piétiné par une horde de sauvages ! J’ai le corps vétuste et suis entièrement désossé des fondements de la liberté primordiale, car en vrai rien, rien ne va dans ma vie!
Mes yeux me font mal et m’irritent de temps à autre ! Mon âme aveugle, ne distingue plus guère entre mes différentes incartades qui s’entassent au plus profond de mon inconscience, et moins encore entre les priorités essentielles, qui esquissent d’accoutumée à tout un chacun sa part de bien être ! J’ai besoin d’un guide errant dans sa propre scène de héros, bien que j’en sois un moi-même ! Je cherche à reconquérir les traces de la juste voie, et finir à la fin dans une fontaine où l’équilibre psychologique est source unique pour les âmes en paix !
Mes chirurgies pensives sont passives et définissent d’avance ma doctrine de jeune perclus, condamné à la morose existence dont il ne supporte pas l’aspect, et dont il a nullement envie ! La vie est un roman bouleversant pour qui l’introduction des premières pages résume nettement la fin de l’histoire !
Je m’ennuie comme un retraité qui fait pitié, et si je suis encore vivant, je sais à quoi ressemble déjà demain ! Le temps passe, tout en s’affairant à nous emporter avec lui. L’âge transfère son fardeau sur mon compte et mon reflet courbé m’indique déjà assez, pour savoir que l’avenir, sous son aspect actuel, sera désolant!
Je cherche la vie illusoire, le souffle d’une nouvelle façon de voir les choses, sous un angle meilleur. Tout est beau quand on n’est pas triste et seul. Tout est beau quand on est libre face à soi.



#350327 De Rien.

Posted by riz(remo)mot on 11 October 2006 - 11:51 AM in de rien

c'est pas mal laugh.gif



#349876 Fragments Poétiques

Posted by riz(remo)mot on 09 October 2006 - 08:39 PM in Le petit salon...

Fragment 29

Après la fleur de son sourire
Vint la noyade de mon sourire.
Après l’agonie de l’étincelle,
Toujours aube sur son visage
Vint ensuite la fleur noire, et le regret
Qui fissura de rides mon visage
Depuis, je fus de nouveau gosse pour maman !
Si bien qu’elle ne voulut plus jouer à maman
Ce que fut Laila ne partit jamais de mon regard !
C’est l’étrange influx prit de son regard!
Fée est sans doute aussi cauchemar,
laila, pour qui, moi, je devins cauchemar.
Laila, lune lune que je vis de tout part!



#349875 Fragment 29

Posted by riz(remo)mot on 09 October 2006 - 08:39 PM in Le petit salon...

Après la fleur de son sourire
Vint la noyade de mon sourire.
Après l’agonie de l’étincelle,
Toujours aube sur son visage
Vint ensuite la fleur noire, et le regret
Qui fissura de rides mon visage
Depuis, je fus de nouveau gosse pour maman !
Si bien qu’elle ne voulut plus jouer à maman
Ce que fut Laila ne partit jamais de mon regard !
C’est l’étrange influx prit de son regard!
Fée est sans doute aussi cauchemar,
laila, pour qui, moi, je devins cauchemar.
Laila, lune lune que je vis de tout part!



#349870 L’infidélité D’une énorme Pierre

Posted by riz(remo)mot on 09 October 2006 - 08:23 PM in Le petit salon...

smile.gif



#349618 Fragments Poétiques

Posted by riz(remo)mot on 08 October 2006 - 08:54 PM in Le petit salon...

Fragment (28)

Le lundi 49 de l'an 4256 de l’ère extraterrestre


Notre amie la blatte vous propose
La vente immédiate de 100 oothèques!
Deux vierges noire
une poire
Une adorable rose
Le secret de l’alose
1 gramme de cellulose
Et la paume du métèque



#349609 Fragments Poétiques

Posted by riz(remo)mot on 08 October 2006 - 08:32 PM in Le petit salon...

Fragment27

Pour être honnête!
Juste et loyale.
Pour être beau et féal,
J’ai répertorié la somme de mes plaies,
déposée au mont de nos baisers.
Vidé de mon sang rouge !
L’eau traverse mes veines.
Vidé de son parfume lumineux,
Qui se promenait dans l'éther!
Mes aubades se lamentent!
Mes souvenirs et trous de mémoires
Les aient noyé dans la palette de tes couleurs,
Alors que le cierge nocturne
Se calcine dans le secret de la lumière!
Mon âme noircie par la nuit se désagrège!
Dans l’océan des péchés,
Un ou deux baisers!
C’est tout. C’est peu intime !
Évanouie la fidélité par la suite,
Évanouie l’espoir aussi!
Qu’ai-je vraiment à regretter !
Je entends toujours mon amour
Quelqu’un voile le soleil!
Alors que les continents retrouvent le passé
les yeux murés. Mon amour, je repars!
L’inconnue a trahie!



#349490 Alcools

Posted by riz(remo)mot on 08 October 2006 - 09:38 AM in Le petit salon...

Ce texte est un petit Délire extravagant, et ce que j'aime bien c'est le fait qu'il compacte assez bien plus d'une image poétique, simulacre sans doutes et virtuelle, mais surtout bien tissées entre elles et mon goût de petit martien! Délire lyrique qui mérite deux ans de suspension de salaire et l'interdiction totale d'aller pisser dans la cuvette anale de la nouvelle bouteille de nées! bravo juliette smile.gif



#349485 Liquidation émotive!

Posted by riz(remo)mot on 08 October 2006 - 09:23 AM in Le petit salon...

smile.gif je suiS beaU



#349462 Fragments Poétiques

Posted by riz(remo)mot on 08 October 2006 - 02:07 AM in Le petit salon...

Fragment (26)

Lorsque de mon séricigène
J’ai paré de soie ton torse
Tu ne fus plus indigène !
Mais depuis les grandes averses,
Je suis redevenu ourse.

Non ! Tu n’es plus aborigène!
Car, vérité dis-je
Le poireau qui nous avait adopté en rit
Il sait que ma chitine est sous tes mamelles !

Je vois ! Je vois ! Gogo chéri,
Ton sexe est distrait,
Et cela bien qu’il soit parfait
Tout comme toi, ton ombre soleil
Porte la cyphose de la chamelle.



#349454 L’infidélité D’une énorme Pierre

Posted by riz(remo)mot on 08 October 2006 - 01:22 AM in Le petit salon...

N’ayant point d’envie que celle d'avoir une comète,
Je m’étais hâté, et en avais invité une pour un tango,
Mais, la belle, préférait méditer comme une ascète.

Autrefois, s’en allant tôt, toute discrète, la belle !
Venait souvent chercher mon alligator,
Ici dans ma galaxie, où les ombres sont si cruelles.

J’étais donc aux anges, comme un zigoto,
Car, mon rêve de laitue pouvait, enfin, voir le jour,
Mais, la belle était partie en laissant sa photo,

Sur le mur. Depuis elle fut ma star,
Mon unique pensée, au pays des philos,
Et ma vie devint depuis un cauchemar.

Bien plus d’une fois, j’ai gagné au loto !
Et mille autres, j’ai pourchassé des vautours !
Cependant, mon moral était toujours à zéro.

N’ayant alors plus de cerveau pour ma tête
Je ne fus plus quasar, car désormais gogo
Je préfère oublier et l'aventure et la quête.



#349389 Amant

Posted by riz(remo)mot on 07 October 2006 - 09:29 PM in Le petit salon...

Citation (Tyi @ Oct 7 2006, 10:04 PM) <{POST_SNAPBACK}>
Je ne gémirai pas au fil de tes cadres mots
De ceux que tu lardes en points et si je
Nus souvent même, si tant
Ni à ta lie, à tes embages poreux
Angle sans
Sans visée
Vu. A l’œil
Je mens



lu et approuvé. Signé angle sans vissé! smile.gif



#349382 Sonnet Pour Mon Beau Fiancé

Posted by riz(remo)mot on 07 October 2006 - 09:21 PM in Salon de publication principal

Citation (serioscal @ Oct 7 2006, 10:14 PM) <{POST_SNAPBACK}>
Elle veut qu'on la baise aussi.


je vais lui défoncer la gueule à cette pute, tu vas voir mon petit serioscal! attendez vous prochainement à un poème sur cette blatte, la dénommée manon



#349379 12..07..2006

Posted by riz(remo)mot on 07 October 2006 - 09:14 PM in Arts poétiques




#349374 Naissance De La Belle Lola2007

Posted by riz(remo)mot on 07 October 2006 - 09:06 PM in Le petit salon...

Je suis née souffle d'une muse en agonie!
Et suis morte guide dans un troupeau!
Agnelle par le passé, j'ai certifié l'atonie
Et décrété aux étoiles de sauver ma peau!

Proche du très connu jean pierre koff
J'ai mainte fois exigé de ma reine
De devenir la génitrice de l'apostrophe
Et soustraire de la raison ma peine!

Sorti de mon œuf, je suis née somnambule
Aussitôt sorti, mon nez fut muté en pierre
Ma silhouette prit la forme d'une bulle!
Et ma voix devint celle du tonnerre!



#349352 Salauds De Poètes

Posted by riz(remo)mot on 07 October 2006 - 08:09 PM in Salon de publication principal

c'est nul et pas assez travaillé



#349210 Sens.

Posted by riz(remo)mot on 07 October 2006 - 11:24 AM in Le petit salon...

Citation (Tyi @ Oct 6 2006, 11:23 PM) <{POST_SNAPBACK}>
Il y a de la nausée pendue aux fenêtres et ses silences
Elle s’étire,
Plonge en flaque de sang à l’aube gelée.
Il y a ces ruptures en pont-mémoires
Qui s’éteignent,
Et nos yeux en terre brisée
Sous l’ écorce
Qui se déplient.


héhé, là on dirait du homère! et j'avoue que ça me fait VRAIMENT plaisir de lire ce genre de truc , écrit par une autre que lola 2007



#349130 Courte Et Brève Impression Explicative

Posted by riz(remo)mot on 07 October 2006 - 12:17 AM in Nouvelles

Citation (serioscal @ Sep 27 2006, 09:03 AM) <{POST_SNAPBACK}>
Oui ! ça se termine par "lézard indigène".

Voilà. La faute est réparée. Merci qui ?



à serioscal bien sûr smile.gif



#349093 Les Catacombes De L'âme Homerienne

Posted by riz(remo)mot on 06 October 2006 - 08:29 PM in Le petit salon...

Dimanche 19 juin 2005

La musicalité universelle, concordant l’instant événementiel d’une part et la floraison des spécificités peu accoutumés d’une autre part, prouvent inexorablement, à quel point nous sommes tous attachés au plaisir!
Le plaisir en tant que profit absolu, le plaisir en tant que but déliant d'étonnement l'instant et l'espace dénaturé, le plaisir nocturne qui d’ailleurs comme pour la douleur interne et émotive nous octroie un état d’âme! Le plaisir, un environnement à part entier ou l’hautaine morale prospère sereinement, et y est sensiblement affectée bien qu’indicible dans les différentes fonctions de langages, que nous connaissons et pratiquons quotidiennement, ou même ceux disparus depuis longtemps !
Aujourd’hui, nous sommes un dimanche…une banalité temporelle, limitée et déterminée par la mièvrerie de l'accoutumance, superficielle et pas plus importante que n’importe quelle autre mièvrerie en relation avec ce globe où règne la magie créative!
La chaleur m’accable et m’étouffe, un peu pareillement à un insecte intoxiqué par un quelconque produit nocif ! Hormis cela, je continue à croire en mes déductions d’honnête homme, qui ne sont en réalité qu’une modeste analyse théorique reflétant maintes et maintes expériences vécues, et qui aboutissent toutes cependant à ma vie frivole !
Je suis une fardeau pour le commun des l’humanité et des hommes, or impulsif et ingrat de nature, et complètement taré en un sens !
Non, il est inutile de vous dire que je suis fou, puisque je ne le suis pas tout à fait, par contre, il est assez incohérent de penser que je ne devrais pas être renfermé quelque part !
Au fond de moi, le mal, tout le mal, et si peu de bien ! Au fond de moi, j’aimerais tant savoir ce que c’est la vie d’un homme heureux, et ce que la beauté du soleil pourrait signifier dans une cellule d’émois, où le sens de l’enthousiasme perd le sens de espérance.