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Alcaline's Content
There have been 22 items by Alcaline (Search limited from 28-September 23)
#362543 Amour,_toujours
Posted by Alcaline on 11 December 2006 - 05:56 PM in Salon de publication principal
très beau texte, socque.
Bravo !
#362536 Les Putes Sont Habituées
Posted by Alcaline on 11 December 2006 - 04:49 PM in Salon de publication principal
je reviendrais te lire
continue ducon
#362409 Mon Corps Aurait Du Exploser
Posted by Alcaline on 10 December 2006 - 06:41 PM in Salon de publication principal
#362395 Mon Mec Homo
Posted by Alcaline on 10 December 2006 - 05:39 PM in Salon de publication principal
"mon mec homo il me parle d'aventures...'
laisse tomber j'ai du me tromper de registre !
#362391 Projet Martien
Posted by Alcaline on 10 December 2006 - 05:33 PM in Salon de publication principal
une suite ?
#362389 J Aurais Voulu
Posted by Alcaline on 10 December 2006 - 05:32 PM in Salon de publication principal
dire vrai
?
#362388 Projet Martien
Posted by Alcaline on 10 December 2006 - 05:31 PM in Salon de publication principal
moi je l'ai trouvé très agréable à lire
peut-être parce que je ne travaille pas...
#362387 Projet Martien
Posted by Alcaline on 10 December 2006 - 05:29 PM in Salon de publication principal
4 dollars le gramme ; c'est vrai qu'on est dans un monde où le tabac devient plus cher que la drogue !
#351164 (s) Diabolus In Musica
Posted by Alcaline on 15 October 2006 - 09:08 AM in Salon de publication principal
#351158 Rires Et Renaître
Posted by Alcaline on 15 October 2006 - 08:57 AM in Salon de publication principal
Est-ce possible d'effacer totalement son commentaire ?
#351157 Et Diverses Et Devant
Posted by Alcaline on 15 October 2006 - 08:53 AM in Salon de publication principal
#351155 Tous Feignent, Déjà Jour...
Posted by Alcaline on 15 October 2006 - 08:50 AM in Salon de publication principal
Une réflexion du matin sur l'observation des acteurs de ma rue, et si "ça pue" comme tu dis c'est que tu y déceles une odeur (la tienne peut-être) c'est donc réussi...
#350960 Tous Feignent, Déjà Jour...
Posted by Alcaline on 14 October 2006 - 09:30 AM in Salon de publication principal
Non, ce n'est pas un jugement -tu sembles te placer bien plus que moi dans ce registre- une impression seulement.
Merci de ton passage.
#350743 Paradise City
Posted by Alcaline on 13 October 2006 - 02:23 PM in Salon de publication principal
noir
J'ai en tête pour ce texte
un titre des Béruriers
de la même couleur :
Macadam Massacre
#350737 Rires Et Renaître
Posted by Alcaline on 13 October 2006 - 02:12 PM in Salon de publication principal
Merci Cloud et Carla pour vos lectures,
ainsi que Kwizera pour ses lumières
#350736 Tous Feignent, Déjà Jour...
Posted by Alcaline on 13 October 2006 - 02:08 PM in Salon de publication principal
#350735 Si Quelquefois Les Mots Se Perdent
Posted by Alcaline on 13 October 2006 - 02:01 PM in Salon de publication principal
suspendus
...
dehors de l'au-dedans
au-delà intérieur
un bien beau texte, plein de profondeur et de sensibilité
...
#350733 Et Diverses Et Devant
Posted by Alcaline on 13 October 2006 - 01:53 PM in Salon de publication principal
#350662 Rires Et Renaître
Posted by Alcaline on 13 October 2006 - 06:17 AM in Salon de publication principal
#350660 Tous Feignent, Déjà Jour...
Posted by Alcaline on 13 October 2006 - 06:05 AM in Salon de publication principal
Quelques pas de femmes. Leurs escarpins claquant des dents au rythme de talons qui ont encore froid. Le macadam que martèle la grâce, est-ce possible ? Des odeurs de parfums. A la « française ». Quelle douche dérangeante que ces bains d’odeurs de supermarchés qui masquent plus qu’ils ne révèlent. Seule la force ouvrière semble ne jamais dormir tant elle travaille déjà à embellir la ville. Rideaux nocturnes. Rides de nuit qu’ils maquillent. Comme une femme s’éveille. Déblayer la rue de ses poubelles odorantes. Camoufler les déchets. Tel ce sdf qui s’est endormi là en plein trottoir, la tête dans sa pisse, la vinasse à la main. Tombé d’un canapé qui inaugure sa rue en salon d’infortune. Avant d’en acheter un tout neuf tel un troupeau rampant jusqu’à Ikea pour tromper l’ennui dominical des moutons jettent leur canapé.
SDF, Silence Des Failles. L’éphémère en pied-à-terre. Décalage total face aux terrasses des restaurants du soir dont la clientèle bourgeoise, propre sur elle, aurait aimé avoir un autre spectacle que cette liberté avachie sous ses yeux. SDF, Sourire De façade. Celui-ci a des ailes. Quand il oublie son harmonica que les flics lui confisquent pour la nième fois. Histoire de justifier la ronde des inutiles. Farces de l’ordre.
L’air de rien, la rue récupère. La bourgeoisie ronronnante s’allège de son mobilier jetable. L’ère du rien. Comme leur nombre l’indique, les encombrants encombrent. La luminescence de l’écran devient tactile. Le clavier, la première caresse. Quelle effronterie que le jour. Courez, courez là je m’éveille tranquille. La guigne, petits guignols, ces guiboles cadencées par la RATP, l’ARTT, et autres trappes de métro que la farce finit toujours par rattraper. S’enlisant jusqu’au prochain virage, les diesels se lisent sur les visages.
Ici pourtant, il semble encore que la lumière soit le seule à faire la grasse matinée. S’amorcent les sons molletonnés d’une roue de vélo véloce à l’année moulant des mollets musclés. Un corbeau croisse là où les starters commencent. Les couacs s’orchestrent telle une insolente nature des choses qu’on tente d’oublier en la polissant, en la domptant. Ce peut-il que des talons aiguilles donnent mal à la tête. Seuls les premiers détiennent un semblant de charme.
Tous feignent. Déjà jour !
#350659 Rires Et Renaître
Posted by Alcaline on 13 October 2006 - 06:02 AM in Salon de publication principal
Coycott, un non-sens ? tu aurais dû le laisser, je lui en aurais donné un (sens)
#350588 Rires Et Renaître
Posted by Alcaline on 12 October 2006 - 06:28 PM in Salon de publication principal
les feuilles délaissent les branches hautes
aériennes un
instant
Le vertige ne tient qu’à un fil
remettre ce que l’on croit connaître et
qui n’est plus
déjà
Elles ne sont ni l’arbre qu’elles quittent ni
le vent qui les porte ni la terre
qui a tant qui
attend
Ainsi venu décroît le soleil
les feuilles entament l’envol ultime
Sans souci de ce qui
sera
plus rien ne les possède alors
il n’appartient qu’à elles quelques ailes
libres dansent plus
avant
Infime ivresse que celle du lâcher-prise
épouser le chant du monde
diapason clef du
sol
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