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#363726 La Parole Est à Dorothée Cochard.

Posted by vent on 20 December 2006 - 08:24 PM in Salon de publication principal

Ils ne voileront pas entre vos regards ces mots
Qui éliront Dorothée cochard tête de liste
Bien devant moi ( farid khenat ) son vrai acolyte
Qui vous laissera en sa compagnie jusqu’à nouvel ordre.
Merci. La parole est entre ses lèvres, la décision aussi,
Pour vous en dire que vous n’avez pas à trop parler
Pour ne rien dire.
J’en suis vraiment navré ! Je lui offre cette parole que vous n’avez pas.
Moi farid khenat.
À très bientôt.



#363534 Debout.

Posted by vent on 19 December 2006 - 07:58 PM in Salon de publication principal

Fréquemment, entre mes doigts ma rémige pleure
L’iniquité amovible des sentences guerrières
Qui bivouaquaient sur ses lèvres minaudières.

Ses témoins restaient souvent dans leurs sueurs
Froides frémissants du crépuscule à l’aurore
Comme la frondaison  qui voletait  sans sort.

Solennellement, mes mots recourent l’imposteur
Vagabondant derrière les enfoncés sillons
Qui refermaient péniblement leurs longs layons.

Les rangs finissaient souvent dans leurs grandeurs
Randonneurs sous mes doigts qui exhument les mots
Que j’ai longtemps laissés inanimés avec mes maux.

L’écuyer pourchassait, jusqu’au point d’heur
Le pleutre qui voulait murer mon mirmillon
Pour y laisser vide le layon entre les sillons,

Et le temps qui en laissait ses témoins menteurs
Au bal des lumières finissait bien chaque soir
Embastillé entre les longes du destin peinard.


farid khenat et dorothée cochard et non abderahmane, mohamed, kader, et les menteurs du temps.

"juste quelques tercets pour en dire aux lâches que je tirerai fortement prochainement."
moi farid khenat.

" elle l'autre voleuse n'a rien avoir ici désolé !"



#363286 Mon Art.

Posted by vent on 18 December 2006 - 06:39 PM in Salon de publication principal

J’ai longtemps attendu ta gésine sans perdre
La constance qui m’a laissé soutenir le désir
Talonnant mon vigoureux écuyer qui en détire
Son ton délicatement sur la courbe de tes tertres.

J’ai vidé derrière l’attente de mon âme intègre,
La vue qui pouvait soigneusement en décrire
Ma longue souffrance sans froisser mes délires
Qui me recréaient ton image comme un spectre.

L'espoir n’en avait ni couleur ni toit en ma vue
Que j’ai asséchée pour y laisser vides mes regards
Qui fuyaient la couleur noire de ma souffrance :

La profondeur de l’abîme a absorbé l’envie nue
Quand j’ai ouvert mes yeux pour revoir mon art
Et sous son toit, je l’ai bien vu mourir, son sens.

moi farid khenat et dorothée cochard.
" abderahmane, abdelkader, abdellah, kamel, mohamed, ali, ahmed, aziz, akli, slimane amine karim et compagnie n'ont rien avoir ici.



#363281 Alfred L'epouvantail

Posted by vent on 18 December 2006 - 06:31 PM in Salon de publication principal

Citation (Alba @ Dec 14 2006, 07:40 AM) <{POST_SNAPBACK}>
Bonjour JC,

Tiens! Alfred,
Le seul personnage sur lequel les saisons n'ont pas de prise.
Seul, à la lecture me gêne le "je " en strophe une, qui passe ensuite au il de la narration,
mais peut-être l'as-tu voulu ainsi ?

Pour lui réchauffer le coeur, je lui post un partenaire
Une petite chose comme ça écrite il y a une 15aine. Avons-nous les mêmes lectures? bizarre...
Amitiés
-------------------
Il gisait là déguenillé, croque-mitaine
Pendu d'effroi au jardin, telle Melpomène,
Conçu pour une hypothétique éternité
Sur la vieillesse d'une terre à féconder.

Dans sa solitude désolée, en haillons,
L'effigie symbole de la malédiction
Prédateur des corbeaux picoreurs de semences
La poupée de chiffon attifée d'insolence.

Froussard aux aguets, j'examinai, en tenaille
L'ultime protestation née sur mes limites
Nu comme un clou, l'oeil rivé, en contre-visite.

L'oeuvre populaire improvisée du bourreau
Fondait sur moi, utile objet pour louveteau,
Le protecteur des récoltes, l'épouvantail.

------------------------------------------------------
je me fais petit pour ne pas occuper l'espace de vos grands yeux
qui se ferment devant les grandeurs que vous n'aimez pas voir.
les vents ne sont pas les votres comme moi.
j'en suis navré mes faux amis ! on veille que sur sur soi quand on vous retrouve sur nos chemins ingrats.
moi farid khenat.



#363181 Toi Ma Montre

Posted by vent on 14 December 2006 - 09:14 PM in Salon de publication principal

Citation (poéte a ses heures @ Dec 14 2006, 07:46 PM) <{POST_SNAPBACK}>
Oh toi ma montre ! Qui rythme les instants
Chacune de tes secondes enrichit mon passé
Fait fondre mon futur comme un cierge allumé
Et m’entraîne un peu plus vers le soleil couchant.

Oh toi ma montre ! Messagère des dieux du temps
Tu files le temps qui passe sans jamais t’arrêter
Jamais au terme de ta course effrénée
Et les heures coulent inexorablement.

Et pourtant aujourd’hui je maudis ta lenteur.
Le jour s’écoule aux battements de mon coeur
Et il me tarde de retrouver mon Aphrodite.

Oh toi ma montre ! Ma hantise et mon courroux
Tes aiguilles ne tournent pas assez vite.
Pour l’heure de mon premier rendez-vous.


-----------------------------------------------------------------
je résume un peu ce que je veux te dire en quelques mots.

un sonnet compte deux quatrains en alexandrins et deux tercets.
un alexandrin est un vers de douze syllabes ou pieds.
un quatrain compte quatre vers
un tercet compte trois vers.
les formules classiques.
abba. abba. cdd, cdd.
abba.abba. ccd, ccd.
abba.abba. cde, cde.
abba.abba. abb, abb.
abba.abba. acc, acc.
abba.abba. cca, cca.
néo-classique.
abba.abba. ccd, ede. et il faut faire attention à la ponctuation qui compte beaucoup dans les sonnets et le classique en général.
on réplique à chaque exclamation (! ) par une autre comme les interrogations (?)
on surveille la ponctuation, les rejets les enjambements et les syllabes et bien sûr la langue poétique.
petit exemple: chasseresse au lieu de chasseuse
nautonier au lieu de marin
aède au lieu de poète etc.
merci.
moi farid khenat.



#363169 Je N'aime Pas L'ingratitude Et La Lâcheté.

Posted by vent on 14 December 2006 - 08:34 PM in Salon de publication principal

Citation (Paname @ Dec 14 2006, 07:27 PM) <{POST_SNAPBACK}>
Ce qui me parle surtout, c'est la simplicité d'un vocabulaire aussi familier et quotidien que "contemplateur", "ère", "licier", "empennée", "aubade", "aède" et tutti quanti...
Poésie presqu'un peu trop banlieusarde cependant...On pourrait vous soupçonner de ne travailler qu'à l'élévation des masses les plus viles...

Par contre, je ne comprends pas trop "aiguille", "rêve", "touriste", "envie", "effort"...qui me restent trop abscons. Vous comprendra-t-on jusqu'au bout hors-les-murs ?

Bien à vous
Moi, Paname en solidaire

--------
je crois que tu veux bien dire le contraire car l'ère, licier, empenée aubade et aède sont un peu rares dans le vocabulaire d'aujourd'hui par contre le rêve l'envie, et l'effort on les retrouve souvent en nos lectures.
ère=époque
licier=couturier
aubade=concert, récital etc.
aède=poète, aristophane, rhapsode, barde etc.
empenée=ailée
contemplateur=moraliste, philosophe, penseur, rêveur etc.
merci.
moi farid khenat.
" j'ai cessé de rimer en alexandrins jusqu'à nouvel ordre pour des raisons personnelles"



#363098 Je N'aime Pas L'ingratitude Et La Lâcheté.

Posted by vent on 14 December 2006 - 04:04 PM in Salon de publication principal

Je n’offrirai pas un autre fil à ton licier
Qui voulait raccommoder l’ère oubliée.
Je n’offrirai pas l’aiguille qui se brise
Sur ta mise à l’autre main qui l’aiguise.    

Evasive, sous les ailes du rêve fougueux
Tu as voleté les cieux des brumes assises
Dessus l’agilité des souffles printaniers.

Contemplateur, je suis resté au devant
Des mobilités qui valsaient sur le loess
Empenné de ma pensée scrutant le ton
De mon aède qui caressait l’allégresse.

O, aubade versatile ! L’évasion touriste
Sommeille de plus en plus entre tes airs
Et elle n’en tire de l’effort que sa triste
Fin comme un volatile survolant la mer.

O, envie perfide ! Sûrement, son voeu
Survolant l’ampleur du néant sans mise
Égarera au retour ses ailes et ses alliées,

Et loin des yeux qui fouinaient les lieux
Son âme égarée priera vaine ses aïeuls.


moi farid khenat en solitaire.
erreur ! ahmed, akli, houcine mohamed n'ont rien avoir ici. désolé ! je reste seul loin de la lâcheté
et l'ingratitude.
j'ai dit moi farid khenat seul



#362939 Les Ingrâts

Posted by vent on 13 December 2006 - 09:27 PM in Salon de publication principal

Citation (grandvent @ Dec 13 2006, 09:17 PM) <{POST_SNAPBACK}>
Durant toute sa vie avec une grande envie
Des risques faisant fi aux grands et aux petits
Aux âmes suppliant secours, de nuit comme de jour
Il offrait son concours sans aucun malin détour

Même à celles des vendus, même à celles des maudits.
Ignorant la négation depuis qu’il était enfant
Mais voilà que ceux-là même s’avèrent êtres méchants
En dévoilant leur haine ainsi que leur jalousie,

Jusqu’à ignorer ses services sans aucune gêne,
Et ses sacrifices avec grande malice
Jusqu’à le traiter d’ennemie en lui causant supplice
Ah ! Sales vermines. Ah ! Mauvaises graines.

A l’avenir au grand jamais vous ne siégerez à sa table,
Car dorénavant vous faites partie du menu du diable.
Au grand jamais il croisera votre chemin

Irrigué de venin et parsemé d’embûches
Qui font qu’à chaque enjambée il trébuche,
Jusqu’à lui faire autant de mal que de bien

Désormais, advienne ce qu’adviendra il vivra
Le restant de sa vie comme il le voudra
En s’engageant pour toujours dans une seule voie
Qui n’a d’autre loi, que sa propre loi
.

c'est la vérité !
ceux qui nient sont bien les faibles qui ne pourront jamais faire face à la réalité
et cette réalité n'est pas nue aux yeux des justes pour la rhabiller d'un mensonge.
merci.
je sais qu'ailleurs les braves gens savent encore admirer les sacrifices.

moi farid khenat.



#362743 Tel L'éclat Du Jour.

Posted by vent on 12 December 2006 - 07:00 PM in Salon de publication principal

Où l’éclat du jour finissait rougissant,
Où les flammes brûlaient leur couleur
Vermeille pour réchauffer les frissons
Du déclin les enflammant d’un leurre.

Où les lueurs s’éteignaient timidement,
Où l’hâlée chamarrait sa pâle flamme,
Pour tisser un soyeux lœss au serment,
J'assoupirais, mes craintes et mon âme,

Pour en faire de ma mort un autre amour
Qui ressemblerait à sa vieillesse céleste,
Ou à sa renaissance sur les rives du jour.

Où l’éclat du lever renaissait flamboyant
Où les oiseaux chantaient leur délivrance
Matinale pour l’animer d’un air attrayant,
Où l’encense rassasiait la concupiscence,

Pour rehausser l’amour, la belle hâlée
M’attendant entre ses flammes ardentes,
Et ses couleurs qui rhabillaient son ignée
Flamme, je l'entourerais d’une main ardente.

Et pour en mourir d’amour, je suivrais le jour
A mon tour inlassablement, où les lestes
Etoiles, refaisaient somptueusement leurs coures.


dorothée cochard, farid khenat et non akli. désolé !


Enregistré le 19 Mai 2006 à 19:06
par 1807657

Oeuvre Originale

Auteur :
dorothée cochard et farid khenat
par moi farid khenat.

" nous les kabyles on ne peut pas humilier un kabyle même menteur et ils sont tous des menteurs mais ils ont bien l'âarouch à leurs côtés"

les corrections apportées à certains poèmes que j'ai posté ailleurs en les repostant ici sont les miennes. désolé ! ils n'ont jamais écrit un mot avec moi.
moi farid khenat.



#362737 Toi Qui Faisais Battre Mon Coeur.

Posted by vent on 12 December 2006 - 06:19 PM in Salon de publication principal

Toi qui faisais battre mon cœur d’un fin sourire,
Toi qui brillais dans l’instant de l’unique évasion
Qui me laissait évasive pour plaire à mes délires,
Toi le chasseur habile sur l’accent de ma raison,

Je ne t’en voudrais point, si tu repartais demain
Refaire tes mots où les maux doraient leur plainte
Au côté des flammes qui contraignaient leur Fin.

Toi qui faisais battre mon coeur, si tu lâchais l’amarre
Du regard barricadant les belles rives de tes yeux,
Pour en faire un appât, un amuser et un long écart
Où tes conceptions repeignaient l’amour et les vœux.

Je ne te laisserais pas déchirer le courroux des flots
Qui émergeait gris avec les remontées les tissant en nattes
Et je ne lâcherais jamais l’amarre du regard où les eaux

Se froissaient habilement pour déplaire à la quiétude
Des colères les déchirant à chaque remontée aux larges,
Mais pour te dire je t’aime, où rougissait l’habitude,
Toi qui faisais rougir l’amour, je t’offrirais ses belles pages.



dorothée cochard, farid khenat



Enregistré le 17 Mai 2006 à 19:14
par 1807657

Oeuvre Originale

Auteur :
dorothée cochard par moi farid khenat.

je suis encore là moi hamid khenat.



#362316 La Longueur Des Billets Ou Le Son Des Pièces ?

Posted by vent on 09 December 2006 - 07:47 PM in Salon de publication principal

Ces dormeurs qui vidaient leurs heurs
Aux creux des vieilles craintes, sectaires
A leur réveil, aux côtés de leurs sœurs,
Ils dénuderont à leur tour leurs derrières.

Rallongez vos sommeils pour survivre !
Le monde des tourteaux est studieux
Comme celui des riches, qui, ivres
En restaient en l’heur du rêve moelleux.

Dormez-vous ! Le silence est scellé
Et où vous iriez pour roupiller, l’appel
Des morts que vous craignez démêlés
En vos oreilles, ne retentirait pas sensationnel.

L’éthique s’est blessée entre vos lèvres
Qui cherchaient le sein de l’enfance ;
Son sel est resté bien longtemps aigre
En vos gorges qui rotaient d’accoutumance.

Et vos cris qui survolaient asséchés le néant
Revenaient souvent vides, vous accompagner
Au silence pour mieux dormir comme auparavant
Aux côtés des riches et vos sœurs déshabillées.



MOI hamid khenat.



#362178 J'ai Encore Mes Yeux.

Posted by vent on 08 December 2006 - 06:57 PM in Salon de publication principal

Citation (DJ-b. @ Dec 8 2006, 06:46 PM) <{POST_SNAPBACK}>
au fait, est-ce que t'as avoir avec les andouillettes

oui ! comme tes soeurs je dirai.



#362172 J'ai Encore Mes Yeux.

Posted by vent on 08 December 2006 - 06:43 PM in Salon de publication principal

Je vois ! Elle a vidé ses lèvres
D’un seau sans anse
Pour en arroser les mièvres
Mots de sa carence.

J’ai vu tout autour des maux
Qui creusaient en profondeur
Ma douce main caresser mes mots
Qui tremblotaient de frayeur.

Quelle obédience !
Nous ne sommes pas de ce temps
Nous les morts qui tendent leur accent
Sur les lèvres du silence.

Quelle coïncidence !
Ils sont de votre monde
Ces morts qui fuient les landes
De l’existence,

Pour ne pas mourir une nouvelle fois
Dans la décence.
Mais quoi qu’ils feront ces rois
Du monde du silence
Ils ne supporteront jamais le poids
De nos remontrances.

Quelle insistance !
Vous voulez encore parler pour ne rien dire
Vous voulez apprendre ce que vous n’avez pas pu lire.
Quelle outrance ! J’ai vu de loin vos mauvaises fronces.

MOI HAMID KHENAT.
never beni-aissi slimane, marie, Alger, la police, cheb boual, ou autre... désolé !



#361960 Passage Du Temps

Posted by vent on 07 December 2006 - 05:00 PM in Salon de publication principal

Citation (Carla. @ Dec 7 2006, 04:49 PM) <{POST_SNAPBACK}>
J'aime les passages, de lieux, de temps...
Il y a des périodes, où on apprécie chaque secondes...Bisous. smile.gif


le temps est un vide qui se charge difficilement quand on le vide.
je le viderai prochainement, facilement.
moi farid khenat.



#361959 Dessous L'épar Des Longévités.

Posted by vent on 07 December 2006 - 04:52 PM in Salon de publication principal

Dessous l’épar des longévités naissantes, j’ai vu
Périr l’unique nova qui veillait longtemps
Sur son écuyer galopant tout autour des rangs
Que la reine redressait pour enclore les vues.

Entre les inanimés qui attendaient l’aurore, nus,
Il s’était allongé pour berner le mécontent
Qui affermissait les nouvelles réactions du temps,
Mais il a fini par perdre son ton entre les mues.

Les galops qu’il avait à l’oreille, assourdissants
Etaient ceux du jour qui fuyait languissant
L'iniquité des soldats qui lui volaient l’élan ;

La prison dépendait de la nuit scindant l’effort
Du jour qui se déployait sur ses chemins, lent
Et l’éclaireur mourant est noir, sous son tort.

moi farid khenat
non ! ni kamel ni noël ni le temps ou autres akli, rabah, mohamed ahmed, smail, amar sammuel et orange ici . désolé !
moi farid khenat.



#361936 Autour De Sa Taille.

Posted by vent on 07 December 2006 - 02:36 PM in Salon de publication principal

Citation (Jakolarime @ Dec 6 2006, 12:58 AM) <{POST_SNAPBACK}>
Ah ça ! barioler les pourtours en ronflant vaillamment, bordel, c'est vraiment un des trucs que je kife le plus, moi aussi.
Amoureux ou pas.
Et t'as bien raison : leur noirceur, on s'assoit dessus.
Hardi, Farid, on les aura !

J.

----------------------
oui jacques je m'amuse bien avant de tirer encore bien fort.
et c'est ma stratégie.
moi farid khenat



#361574 Autour De Sa Taille.

Posted by vent on 05 December 2006 - 06:47 PM in Salon de publication principal

Furtivement, j’ai glissé ma main,
Autour de sa taille pendue
Ronde à ses beaux seins,
Insoutenables avec le contenu.

Dansotant, j’ai rhabillé ma passion
Kleptomane, qui voulait dérober
Honnêtement une mensuration,
Entraînante  du corps qu’elle enrobait.

Notre envie n’était pas chaude
Au fond de nous-mêmes, pour
Tirer autrement de ses commodes,
Le plaisir qui comblerait l’amour,  

Et l’instant qui fuyait nu le jour,
Vaillamment, où les amoureux
Ronflaient pour barioler les pourtours
Assis dessus leur noirceur, silencieux,
Il partait bien redorer ses atours
Avec sa mesure pour y rester chaleureux.

Un regard doux, rallumerait bien mes feux,  
Toutes mes flammèches de l’amour,
Et le beau sourire rallongerait tes liens
Un par un si tu veux l’adoucir, mais notre jour
Resterait encore à leurs yeux pendu comme nous les riens.


moi farid khenat.



#361185 Moi L'enfant Des Ténèbres.

Posted by vent on 03 December 2006 - 09:14 PM in Salon de publication principal

Moi, le descendant des ténèbres,
Ce soir, comme les autres égarés,
Où les ombres défilaient célèbres,
J’attendrais sa fin pour l’honorer.

Où brillerais-tu flamme, si l’œil
Te regardant luire céderait l’art
De ta conception à celle du deuil
Recouvrant l’espace des regards ?

En mon grand cœur assurément !
Et tu ne pourrais mieux rougir
Qu’en mes yeux avec ce moment
Que j’illuminerais pour mourir.

Où prendrais-tu ta fin quand la nuit
Recelant les brilles et les rames
Reviendrait régner sans bruit
Pour en laisser froide Ton âme ?

Assurément où tu m’attendrais !
Et je ne te laisserais que cendres
Et fumées tout autour des orées
Pour y laisser le temps sombre.

L’horizon noircirait en son doute
Le temps se friserait en ses voûtes.
Le soleil dorerait loin sa mise ;
L’écart referait ses pas et ses frises,

Puis, le soir quand rougirait la face
Qu'il présenterait derrière l'almée,
Je la laisserais mourir en sa brasse
Pour te revoir rougeâtre, allumée

Et mon descendant des ténèbres,
Cette nuit, tel les autres égarés,
Où les spectres défilaient célèbres,
Il s’y rendrait afin de s’en oublier.


hamid khenat et dorothée.



#361178 Rêve D'amour

Posted by vent on 03 December 2006 - 08:39 PM in Salon de publication principal

Citation (Jakolarime @ Dec 3 2006, 01:55 AM) <{POST_SNAPBACK}>
(Un sonnet gratuit à qui devine sur les rimes de quel poème a été écrit celui-ci)
Rêve d’amour
Lorsque au bord de l’étang, songeuse et décoiffée,
Courbée à la façon des narcisses penchants,
Sur le miroir des eaux tu invoques la Fée,
Les korrigans ravis surgissent de leurs champs.

Ils viennent, transportés d’allégresse suprême,
T’admirer presque nue… Ils crient : « Nous triomphons
Quand tu es parmi nous, toi qui seule nous aime,
Toi dont nous connaissons les sentiments profonds ! »

Jacassant, ils s’assoient tout au long de la rive ;
Ils éclatent de rire, et se moquent parfois
De ton air trop sérieux, ou de l’humeur pensive
Où te plonge soudain le bruissement des bois.

Maudit soit ce jour où, rêvant sur ton rivage,
J’ai cru te voir trônant au cœur des pampres verts !
Depuis que j’ai sombré dans cet amour sauvage,
Mon beau songe en allé met mon cœur de travers !

Jakolarime © 30 mai 2006

- tout simplement " des esprits korrigans " et mes acrostiches qui ne sont pas à elles.



#361176 La Noyade Sidérale.

Posted by vent on 03 December 2006 - 08:21 PM in Salon de publication principal

Belle hâlée sur le radeau vespéral du soir !
J’aimerais bien en dérober de ta rougeur l’ire
Du jour assoupissant pour en accorder ma lyre
À l'assonance du ton illuminant le perchoir.

Amblyope nuit sous le toit du temps blafard !
La dernière lueur que tu chasseras du nadir,
Je la rallumerai mélodieusement pour relire
L’épigramme de l’abscons s’étirant au juchoir :

Les cierges fondent sous les larmes de mon amati
Qui tangue l’art des quiétudes de quelques ouïes
Lorsque son harmonie réveille les longs silences,

Les moments ronflants aux tréfonds des plaisirs
S’étirent quand il promène toute sa clémence
Sur sa distance, mais jamais sous l’épar d’hiver.



hamid khenat et non noël et compagnie.



#360983 Ici Comme Ailleurs

Posted by vent on 02 December 2006 - 05:22 PM in Salon de publication principal

Citation (bobine @ Dec 2 2006, 03:47 PM) <{POST_SNAPBACK}>
Ici comme ailleurs
je te le redis
taillé ou brut
ce texte je le prends

il résonne

et je n'oublie pas de rire
wink.gif

vous pouvez tout prendre bien sûr sans que vous sachiez ce qui vous attend.
un boubou tu le prendras ?



#360938 Sans Détour.

Posted by vent on 02 December 2006 - 02:43 PM in Salon de publication principal

Fortement, je soufflerai sur les flammes
Que l’hiver voulait éteindre d’une larme.
Hardiment, j’aveuglerai l’œil du temps
Estampant à l’horizon l’hiver, consentant.

Je suis l’haleine qui en berce les nuages
Vaillamment quand les cieux pleurent
L’absence du soleil tempérant les rivages
Assis, souffreteux entre les vieilles terreurs.

Je suis le souffleur qui en ranime la nature
Doucereusement, quand l’hiver s’amarre
Sombre au point du jour larmoyant impur
Entre ses gerçures pour redresser son épar.

Les suzerains seront de retour sûrement,
Quand il inhalera les luits du temps au seuil
Des remontrances pour en étaler le limon
Du silence qui renaît muet comme un deuil.

Les suzeraines chercheront la princesse
Entre les pieds des soldats qui chantaient
Librement leur retour au toit des liesses
Qui était auparavant l’abri de ses matées.

Sans retient, je veillerai autour des flammes
Que l’hiver voulait éteindre d’une larme.
Hardiment, je soufflerai d’un autre accent
Sur les braises qui alliaient le soleil du printemps,

Et pour maintenir l’heur des concupiscences
Entre ces flammes, l’apparence ou la renaissance
Du temps si elle advenait, je la noircirai d’une fumée
Sans égale pour y laisser au règne la belle almée.

hamid khenat.

shuuuuut les cons ! Ne vous fatiguez pas jardin kenatien.


farid_khenat@yahoo.fr
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Date: Sat, 21 Oct 2006 20:39:31 +0200 (CEST)


vent,

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#360841 Aux Tréfonds Des Heurs.

Posted by vent on 01 December 2006 - 09:14 PM in Salon de publication principal

Ce soir, lorsque la nuit resurgira galopante
Entre ses soldats noirs pour en épouser l’allure
Du temps pansant vain ses dernières blessures,
Quand l’errance carénera sa revanche béante.

Le chemin menant à l'origine des belles régentes,
Il l’errera promeneur jusqu’au seuil des mûres
Plissures qui saignaient aux tréfonds des pures
Gerçures ténébreuses afin de les rendre liantes.

L'aurore calfatera le jour d’une armure solide ;
Le soleil dévêtira hardiment la nuit sordide
D’un lever ardent pour en accoutrer l’horizon,

Le printemps courtisera ses fleurs, matutinal
De quelques bises infimes pour louer la saison
Et le jour venant, sa durée, il l’ornera, féodale.

hamid khenat.



#360391 Un Autre Souffle.

Posted by vent on 29 November 2006 - 08:11 PM in Salon de publication principal

A sa cangue d’un souffle, je le rendrai ce temps
Frondeur rabrouant sous mes yeux grandement
Les fougues du soleil qui caressait habilement
L’aimant jour l’énonçant exquis au printemps.

A ses hauteurs, je le remettrai vif et miroitant
Ce soleil épris recherchant ses espacements
Derrière les floches nuageuses constamment
Assises sur la contenance des aspects flottants.

L'épave est une mesure qui survole sans ailes
L’image qu’elle étale entre deux gésines réelles
Pour grumeler les douces larmes du renouveau ;

Le vent est un indolent promeneur qui assèche
L’hiver hâlant sous le temps qui le pourlèche
Et quand il souffle, le temps s’étale gris et bot.

hamid khenat.



#360179 L'éternel Soleil.

Posted by vent on 28 November 2006 - 09:10 PM in Salon de publication principal

Il partait embrasant, s’éteindre sur les flots
Qui dandinaient leur allure entre les lames
Il enflammait l’horizon merveilleusement,
Avant la perte du jour en son engouement,
Pour tempérer le ton rougissant dans l’âme
Des files qui gisaient pâles entre les maux.

Les images retombaient vite de leur sceau
Les couleurs finissaient vieillardes et noires
Sous les assauts opaques de la nuit austère.
Le temps recherchait aveugle ses prospères
Moments entre les méphistophéliques tsars
Qui chassaient les forces rebelles du berceau.

La lune recherchait la distance de l’hublot
Clos, pour s’arborer luisante entre les rangs
Qui repoussaient les files filantes, invisibles.
Et l’errance stellaire qui disputait l’indicible
Temps pour l’illuminer, risible face au front
Rond, elle s’heurtait, comme ses durs rivaux.

Il revenait resplendissant, tempérer les flots
Qui dandinaient leur allure entre les lames
Il rallumait l’horizon aussi merveilleusement,
Pour raccompagner le jour à son engouement,
D’un accent attrayant, mais il rendait son âme
Au même lieu, chaque soir sous le tombereau.


moi farid khenat en solitaire.


je n'ai rien avoir avec akli, kamel, slimane, said, idir, sebastien, mohamed rabah et compagnie.