Jump to content


Roscoe's Content

There have been 7 items by Roscoe (Search limited from 02-June 23)


By content type

See this member's

Sort by                Order  

#359187 Dernière Chance

Posted by Roscoe on 25 November 2006 - 09:06 AM in Salon de publication principal

Citation (LisAbelle @ Nov 24 2006, 05:54 PM) <{POST_SNAPBACK}>
Roscoe
J'aime beaucoup l'image que renvoie cette prhase:
Ce coeur, une source d'amour qui coule sans fin... Je trouve ça tres délicatement representé.
Bien amicalement.

Lisa.


C'est aussi la partie que je trouve plus réussie.
Il faudrait que j'apprenne la délicatesse!
Merci en tous cas d'être passée!

Citation (Salam @ Nov 24 2006, 06:01 PM) <{POST_SNAPBACK}>
"Tu résistes à mes attaques,
Tu t’enfuies quand je te traque,
Mais tu ne m’échapperas pas
Car tu n’en as pas le choix."

ça ce n'est pas de l'amour c'est de l'emprise
c'est le sentiment de toute puissance du petit garçon dans l'homme

pour le reste c'est de l'amour plus partagé
l'obstination et puis la haine

"Ton cœur est vide. Le mien est plein
D’une source d’amour qui coule sans fin.
Elle t’appartient, je te la donne,
Mais, prends-en soin petite conne !

Ta dernière chance, tu l’as jetée.
Sache que pour toi, tout est raté.
Si maintenant tu m’acceptais,
D’un coup de main, j’te balaierais "

puis enfin la résignation
douleur

"Dans la nuit sombre qui peuple ma vie,
Comme une belle ombre, tu as surgi.
Ta flamme claire m’a consumé,
Loin de ta chair, je suis cassé."

peut-être après un autre amour...


L'amour est bien difficile à trouver et à garder pour les jeunes d'aujourd'hui...



#359079 Dernière Chance

Posted by Roscoe on 24 November 2006 - 03:34 PM in Salon de publication principal

Tu résistes à mes attaques,
Tu t’enfuies quand je te traque,
Mais tu ne m’échapperas pas
Car tu n’en as pas le choix.

Tes yeux tournent quand je te fixe,
Ta bouche se ferme, ton âme s’éclipse,
Que t’ai-je fait sans le savoir ?
Parole ratée, fallait pas y croire.

Depuis ce jour, entre nous deux,
Un mur se lève épais et creux.
De mon poing je l’écroulerai,
Au moins, est-ce que tu le voudrais ?

Ton cœur est vide. Le mien est plein
D’une source d’amour qui coule sans fin.
Elle t’appartient, je te la donne,
Mais, prends-en soin petite conne !

Ta dernière chance, tu l’as jetée.
Sache que pour toi, tout est raté.
Si maintenant tu m’acceptais,
D’un coup de main, j’te balaierais !

Dans la nuit sombre qui peuple ma vie,
Comme une belle ombre, tu as surgi.
Ta flamme claire m’a consumé,
Loin de ta chair, je suis cassé.



#358926 Rambo-crockett

Posted by Roscoe on 23 November 2006 - 04:12 PM in Salon de publication principal

Simple?
Ah bon!



#358912 Rambo-crockett

Posted by Roscoe on 23 November 2006 - 03:41 PM in Salon de publication principal

Citation (Remo @ Nov 23 2006, 03:37 PM) <{POST_SNAPBACK}>
amusant en tous les cas, y a une musique là-dessus ?


Certainement quelque chose de Rock!
Je vois bien les Bérus, par exemple.



#358909 Rambo-crockett

Posted by Roscoe on 23 November 2006 - 03:33 PM in Salon de publication principal

Citation (Alba @ Nov 23 2006, 03:20 PM) <{POST_SNAPBACK}>
moi qui suis Pacifique,
j'aimerai une version bleue....


Une version schtroumpf?
Pourquoi pas, je vais y réfléchir!



#358872 Rambo-crockett

Posted by Roscoe on 23 November 2006 - 11:44 AM in Salon de publication principal

Citation (belvis @ Nov 23 2006, 11:23 AM) <{POST_SNAPBACK}>
Cest Harlem ?...


Possible!



#358863 Rambo-crockett

Posted by Roscoe on 23 November 2006 - 11:13 AM in Salon de publication principal

Les ténèbres envahissent la ville.
Quartier pourri, une étoile brille.
Le bitume chaud colle sous mes pieds,
J’sors mon couteau à cran d’arrêt.

Les murs frissonnent, les vitres crient,
Dans cette zone, y’a pas d’ami !
Murmure trahi, je suis pas seul,
Un mec sorti à la sale gueule.

Hache dans la main, il s’approcha.
Je n’disais rien, il m’appela :
« Hey mec, qui t’es ? »  Je me suis tu.
« Tire-toi vite fait ou je te tue ! »

Bien décidé à ma défendre
Je bouge mon pied et jette ma cendre.
Le mec se marre, me saute dessus,
Mais je le plante d’un coup pointu.

Voilà l’histoire comme elle était ;
Le gros balaise s’est fait niquer.
« Avis à l’autre, j’lui fais sa fête ! »
Faut pas toucher Rambo-Crockett.