Caché dans les plis du béton
Je reste assis dans mes fumées
Où se brisent les mers de sons
Venues des veillées avinées
Les vapeurs sourdes, vives, folles
Empestent lourdes ma retraite
Où j'empile les formes molles
Echouées des marais de ma tête
N'y tenant plus je sors : je glisse
Au bord des faces de la masse
Et je contemple avec délice
[list](Elles ne sont pas pour ta race
O Solitaire plein de vice !)[/i][list]
Les joies naïves de la place
Eternellement subreptices
Futilités tachées de grâce

2 replies to this topic
1 user(s) are reading this topic
0 members, 1 guests, 0 anonymous users