Un être s’éteint
Et le vieux sage s’affranchit
Sur le blanc de l’homme noir
Les rides coulent comme des rivières
Et dans le puit des pistaches
Il y a cette voix
Qui s’offre
Honorable
Etable
Dans le foin, le point
« illé, illé, bons gens »
mais
L’érable souffre
Et
C’est comme, impossible
La confusion du temps saigne
Les aigles sont en berne
Un albatros se tait !
S’est-il tu ?
Et l’hisotoire reprend sa route
Sur la déplume
Qui git
Ici
Au fond de l’orée du monde.
« N’ai-je donc vécu
Que pour cette infamie ? »
Le lustre hésite
Et se tait.
Le couloir est noir.
Après, le froid
Comme une pieuvre céleste………………………………………………………………………………….
Reste la levure
On appelle ça aussi- peinture

Peindre et étreindre
Started by arpage, Dec 30 2005 02:13 PM
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