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à l'intérieur de ces noyaux d'armature
de ces noyaux d'amertume il reste comme
un squelette de conscience encore en vie
et dessous l'entassement des cervicales
des cervicales en escalier d'escalier
la vie déploie mutine son puits de tenebres
son puits de tenebres à descendre descendant
dans les limbes profondes
mes vertebres se sont tassées
du cheveu terne aux lombaires
mais le ciel soudain libère
le doux soleil de septembre
[ et soudain tombe muet et sombre
l'excrément d'une blanche colombe ]
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11'92361'8
Started by strofka, Jan 14 2006 03:42 AM
6 replies to this topic
#1
Posted 14 January 2006 - 03:42 AM
#3
Posted 14 January 2006 - 09:10 AM
Il est vain d'essayer d'expliquer l'inexplicable
Ce sont tes mots
Que j'aime lire
Ce sont tes mots
Que j'aime lire
#4
Posted 14 January 2006 - 10:45 AM
ouais je suis
je reconnais ta lecture dans ma lecture
donc c'est toi
peace
je reconnais ta lecture dans ma lecture
donc c'est toi
peace
#5
Posted 14 January 2006 - 01:18 PM
-
merci de m'avoir
sauvé.. un peu
de l'oubli.
-
merci de m'avoir
sauvé.. un peu
de l'oubli.

-
#6
Posted 14 January 2006 - 03:33 PM
Comme un cauchemar, une chute accélérée,...
pour une fin tout en douceur, une infinie douceur.
Lu, relu, écouté. Aimé.
pour une fin tout en douceur, une infinie douceur.
Lu, relu, écouté. Aimé.
#7
Posted 14 January 2006 - 06:35 PM
Citation (heloise @ Jan 14 2006, 09:10 AM) <{POST_SNAPBACK}>
Il est vain d'essayer d'expliquer l'inexplicable
Ce sont tes mots
Que j'aime lire
Ce sont tes mots
Que j'aime lire
Que devais-je dire de mieux ?
Je dis quand j'aime
Rarement quand je n'aime pas
J'ai du mal à expliquer pourquoi j'aime
Mais je sais dire pourquoi je n'aime pas
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