Lorsque la pureté recouvre
Ce paysage autrefois mort,
Toutes les pensées s’entrouvrent
Pour s’offrir à cet astre d’or.
Dès lors, tous les anges rient
Leurs gorges douloureuses les étranglent.
La volupté est ce mal
Qui creuse sur les visages un sillon lacrymal.
Les lourdes larmes des dieux
Ont chu, noyant en même temps les yeux
Et submergeant les coeurs.
Révélant ainsi d’exquises splendeurs.
Et là, comme la toute première fois,
Le Ciel chante de sa douce voix.
Cet immense monde de délices fermé par les sens
Excède de munificence.
Ce paysage autrefois mort,
Toutes les pensées s’entrouvrent
Pour s’offrir à cet astre d’or.
Dès lors, tous les anges rient
Leurs gorges douloureuses les étranglent.
La volupté est ce mal
Qui creuse sur les visages un sillon lacrymal.
Les lourdes larmes des dieux
Ont chu, noyant en même temps les yeux
Et submergeant les coeurs.
Révélant ainsi d’exquises splendeurs.
Et là, comme la toute première fois,
Le Ciel chante de sa douce voix.
Cet immense monde de délices fermé par les sens
Excède de munificence.