10 replies to this topic

[Remo]

Je prends la bougie
Verse verse sur ta gueule enfarinée
de petite midinette et je jette
Deux fois quelque poudre de perlinpinpin
Histoire que tu végètes au soleil de mes couchants
La cire écoule ses humeurs entre mes doigts gelés
Que ta peau grève
Corps stupide ! J'abdique ainsi devant ta nudité
Je me congère, me rétracte, m'artefacte
Me maudit soit les lunes si graves qu'elles grèvent mon animalité
Je me rétracte.
Lors ta flemmèche s'effiloche à mon fluide
Si puissant soit-il, n'est-il alors que le fil
ténu
Que la cire abandonne ?
Je prends la bougie
Verse averse sur ta gueule enfarinée
De petite midinette l'excès
De mon être le superflu.

[moonage]

intéressant cas de poésie faciale...

[Remo]

je suis tellement bourré que je ne me suis même pas aperçu que j'avais écrit un truc cochon ....
Vite Modérateur, Moderato cantabile et plus si affinité !

[Sebastian1980]

Vite une vodka !!!

[moonage]

je suis tellement bourré que je ne me suis même pas aperçu que j'avais écrit un truc cochon ....
Vite Modérateur, Moderato cantabile et plus si affinité !

Allon allons, pas de fausse modestie!

[Remo]

mais qu'est-ce-que vous avez tous avec Chloé Delaume ?

[Sebastian1980]

Perso je l'ai rencontré dans une librairie du 20ème pour une séance de dédicace, très sympa comme fille, la séance de lecture de son dernier livre reste un chouette moment de cette soirée.

[Remo]

Allon allons, pas de fausse modestie!

euh, je suis pas du genre modeste, là j'en tiens une bonne (qui m'oblige à corriger toutes les deux secondes), et j'ai vautré ça en une minutes et 48 secondes exactement, ce qui est très fort .

[Remo]

et apparemment j'avais pas le droit, aujourd'hui peut-être que oui , bon, le titre c'était : un soir de biture, parce que en fait j'étais sacrément eméché quand j'ai bavé ça, sinon j'aurais appelé ça autrement, forcément, du style : un soir de crêpes au cidre ou un soir que je buvais de l'eau.



Je prends la bougie
Verse verse sur ta gueule enfarinée
de petite midinette et je jette
Deux fois quelque poudre de perlinpinpin
Histoire que tu végètes au soleil de mes couchants
La cire écoule ses humeurs entre mes doigts gelés
Que ta peau grève
Corps stupide ! J'abdique ainsi devant ta nudité
Je me congère, me rétracte, m'artefacte
Me maudit soit les lunes si graves qu'elles greffent mon animalité
Je me rétracte.
Lors ta flemmèche s'effiloche à mon fluide
Si puissant soit-il, n'est-il alors que le fil
ténu
Que la cire abandonne ?
Je prends la bougie
Verse averse sur ta gueule enfarinée
De petite midinette l'excès
De mon être le superflu.

[G .]

oh c'est bô

très bô

excessivement bô

c'est pour Mounette

suis sûr !

[Remo]

ah non, je l'ai écrit en pensant à toi.