Un sourire de feuilles agite la forêt.
Un doux frisson s'envole vers le ciel, indécis.
Un oiseau s'est posé en ramenant la vie
Qui chaque mois de mars, par le printemps, renaît.
Le ruisseau que le froid nous a fait oublier
Recommence à chanter en étirant ses plis.
Qu'il est doux à nouveau d'en entendre le bruit
Pendant qu'à notre oreille on rend la liberté.
Les femmes, épanouies, nous montre leur beauté.
Leur peau douce s'éclaire quand tombent leurs habits.
La pudeur, peu à peu, doucement s'abolit
Car leur corps au soleil va sous peu se livrer.
Entendez-vous au loin qu'il arrive, l'été !
La chaleur, trés bientôt va déserter son lit
Pour poser sur le monde l'étrange mélodie
Qui tirera l'humain, un temps, de son foyer.
Baudelarme
Le Retour Du Printemps
Started by Baudelarme, Apr 01 2006 11:24 PM
5 replies to this topic
#1
Posted 01 April 2006 - 11:24 PM
#2
Posted 02 April 2006 - 08:38 AM
c'est si bon !!!!
amitiés
amitiés
#3
Posted 02 April 2006 - 09:37 AM
Citation (Baudelarme @ Apr 2 2006, 12:24 AM) <{POST_SNAPBACK}>
Un sourire de feuilles agite la forêt.
Un doux frisson s'envole vers le ciel, indécis.
Un oiseau s'est posé en ramenant la vie
Qui chaque mois de mars, par le printemps, renaît.
Le ruisseau que le froid nous a fait oublier
Recommence à chanter en étirant ses plis.
Qu'il est doux à nouveau d'en entendre le bruit
Pendant qu'à notre oreille on rend la liberté.
Les femmes, épanouies, nous montre leur beauté.
Leur peau douce s'éclaire quand tombent leurs habits.
La pudeur, peu à peu, doucement s'abolit
Car leur corps au soleil va sous peu se livrer.
Entendez-vous au loin qu'il arrive, l'été !
La chaleur, trés bientôt va déserter son lit
Pour poser sur le monde l'étrange mélodie
Qui tirera l'humain, un temps, de son foyer.
Baudelarme
Un doux frisson s'envole vers le ciel, indécis.
Un oiseau s'est posé en ramenant la vie
Qui chaque mois de mars, par le printemps, renaît.
Le ruisseau que le froid nous a fait oublier
Recommence à chanter en étirant ses plis.
Qu'il est doux à nouveau d'en entendre le bruit
Pendant qu'à notre oreille on rend la liberté.
Les femmes, épanouies, nous montre leur beauté.
Leur peau douce s'éclaire quand tombent leurs habits.
La pudeur, peu à peu, doucement s'abolit
Car leur corps au soleil va sous peu se livrer.
Entendez-vous au loin qu'il arrive, l'été !
La chaleur, trés bientôt va déserter son lit
Pour poser sur le monde l'étrange mélodie
Qui tirera l'humain, un temps, de son foyer.
Baudelarme
beaucoup de belles choses dans ton texte !!
amitié
#4
Posted 02 April 2006 - 05:18 PM
Sur la branche l'oiseau étire son éveil
Sous le premier soleil, d'une voie soprano.
Et j'ouvre mes volets dans ce matin d'avril
Pour étirer le fil de son chant printanier.
Un enchantement, Baudelarme.
Le réveil de la nature sous ta plume a de biens jolies couleurs.
balila
Sous le premier soleil, d'une voie soprano.
Et j'ouvre mes volets dans ce matin d'avril
Pour étirer le fil de son chant printanier.
Un enchantement, Baudelarme.
Le réveil de la nature sous ta plume a de biens jolies couleurs.
balila
#5
Posted 02 April 2006 - 10:09 PM
Le printemps, Baudelarme, apporte ses beautés
Mais moi, je te le dis, je tremble et je m'inquiète
Car les femmes parées de tentantes toilettes
Vont provoquer mon coeur de leurs tissus otés
Amitiés.
Mais moi, je te le dis, je tremble et je m'inquiète
Car les femmes parées de tentantes toilettes
Vont provoquer mon coeur de leurs tissus otés
Amitiés.
#6
Posted 02 April 2006 - 10:20 PM
Merci de ton passage, Lacape.
Balila,
L'oiseau qui s'en revient sonne alors le réveil
Et tire la nature soudain de son sommeil.
Il ramène avec lui le revers du soleil,
Cette face cachée pendant que l'hiver veille...
Amitié et merci de ta venue,
Au plaisir,
Baudelarme
Ami Condor,
Il est vrai que le temps est propice aux émois.
Un joli grain de peau peut nous cueillir parfois,
A l'instant anodin où l'on ne pensait pas
Qu'on pourrait à nouveau lui emboitait le pas...
Amitiés
Balila,
L'oiseau qui s'en revient sonne alors le réveil
Et tire la nature soudain de son sommeil.
Il ramène avec lui le revers du soleil,
Cette face cachée pendant que l'hiver veille...
Amitié et merci de ta venue,
Au plaisir,
Baudelarme
Ami Condor,
Il est vrai que le temps est propice aux émois.
Un joli grain de peau peut nous cueillir parfois,
A l'instant anodin où l'on ne pensait pas
Qu'on pourrait à nouveau lui emboitait le pas...
Amitiés
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