Je me suis fait mal en coupant;
mais ces pensées sur l'odeur miellée de la garrigue: le romarin, rose de mer et ses propriétés vulnéraires, fusionne aussi avec ces saveurs suaves, le ciel est rouge, c'est cette perception violée par les sens, l'essence des aromates entrelacée de celle du Cade;
du bois de chêne pour allumer un barbecue.
Puis, j'ai arrêté;
trop peu de temps pour nourrir les yeux et le réceptacle coronaire, rentré en convulsion et en fusion avec la frénésie des particules de l'été qui dansent dans la poussière du Mistral;
parce que, justement, je m'étais heurté le tibia.
Cette implication;
tout en devenant une fontaine saline à la chevelure ondine et cristallisée doublement par le souffle du natron en train de carbonisé, rêvant de diamant, au tréfonds du chaudron, là est la magie, la chimie de tous ces éléments orfèvres du monde interne et externe, même pas ça, car les mots et les définitions ont le pouvoir de disparaître;
n'a pas de raison d'être.
Une stratégie bien appliquée;
ah! Voilà le chat Funky en petit ruisseau roucoulant qui joint sa joie à l'ivresse estivale, il est maintenant, les flèches folles des martinets redonnent la couleur du ciel en pointant leurs cris infinis et clairs, en libation de mouvance spatiale, avec l'offrande du vent dansant;
garantira une sagesse d'action,
le cœur libre,
le cœur, cet autre.

Le Coeur Cet Autre
Started by Cami, Apr 02 2006 07:37 PM
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