3 replies to this topic

[Christiane]

Belle école d’Apremont,
qui a vu défiler, tant de nom.
Belle école de campagne,
Nichée, près de l’église, à l’ombre.
Protégée par quelques monts
Pour ne pas dire montagne.

Tu as diffusé tant de savoir,
que son parfum s’en exalte.
Lorsque je pénètre dans ta classe,
Il remue au fond de moi,
Des images d’autrefois.

Et, sur le visage de tes enfants
on respire, le plaisir de ton existence.
Je voudrais tant qu’ils comprennent
ton importance.

[Marygrange]

Ah, la douceur des premiers jours de classe, des livres et cahiers tout neufs aux pages brillantes de savoir à venir et lignes d'écritures... Jolie évocation

Amicalement,
Béa

[Gaston Kwizera]

rien que pour éviter ce genre de poèmes, il conviendrait de supprimer l'école

[Christiane]

Gaston,

Je ne connais pas ton age, mais à 15 ans je peux te garantir que l'école je l'aurai brulé. Pas seulement pour l'aspect étude et devoir mais à l'époque elle se mêlait même de ta vie privé.
Et la mienne était folklore pour ne pas dire enfer.
Si l'école n'est plus adaptée à nos chères têtes blondes.
Aujourd'hui a 50 ans j'ai appris une chose, la vie est une éternelle école, rien que, pour ne pas mourir idiot.
la vie est un éternel apprentissage, alors j'aurai dû quand j'en avais l'opportunité apprendre et retenir l'enseignement qu'on avait tenté de me donné.
j'aurai gagné du temps.
A 37 ans j'y suis retournée à l'école sans aucune honte
Et aujourd'hui j'ai un travail qui me plait, au lieu de végéter.
Je ne me lamente pas sur mon sort, mais mes enfants malgré l'horreur des études eux aussi
Ont trouver leurs voies et leurs avenir est assurer.
Ca c'est une liberté, celle d'exister sans subir.
A REFLECHIR