
Un Soir De Juillet
#1
Posted 26 September 2006 - 11:21 PM
Déposer mes baisers au creux de ton épaule
Eclairer ton sourire avec un verbe drôle
Et user mon regard à ta peau de satin
Je t’aurais dit les mots qu’on prononce en latin
Les phrases composées d’un souffle sans contrôle
Et le frisson léger de l’ange qui nous frôle
Aurait de nos cheveux mêlé l’éclat châtain
J’aurais d’une caresse affectueuse et lente
Effleuré cet endroit qui fait ta vie troublante
Et qui donne à la mienne un instant de bonheur
Mais un soir de juillet où je t’avais revue
Que mon esprit brûlait d’un mal empoisonneur
Tu m’as dit au revoir et n’es plus revenue.
27 septembre 2006
#2
Posted 27 September 2006 - 01:25 AM
amities
jean claude
#3
Posted 27 September 2006 - 09:19 AM
Il y a comme de la beauté qui s'étiole... ca en a du moins le parfum... d'une jolie fleur au loin...
Je reviendrai vous lire...
#4
Posted 27 September 2006 - 09:58 AM
#5
Posted 27 September 2006 - 03:38 PM
Je redeviens adolescent à te lire! Quel charme!
#6
Posted 27 September 2006 - 04:04 PM
Amitiés au rapace !
#7
Posted 27 September 2006 - 11:30 PM
socque : merci à toi : j'ai corrigé mon erreur grâce à toi

#8
Posted 28 September 2006 - 07:17 AM
Je crois que je préfère "Effleuré cet endroit qui fait ta vie troublante" à la première version que je ne me rappelle pas, en revanche le premier quatrain me fait l'impression d'être un peu banal (pardonne-moi) par rapport à celui de la version que j'ai lue hier.
En d'autres termes, Condor, j'ai l'impression que tu as retravaillé ton poème en le "lissant", et que ce faisant tu lui as fait perdre de sa force : sa voix me semble moins unique, moins rugueuse...
#9
Posted 28 September 2006 - 11:37 AM
Cela dit, plus ou moins lissée, ta plume reste de haut vol.

#10
Posted 28 September 2006 - 12:04 PM
Amitiés, bel oiseau
#11
Posted 29 September 2006 - 09:44 PM
J’aurais voulu cent fois t’aimer jusqu’au matin
Poser mon front blessé au creux de ton épaule
Déclencher ton sourire avec un verbe drôle
Et user mon regard à ta peau de satin
Je t’aurais dit les mots qu’on prononce en latin
Les phrases composées d’un souffle sans contrôle
Et le frisson léger de l’ange qui nous frôle
Aurait dans nos cheveux mêlé le feu châtain
J’aurais d’une caresse affectueuse et lente
Effleuré cet endroit qui fait ta vie troublante
Et qui donne à la mienne un moment de bonheur
Mais un soir de juillet que mon âme était nue
Que mon esprit brûlait d’un mal empoisonneur
Tu m’as dit au revoir et n’es plus revenue.
29 septembre 2006
#12
Posted 29 September 2006 - 11:51 PM
"Les phrases composées d’un souffle sans contrôle"...
Plane, rapace, plane !
#13
Posted 01 October 2006 - 09:51 PM
1 user(s) are reading this topic
0 members, 1 guests, 0 anonymous users