Après la fleur de son sourire
Vint la noyade de mon sourire.
Après l’agonie de l’étincelle,
Toujours aube sur son visage
Vint ensuite la fleur noire, et le regret
Qui fissura de rides mon visage
Depuis, je fus de nouveau gosse pour maman !
Si bien qu’elle ne voulut plus jouer à maman
Ce que fut Laila ne partit jamais de mon regard !
C’est l’étrange influx prit de son regard!
Fée est sans doute aussi cauchemar,
laila, pour qui, moi, je devins cauchemar.
Laila, lune lune que je vis de tout part!

Fragment 29
Started by riz(remo)mot, Oct 09 2006 08:39 PM
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