L’envie qui voulait m‘en offrir ton beau corps
Afin d’en accorder un répit à l’humble essor
Qui raccompagnait mes attraits à leur point.
Je l’endormirai où l’amour perdra ses efforts
Quand ton image se montrera floue au recoin
De mes yeux qui voulaient cerner leur point
D’attrait pour retrouver le somme et l’accord.
Les mendiants assouvissent souvent leur faim
D’un croc usé prestement au seuil de la mort
Qui leur rappelait subrepticement que l’effort
Est l’unique secours des déclassés bien mutins.
L’amoureux vain renie fréquemment son sort
Quand l’amour trépasse sur son long chemin
Courageusement, pour mener une lutte sans fin
Entre les inextinguibles flammes des remords.
Cet amour, je l’accompagnerai à sa fin avec soin
Sans rabattre sur son recourbé chemin, l’effort
Que j’ai exhumé du cimetière où l’ultime essor
Gît encore sans aile afin de le laisser aussi vain.
Ton image, je l’offrirai à la souvenance qui dort
Au côté de l’essor que j’ai inhumé au recoin
De mes yeux qui ont cerné fermement leur point
D’attrait, sans doute sans regrets sans remords.
hamid khenat.
je n'ai rien avoir avec rabah, aziz, akli kamel et complices.
Edited by Mithra, 13 December 2006 - 09:08 PM.