Passent pitances
jusqu’aux silences des monocles.
Des rires
aux lumières. Lames sans fond
sans feu.
Opales pitances.
par delà le cri,
le dépassement. Que le vide couve
les landes. Incertain
qu’il vous soit.
Passons. Les morts
broient nos sexes en sable.
Et les fleurs noircissent
aux touchés
de nos doigts.
Puis tasse. Les vents
respirent
de ces instants sans mécanisme;
sans fins,
perdus et libres dans l’air / où flottent les cils.
Edited by Victor-du-Coseille, 24 January 2006 - 11:45 PM.