Je m’approche, l’aiguille à la main,
Soudain je plane …
Tel un oiseau filant a travers le vent
Je m’approche de cette substance poudreuse et blanche
Que j’aspire sans réfléchir …
Je sombre dans l’inconscience,
Un voile noir m’envahi …
Je vois à travers mes paupières entrouverte les secours qui arrivent,
Mais trop tard, dieu ma repris ce qu’il ma donné,
Il me prive de la vie,
Je meurs sans aucunes douleurs …
Le Bougnec Antonin