Je ne suis que trois lettres...
#1
Posted 14 March 2005 - 10:47 PM
J’ai pensé vivre un monde auquel je n’avais droit
J’ai tenu le sceptre de beauté dans mes doigts
J’ai frôlé les riches agapes, l’or et la soie
Las,
J’appris bien vite que ce rêve là est fou
Personne ici bas ne se sâoule sans le sou
Jamais ma tête ne quittera mes genoux
Ce qui vient de la fange retourne à la boue
Bas,
C’est là que je dois demeurer, où je suis né
Pas d’ascenceur pour les perdus, pas d’escaliers
Quel est le mensonge qui prétend nous sauver?
J’ai essayé de remonter, j’ai essayé
Moi,
Je tremble au souvenir de mon moi d’autrefois
J’aurais pu réussir, j’ai failli...trop de fois
J’ai froid dans cette rue,je rue dans cet effroi
Je ne suis désormais que trois lettres aux abois:
Sdf.
#2
Posted 14 March 2005 - 10:57 PM
Je te souhaite alors un "comte" de fée...
Au plaisir...
#3
Posted 14 March 2005 - 11:34 PM
#4
Posted 15 March 2005 - 05:28 AM
EtoileFilante
#5
Posted 15 March 2005 - 08:43 AM
#6
Posted 15 March 2005 - 09:54 AM
#7
Posted 15 March 2005 - 10:11 AM
bravo
#8
Posted 15 March 2005 - 02:37 PM
#9
Posted 15 March 2005 - 05:20 PM
C'est techniquement un poème original et construit dans mes gouts . . .
Et pour le fond (que la forme fait fort bien passer) . . .
C'est touchant et criant de vérité . . .
Amitiés,
J-M.
#10
Posted 15 March 2005 - 05:58 PM
#11
Posted 15 March 2005 - 06:01 PM
#12
Posted 15 March 2005 - 06:11 PM
Merci.
#13
Posted 15 March 2005 - 07:19 PM
Merci à toi
#14
Posted 15 March 2005 - 11:49 PM
#15
Posted 16 March 2005 - 04:45 PM
#16
Posted 16 March 2005 - 05:25 PM
Bises pour toi mon ange
#17
Posted 16 March 2005 - 06:18 PM
#18
Posted 16 March 2005 - 06:29 PM
#19
Posted 17 March 2005 - 10:55 PM
#20
Posted 22 March 2005 - 08:59 AM
#21
Posted 22 March 2005 - 05:38 PM
#22
Posted 22 March 2005 - 08:00 PM
#23
Posted 22 March 2005 - 11:42 PM
Il me renvoie à qques vers ecrits :
L'aède
La suave mélancolie blanche de l'aède
Auréole doucement les petits trottoirs
Vils et sordides des vastes cités dortoirs.
Muet, ses seuls yeux noirs peuvent crier à l'aide.
La sécheresse froide recouvre le corps,
Désarmé, du jeune saltimbanque à terre ;
Un simple sourire allégerait son calvaire
Mais, sans cesse, les passants méprisent son sort.
Profondément pollué par cet odieux dédain,
L'aède lance alors un baiser de poésie
Figeant dans une virevoltante rhapsodie
La foule unie pour sentir son faible refrain.
Eden
#24
Posted 22 March 2005 - 11:52 PM
#25
Posted 23 March 2005 - 05:13 PM
L'aède est bien touchant aussi
#26
Posted 23 March 2005 - 07:24 PM
Amitiés poétiques,
Perceval
#27
Posted 23 March 2005 - 08:39 PM
Vraiment Terriblement splendide.
#28
Posted 23 March 2005 - 09:24 PM
#29
Posted 24 March 2005 - 10:06 AM
oui Calynette, et l'impossibilité de remonter est tout aussi terrible
#30
Posted 24 March 2005 - 10:07 AM
Amitiés poétiques,
Perceval
Si tu le permets, je me note ça dans un coin
, cette phrase m'a beaucoup touché.Merci.
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