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[Hauteur]

Bisous à vous deux...


Amitié
Hauteur

Merci a vous ami..!
Votre passage a demi mots
Est ta la hauteur de vos gentils propos
Bienvenue a votre posé-colé
Bonne est agréable journee..!
Amicalement .".Le Vent"..

[Lisange]

Merci Cher Hauteur de votre passage
Prenez donc une chopine de ce sirop d'érable
Et quelques bises sur vos deux joues.
Recevez toute mon amitié poétique!

L'orgue est la dans mes oreilles vibrant comme une cathédrale
Cherissant mes reves les plus fous entourrés de jaunes et belle pailles
Comme un long serpent d'eau pres de vous je me love en dédale
Mais les reptiles ne sont ils pas somme de toutes peurs de tailles

Une fee tel que vous aurra bien vite réfuté cette crainte mesurable
Votre legereté aerienne entourre sans cesse mon etre et me rassure
Les prouesses de ce monstre des ages est vaincu par votre courrage
Le sucre délicieux de vos arbres du Quebec voila ce qui me serait preférable

Neige! te revoila,!belle et blanche comme rebelle au assaut du printemps
Beige sont les ramassis de feuilles encore balayées par mon froid ami
Grege est le mur de mon sommeil quand aucun souvenir ne m'y attend
Siege sur mon coeur toi désir de devenir le raisin chaud de ma fee choisie

Le vent ressasse..!votre desir de changer meubles et buffets de place
C''est tout vous.! Votre vigueur votre force et jouvence de vous jailliront
Votre grand St Laurent draine pour vous les limons et restes de glaces
je vous imagine petite fee de soie vibrante et fébrile décidée et tenace

Mille et un détours nous entrelacent de leurs clins d"oeil malicieux
Mais la chaleur plus forte que nous apporte notre tendre amitiee
Nous fascine par de multiples regards a la fois roses et mysterieux
Voila en ce Samedi blanc de serenité ,mon message va vers vous voler!!

...Bises .tres attentionnées de votre vent "écervellé"
.......Milles becs !!pour votre reveil et bon fumant café!!!!!..

[Candide]

Je lis et relis vos échanges poétiques
Où l'amitié franchit, par- delà l'océan
Vous offrir ce cadeau de vos rimes magiques,
Les mots purs et divins où l'amour est présent.

La poésie est un soleil qui ne laisse jamais
l'ombre sans lumière.

Amicales pensées à vous deux. Candide.

[Lisange]

C'est une joie de vous accueillir chère Candide.
Quand l'ombre passe à la lumière vive
Il devient vite un baume sur la vie.
Merci de vos mots gentils.

Votre rayonnement me réchauffe le coeur.
Votre amitié poétique m'apporte bien du bonheur!

[Lisange]

Et vous cher Vent
Du nouveau ce printemps?
Vos ailes repliées sur elles-même
Se prélassent encore au placard au bois de chêne.

Patiemment elles surveillent
La fonte de l'interminable neige.
Pressées de s'élever par-delà les terres vermeilles
Et s'émoustillées devant la façade haute du soleil.

Et ce chant que j'entends
Au-dessus de votre océan
Vibrant d'intensité et vous enveloppant
D'une onde soyeuse amicalement.

Qu'est-ce là?
Cette mélodie sous vos doigts
Porte votre voix
Tout près de moi.

Votre souffle se réchauffe
Pour laisser éclore cet oeuf
Et redécourvrir un bel oiseau
Couvert d'un duvet nouveau.

À chacune de nos régions........enfin voici la belle saison!

[Voyageur]

La vie est tellement accélérée par ici qu'il faut suivre les événements seconde par seconde!
Mais qu'est-ce qui s'y passe ??????



Voyageur

Bonjour Voyageur..!
Non! Nous,nous, sommes pour le calme et la sérenite
Non! La vitesse ne fait plus parti de nos prousesses
Oui ..!a la ,poesie qui fait de nous des etres reposés
Merci et ..bonne journee.".le Vent.."

[Lisange]

Oh! cher Voyageur, ici la vie poursuit normalement son court.
Les vendanges préparent quelques repousses printanières.
Et votre visite nous honore
Passez nous voir encore.

Bises à vous!

Les machines a tisser ont laisser ce filme au curieux gout d' orange
Un génie habile de ses gouaches de peintre la retouche de violet
Voila pour la main du vent un support souple et leger bien étrange
Et pour ma douce fée une fois de plus un relent de plat bien réchauffé

Une fois suspendue dans le ciel ma nouveauté ailée vous parlerait au coeur
Une part de vous mème face a mon inconscient curieux vous laissera perplexe
Il se peut que votre interieur si chaud ,ne soit pas insensible a ces hauteurs
Bien que face a cette parure de nylon votre ego ressente un indomptable reflex

Notre printemps paresse a force de désirs instables aux airs inavoués
Se pourrait il qu'il soit jaloux de notre petit coin discret de notre belle vigne
Car a force de retarder sa venue pour faire verte France et Quebec coloré
Il fera que le brouet de ses eaux s'ennuie d'etre tenu sous neiges et cimes


Mais des crocus narguants cette fénéante saison osent leur pétales ragaillardis
Au bords de nos petits jardinets dans nos regions frileuses, allé! vaille que vaille.!
Ses quelques audacieux poussent dans les longs silences des petits matins gris
Une envie de crier " vive nos couleurs jaunes et violettes ," et lui livrer bataille
.
....Ainsi le Vent veut donner vie au Printemps..mais pas sans sa fée Lisange
...............il s'en voudrait tellement!..ou seraient nos vendanges?
.............................Mille et un becs colorés et sucrés!!..Le Vent....

[Lisange]

Mon rêve de verdure rejoint le vôtre au printemps qui s'attarde.
Je vois passer les jours en trompe et les nuits elles, bavardent.
Le soleil manque et me lasse l'âme des grissailles quotidiennes.
Les même gestes répétitifs m'ennuient de cette journée qui est mienne.

Alors, j'embrasse mes ailes et je vole vers vous au-delà des mers.
Je découvre ces merveilleuses fleurs aux arômes printanières.
Je retrouve le goût de l'aventure qui ouvre les portes de l'inconnu.
Et cette bulle dans laquelle j'ai pris place vole en éclat interrompu.

Cher vent, transportant mes plumes en voltiges musicales.
Nos cieux enchantés ont réclamés notre présence amicale.
Il est des rêves magiques dépassant la réalité qui nous entraînent
Malgré nous vers des sommets si haut qu'on a imaginés sans peine.

Encore et encore je rêve.........et mon corps réellement vit,
Comme le vôtre reste ici, pendant que votre âme s'élève puis revit.
Je sais, je sais j'ai cette façon à moi de vous dire mes rêveries,
Comme les vôtres légères envolées, le printemps et les premières euphories.

Bises poétiques au vent follet du printemps de nos continents........xxx Lisange

[Lisange]

Cher vent vous avez pris le large
Sous votre nouvel adage.
J'ai perdu toute trace de votre présence
Et mon ciel se teinte du gris de l'absence.

Probablement que je ne vous vois à cause des nuages
Qui flottent et s'épaississent au long de votre voyage.
Vos ailes ont quittées l'horizon et reculent devant mes yeux.
Est-ce l'illusion d'optique créé par les éclats d'un soleil nerveux?

Il me tarde de vous retrouver, malgré l'air frisquet.
L'ode printanière ravive les sens et éveille l'esprit follet.
La parallaxe perd ainsi le centre changeant sa direction.
Le ciel est immense et les étoiles brillent à la réflection.

Pardonnez mon inquiétude momentannée
De vous savoir au sommet des pentes encore argentées.
Les hauteurs vous grisent tandis que mes pieds clouent le sol.
Je ne peux que lever les paupières et regarder votre envol.

Et je croise les doigts au piano pour m'envoler
Quitter enfin la mesure du sol, m'évader
En solo
Pour rejoindre notre duo.....

Toutes ailes au vent de France.........Lisange

La douceur d'une plume sur mes sens et mon attente tressaille a votre venue
Sur le clavier de votre piano j'ai osé un souffle a travers vos doigts fuselés
Cela me change ainsi des violences entre les monts et vallées qui m'ont laminé
Je ferme les yeux et le murmure de votre voix s'écrit sur notre partition ininterrompue

Mille plaisirs que vos envolées vers moi qui parfois doit vous paraitre bien mievre
Mais y a t'il quelque chose de plus fort que l'attente d'une annonce solennelle
Ou une intrusion dans le passé ferait de mes mots un mets antique sans gout de miel
Dans les matins de Broceliande prés des étangs venez vers moi douce Guenievre

La brume de ce petit jour enveloppe avec une sorte de tendresse ces si nombreux feuillus
Il ne sont pas parvenus sur l'eparse verdure les chauds rayons du soleil et leur ardeur
Quelques ruisselets entrelacent les racines des arbrisseaux pour leur prier avec ferveur
De reprendre vie et ramures ainsi que revigorer les quelques sapins et leurs superbes pointus

Le vent trouve ce petit jour si beau qu'il n'ose bousculer cette fantasia multiple et argentée
Il se tait, retient son souffle pour sa fee qui a parcouru dans la nuit ce long et épuisant voyage
Il l'a voit les ailes repliées se miroitant dans l'eau d'une flaque de printemps fraiche et sage
Les scènes terribles des siecles de cette foret nous en diraient tant sur ses fureurs passées

Enfin ce printemps nous semble venir de loin entremelé de vert et de blanche neige
Les multiples formes de vie tendent leur etres vers la terre endormie voulant la reveiller
Il faut encore attendre car les poumons de cette matiere inerte ne sont pas bien ventilés
Mais douce amie ,sculptons nos sonnets sur ce tronc d'arbre couché qui nous invite au reve
........................Avec mes meilleurs sentiments,aeriens et vivants.
........... Tout a vous........................
.........................Chere attachante poetesse..
................................Le vent..........

[Lisange]

À cette heure tardive, sommeillez-vous dans vos rêves?
Vous avez replié vos ailerons sous le gigantesque chêne.
J'arrive ainsi sur la pointe des pieds et je vous regarde.
Vos yeux clos, votre poitrine qui lentement se soulève.

C'est ainsi qu'a débuté mon rêve et je n'en connais point la fin.
J'en ai perdu quelques bribes mais je les retrouverai au matin.

Tout comme je suis sur la pointe des pieds pour ne pas faire de bruit.
J'ai dû danser toute la nuit sur le plancher opal, légère cigale, avec lui.
De toute façon quand le jour se lève, je redeviens cette fourmi.
L'utopie nocturne cède le pas à cette réalité du jour et du soleil qui luit.

Et je défends ces nuits de songes où l'interdit n'existe pas.
J'en ai perdu quelques parcelles mais il y en a d'autres que j'entrevois...

Une pincée d'herbes sauvage aux vertues tonifiantes
Un zeste d'écorce d'orange pour relever le tout
La rasade de fraicheur d'une carafe d'eau de source
Voila votre retour dans le palai du sucré le mes sens

L'allèchante odeur qui s'échappe de vos mets mijotants
La chaude vapeur sifflant de l'infatiguable ronde marmitte
Une belle nappe dressée sur votre table je m'y invite
Avec audace je pousse votre havre de paix en sifflotant

Sur ce set de table finement décoré reposent de si beaux fruits
Leur corbeille d'argent brille de votre main et du bel exercice
Les coupes de cristals bleu scintillent et invitent au délice
Ce consommé de Dégelis, votre recette, j'en mourrais d'envie

Les yeux de mon hotesse contiennent de grisants ingredients
La cuisine a ses secrets anciens que beaucoup veulent taire
Notre vigne a encore du produit pour vingt ans que faire.!
Que ce breuvage cramoisi ravigote votre coeur languissant
.............."le temps d'un fumet" ".............
..........votre ami "le vent"...........

[Lisange]

Nos vignes de juillet mûrissent rapidement sous le ciel des vendanges.
Je viens avec coeur visiter et embellir notre magnifique vignoble.
Pendant votre longue envolée je me suis affairée dans cette terre, à l'étendre.
A préparer des champs entiers, de mes mains j'en ai creusé le sol.

J'y ai aménager un jardin de fleurs et un potager
Pour que vous puissiez goûter les splendeurs de l'été.
Vous verrez à votre arrivée, les gros cailloux alignés
Où il est bon de poser les pieds car j'en ai fait un sentier.

Je vous reverrai je le souhaite avant les rafales de l'automne.
Quand vous aurez atteint tant de sommets qu'ils vous paraîtront un peu monotone.
Je serai là, dans nos vendanges comme vous dites si bien verdoyantes.
Vous me raconterez vos voyages qui font danser dans mes yeux quelques flammes.

Au plaisir de vous retrouver aux bises des vents de souvenances! xxx Lisange

[INFONTE]

J'ai tout lu.
Je suis épuisé.
Peut-être n'aurais-je pas du ...
Depuis le temps, le vin des premières vendanges doit être à boire.
Tirez sur le manche et faites sauter le bouchon...
Je vous laisse à vos libations.
Bon courage.

[système général sériel]

...

[Lisange]

INFONTE,

À mon arrivée sur ce site, vous y étiez déjà.
De vous retrouver est toute une joie pour moi.

Le bouchon sauté, nous pouvons trinqué!
Lire les Vendanges d'un trait donne soif et vous mérité
Un bon vin frais de la saison à moins que vous ne préféreriez
Le plus vieilli, le plus enrobé, le plus corsé.

À la bonne heure, à la bonne vôtre!

Merci sincère d'être plus que passé.......

Bise de votre poétesse....Lisange xxx

[système général sériel]

Il a eu mal à la tête, quand même.

Par un été de plomb le Vent cherche a retrouver
Ce coin de fraicheur connu prés d'une fée tant choyée
Mais un autre a deja récolté ce qu'il n'avait pas semé
Dommage on lui avait deja soufflé de ne pas sommeiller

Mais voila ,le Vent est égoiste et jaloux ne vous en déplaise
Son souffle s'est amoindri dans les ardeurs de la fournaise
Par cet eté intenable et lourd il se refugiait a l'ombre d'un meleze
je vois d'ici les pieds de notre vigne déssechés bien mal a l'aise

Les pages de notre recherche aveugle se ferment elles peu a peu?
Peut on s'en plaindre ou ouvrire la porte a d'autres peu scrupuleux
Leur ouvrire les bras et rire ensemble ignorant ce long recit a deux
Poetesse lointaine,merci, je garde encore ce gout du merveilleux

.........Amitiees a vous ..Lisange..et..meilleurs souvenirs.
............. au hazard "du vent"......l

[Lisange]

Les pages de notre beau roman poétique ne s'achève
L'été m'a servi nombres d'activités au bon soin de mes ailes.
J'ai pensé à vous survolant les vendanges sachant que l'humidité
Et cette chaleur intense, un peu de tort ont pu causer.

Mes ailerons n'ont quittés le sol que pour butiner les massifs fleuris.
Ma voix cherchant le ton a seulement pris un long raccourci
Pour revenir dans nos terres où nos vignes attendent la moisson.
Et je suis enchantée d'y venir poser les ailes en chassant les moucherons.

Notre vignoble vit toujours dans mon coeur enraciné
Au plus profond de notre belle amitié, il nous fait rêver.
Nos plumets nous entraînent ici et là sur des parcours
Que plusieurs ne verrons sans nos innombrables retours.

Nos coeurs légers se laissent parfois prendrent aux beautés extérieurs.
Mais nous sommes toujours ici et maintenant coeur contre coeur
Vacant chancun de son côté et poursuivant chacun sa destinée.
Voyez-vous le temps nous transporte à son gré?

Au vent de la saison bien-aimée... Lisange xxx