
#541
Posted 28 May 2005 - 04:17 PM
#542
Posted 28 May 2005 - 04:31 PM

Azurite/ Caillou pour collectionneurs ma mère dirait un nid à poussière
#543
Posted 28 May 2005 - 05:13 PM
(je suis un peu comme Sherlock Holmes, j'aime bien la poussière ! Puis comme ça je sais si quelqu'un s'est introduit dans mon antre, et j'adore les livres poussièreux ! )
#544
Posted 28 May 2005 - 05:26 PM
#545
Posted 28 May 2005 - 06:03 PM
#546
Posted 28 May 2005 - 09:08 PM
Manuscrit /
Coup d'ongle
#547
Posted 29 May 2005 - 06:50 AM
Tu crois vivre toujours sans qu'à ton front splendide,
Le temps avec son ongle ose écrire une ride ?
(Gautier)
#548
Posted 29 May 2005 - 09:16 PM
#549
Posted 29 May 2005 - 09:36 PM
#550
Posted 30 May 2005 - 06:32 AM
#551
Posted 30 May 2005 - 08:39 AM
Artifice
#552
Posted 30 May 2005 - 08:42 AM
#553
Posted 30 May 2005 - 09:02 AM
Et pour un clown (je suis Bozo, le rigolo, le p' tit nouveau) ça tombe pile-poil.
#554
Posted 30 May 2005 - 09:26 AM
Nez rouge
#555
Posted 30 May 2005 - 01:03 PM
"Et si vous aviez vu la femme, ses quarante ans de blonde esquintée, marqués en couperose ...
A. DAUDET, Numa Roumestan
#556
Posted 30 May 2005 - 01:17 PM
#557
Posted 30 May 2005 - 01:45 PM
#558
Posted 31 May 2005 - 06:58 AM
#559
Posted 31 May 2005 - 12:40 PM
#560
Posted 31 May 2005 - 02:30 PM
Le silex, par elle, nous fait connaître qu'il est vivant, fusible, nourricier. De quoi s'alimente donc ce plant qu'un chanvre de racines retient seul suspendu ? La rosée des nuits, le soleil des jours - le feu d'un astre, la sueur essentielle d'un autre astre - ... Merveilles
(Pierre Walletet)
...
Rameau /
Liane
#561
Posted 31 May 2005 - 02:47 PM
#562
Posted 31 May 2005 - 02:53 PM
#563
Posted 31 May 2005 - 08:48 PM
#564
Posted 31 May 2005 - 10:26 PM
#565
Posted 01 June 2005 - 06:40 AM
#566
Posted 01 June 2005 - 09:27 AM
Balafre
...
Quand je vois passer un bateau
Paroles et Musique: Guy Bontempelli,
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Quand je vois passer un bateau
J'ai envie de me foutre à l'eau
Et d'enjamber le bastingage
Et vivre entre le ciel et l'eau
Le reste de mon âge.
J'ai envie d'aller où il va
Remonter le long de Java
Descendre à terre, le soir au mouillage
Et rire comme un étranger
D'un rire qui fait éclater
La rose bleue d'un tatouage.
J'ai envie d'aller loin d'ici
Brûler ma vie dans ces pays
Où les cargos éventrent les collines
Aller de Manille à Cuba
Changer le coton en tabac
Et le tabac en cocaïne.
Plonger le poing rongé de sel
Dans le corsage d'arc-en-ciel
D'une chinoise ou bien d'une manouche
Et prendre ses seins tout petits
Comme des œufs au fond d'un nid
Pour les écraser sur ma bouche.
Tailler, le couteau bien en main
Une balafre à mon destin
Et enlacer ces filles malhonnêtes
Qui, par un mouvement des reins
Allument le sang des marins
Au fonds des clandés de Papeete.
Défilant le long du bateau
Regarder les champs de pavots
Semés de filles à la démarche étrange
Le pan de la jupe fendue
Bat l'amble sur des jambes nues
Juteuses comme des oranges.
Quand je vois passer un bateau
Je rêve de me foutre à l'eau
Et n'ai besoin d'autre Sésame
Que d'être là, à mon piano
A rêver sur la gamme.
#567
Posted 01 June 2005 - 10:35 AM
Un visage de jeune fille, c'est l'ennui d'une page blanche où mes yeux ne peuvent rien lire d'émouvant; tandis que ton visage! Il me faut les cicatrices, les tatouages du destin, une beauté qui sorte des tempêtes (COCTEAU, La Machine infernale)
Merci pour guy Bontempelli . Souvenirs d'en france qui m'a fait monter les larmes aux yeux; Avoir eu besoin d'un autre Sésame, que celui d'être là, à mon piano, à rêver sur la gamme... Aujourd'hui à qu'c'est dur ...
[i][size=9]Agzdur : la souffrance indélébile
À l'intérieur d'un espace africain compris entre l'océan Atlantique, la Méditerranée et le tropique du Cancer, vivent les Imazighen, " les hommes libres " - plus connus sous le nom des Berbères. Agzdur, dans le dictionnaire des parlers du Maroc central de Taïfi Miloud, signifie : " fait de se lacérer les joues en se lamentant, signe de deuil chez les femmes ".
La femme berbère se tatouait le menton d'une oreille à l'autre, restituant ainsi sur son propre visage la barbe de l'époux disparu. Celle qui assistait à l'emprisonnement de son homme, traçait sur ses poignets l'image des menottes qui humiliaient son conjoint. Réduites à servir de porteuses ou de cuisinières auprès des bataillons français, les femmes se gravaient des chaînes aux chevilles, extériorisant ainsi leur refus de se soumettre.
#568
Posted 01 June 2005 - 04:59 PM
Masaï
...
Ici, bat le cœur de la terre, à même la tension des peaux scarifiées telles des garçons parvenus à l’âge.
#569
Posted 02 June 2005 - 07:42 AM
Pays rouge de mon enfance,
Là où la poussière est une danse.
#570
Posted 03 June 2005 - 08:47 AM
Pays rouge de mon enfance,
Là où la poussière est une danse.
/
Chant
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