Une beauté qui t'a rendue à jamais sans loi ni foi,
Et ta pauvre âme déchirée entre plusieurs sentiments,
N'aura rien gravé de beau,dans le temps,puisque tu te ments.
Viendra le jour où ta beauté fânée deviendra laide,
Et,seule,tu ne pourras espérer aucune aide,
Tu repenseras que ta vie gâchée ne fût qu'un rêve,
Et,qu'éloignée de l'Amour tu n'auras trace de sève,
Tu verras sur ce qui fût ton corps apparaître au grand jour,
Les malheurs que ta beauté a fait subir jour aprés jour,
Puis la vérité éclater par la façon de regarder,
Les hommes,que peut être,tu ne peux t'empêcher d'aider,
Tu n'as,vraiment,plus rien de commun avec les poêtes,
Car le monde t'a transmutée dans celui des coquettes,
Mais,avoir donné tout mon être à celle que j'aimais,
Ne me fera,dans mon âme,oublier qu'elle est l'Amour à jamais.
La vieillesse prendra sa revanche sur les coquettes,
Elles se regarderont mais jamais ne verront leur tête,
Car,cherchant leur beauté,elles n'auront qu'une triste laideur,
Et leur corps privé de jeunesse n'aura plus d'ardeur.
salut,
je m'etais absenté un peu, et je vois qu'on ne s'enuie pas ici... lol
J'aime beaucoup ce texte, il retranscrit une certaine douleur à accepter ce qu'il décrit... bien ammené.
mais tu t"expose là...
En tous cas merci pour ce texte...
poétiquement
iah-hel