(à propos : tout comme Remo, je n'ai pas lu le texte, donc bon... et Hugo en poésie, je prefere ne pas en parler, sinon zébullon va croire que j'ai couché avec lui, si désagréable que je vais être)
Quand Hugo tombe dans le lyrisme évangélique, et c'est malheureusement souvent le cas, il me
donne personnellement des boutons.
Mais si Rimbaud fut lumineux, Baudelaire immense tandis que Mallarmé sondait les profondeurs
hermétiques, Hugo fut le rouleau compresseur d'un XIX siècle très literraire. Comme il y eut
Shakespeare et les autres, tous les poètes, et pas seulement, durent se déterminer par
rapport au patron.
Qu'on le veuille ou non il ne peut se comparer qu'aux artistes de la trempe des Virgile,
Michel Ange et toujours Shakespeare.
Ceci dit on peut très bien ne pas aimer le Grand Victor.
Merci aux Zébu, Remo, Bohémia, Gaston et les autres de si bien nous titiller. Je sais! Je sais!
Je suis plutôt du genre consensuel.
Amicalement