Octobre
Started by heloise, Jul 06 2006 06:53 AM
42 replies to this topic
#31
Posted 22 July 2006 - 06:00 PM
A mon avis il avait soif. Ne dit-on pas "toute honte bue" ?
Et tes vers vont aux lèvres comme une eau de clairière, madame.
(joli, non ?)
(parfois je donne dans l'élégance)
(maintenant je m'en vais écrire un poème de forumologie fécale, ça contrebalancera).
Et tes vers vont aux lèvres comme une eau de clairière, madame.
(joli, non ?)
(parfois je donne dans l'élégance)
(maintenant je m'en vais écrire un poème de forumologie fécale, ça contrebalancera).
#32
Posted 26 July 2006 - 01:51 PM
Oui ! Parfois tu donnes dans l'élégance
Tu es multiple
C'est ainsi que j'aime les hommes
Bien à toi
Tu es multiple
C'est ainsi que j'aime les hommes
Bien à toi
#33
Posted 26 July 2006 - 02:05 PM
J'avais juste envie de le relire, bisous
#34
Posted 31 July 2006 - 08:23 AM
Citation (Elysa @ Jul 26 2006, 03:05 PM) <{POST_SNAPBACK}>
J'avais juste envie de le relire, bisous
Ouais bon mais fais gaffe de pas secouer ta queue sur mon poème
Zoubi
#35
Posted 31 July 2006 - 08:39 AM
Citation (~wldp~ @ Jul 26 2006, 07:19 PM) <{POST_SNAPBACK}>
Les chevaux,
leur robe noire luisante
ou se reflètent les derniers rayons du soleil
que l'horizon aspire.
Les chevaux,
dans la haute plaine piaffent, hennissent
le sol tremble
puis la poussière détale sous leur sabots
au galop leurs mucles les arrachent du sol
...
leur robe noire luisante
ou se reflètent les derniers rayons du soleil
que l'horizon aspire.
Les chevaux,
dans la haute plaine piaffent, hennissent
le sol tremble
puis la poussière détale sous leur sabots
au galop leurs mucles les arrachent du sol
...
Le cheval blanc s'est cabré
Une étoile pourpre éclaté entre les yeux
Le cavalier glisse sur la croupe musculeuse
Glisse entre les jambes qui se désarticulent
La nuque heurte le sol durci de l'hiver russe
Un roulement de tambour dans sa tête
Comment s'appelait-elle
Cette enfant pâle et têtue qui attend
Son retour...
#36
Posted 31 July 2006 - 08:07 PM
Il y a des soirs où j'aime me plonger dans tes textes Héloïse, et celui là particulièrement, parce qu'il remue quelque chose d'indicible, que je n'essaie même pas de comprendre, juste sentir...
balila
balila
#37
Posted 01 August 2006 - 10:19 AM
Citation (Tangentimus @ Jul 26 2006, 11:25 PM) <{POST_SNAPBACK}>
Ben qu'est-ce que je raconte moi....
Y'à des jours ça va pas bien !
Je l'ai relu, il est trés bien ce poème. Trés surréaliste. enfin y'a des gens qu'en parlent mieux. Voilà, c'est ça que j'voulais dire :
Y'à des jours ça va pas bien !
Je l'ai relu, il est trés bien ce poème. Trés surréaliste. enfin y'a des gens qu'en parlent mieux. Voilà, c'est ça que j'voulais dire :
Merci d'y être revenu Eric
Félice nous manque
Mais l'été est une saison détestable
Les absents reviendront en septembre
Un mois que j'aime
Bien à toi
#38
Posted 01 August 2006 - 10:24 AM
Citation (heloise @ Jul 31 2006, 07:23 AM) <{POST_SNAPBACK}>
Ouais bon mais fais gaffe de pas secouer ta queue sur mon poème
Zoubi
Zoubi
N'aie crainte, je suis soigneuse
#39
Posted 04 August 2006 - 08:29 AM
Citation (balila @ Jul 31 2006, 09:07 PM) <{POST_SNAPBACK}>
Il y a des soirs où j'aime me plonger dans tes textes Héloïse, et celui là particulièrement, parce qu'il remue quelque chose d'indicible, que je n'essaie même pas de comprendre, juste sentir...
balila
balila
Merci Balila
C'est également ainsi que j'écris
C'est un ressenti que j'exprime à ma façon et qui n'est pas forcément clair pour le lecteur
Mais c'est ainsi que je préfère écrire
Laisser de multiples possibilités d'interprétation
Bien à toi
#40
Posted 04 August 2006 - 11:27 AM
One pill makes you larger
And one pill makes you small,
And the ones that mother gives you
Don't do anything at all.
Go ask Alice
When she's ten feet tall.
And if you go chasing rabbits
And you know you're going to fall,
Tell 'em a hookah smoking caterpillar
Has given you the call.
Call Alice
When she was just small.
When the men on the chessboard
Get up and tell you where to go
And you've just had some kind of mushroom
And your mind is moving low.
Go ask Alice
I think she'll know.
When logic and proportion
Have fallen sloppy dead,
And the White Knight is talking backwards
And the Red Queen's "off with her head!"
Remember what the dormouse said;
"Keep your head! Keep your head!"
De la part d'Alice Hargreaves et de Grace Slick.
Moi ?
- Je passais par là,
(sûrement pas par hasard)
And one pill makes you small,
And the ones that mother gives you
Don't do anything at all.
Go ask Alice
When she's ten feet tall.
And if you go chasing rabbits
And you know you're going to fall,
Tell 'em a hookah smoking caterpillar
Has given you the call.
Call Alice
When she was just small.
When the men on the chessboard
Get up and tell you where to go
And you've just had some kind of mushroom
And your mind is moving low.
Go ask Alice
I think she'll know.
When logic and proportion
Have fallen sloppy dead,
And the White Knight is talking backwards
And the Red Queen's "off with her head!"
Remember what the dormouse said;
"Keep your head! Keep your head!"
De la part d'Alice Hargreaves et de Grace Slick.
Moi ?
- Je passais par là,
(sûrement pas par hasard)
#41
Posted 17 August 2006 - 09:36 PM
Tu es toujours le bienvenu
Passe me voir plus souvent
Bien à toi
Passe me voir plus souvent
Bien à toi
#42
Posted 17 August 2006 - 11:03 PM
Les pas s'allongent.
vierges et puissants
Traversent le mot
Il y a.
Mais non
C'est encore comme un pas vrai
Je ne sais pas
je ne sais plus
Bon,
C'est moi
C'est toi
M^me que serait nous
Je ne sais pas plus encore
Octobre comme des feuilles qui tombent
Un soir qui de dit je vais dormir
Des bruits d'ennuis dormir
Moi c'est comme un sourd qui entend
Paradoxe de vie
Comme encore come
Le jour et le nuits
Encore dire n'importe quoi
J'ai peur le soir
La nuit aussi
Des monstres
J'ai honte de ma peur
J'aime l'image belle
Belle, mon coeur se serre
Peur encore
J'ai marché dans mes hontes
J'ai pleuré dans mes peurs
Nagé dans mes pleurs
Rien ne m'a dit
Moi reste avec moi
Un vague interdit
Il dit
Même pas honte
Finalement qu'un rien
Un mot qui se perd encore
D'un vouloir dire
On la fait koi?
On la fait plus
La poésie c'est crier des mots
Encore ces bouteilles à la mer
Parler au coin d'un feu
Te prendre dans mes bras
Et pleurer sur ton épaule
C'est ça la poésie
C'est pas faire de l'art
C'est une simple communication
Des mots aux vents
Des bouteilles à la mer
Des bouteilles
Des bouteilles
Des bouteilles
Encore des bouteilles
Plus de bouteilles
Je nage et me perd
Surnage
Ma grande gueule s'ouvre
Puis se noie.
vierges et puissants
Traversent le mot
Il y a.
Mais non
C'est encore comme un pas vrai
Je ne sais pas
je ne sais plus
Bon,
C'est moi
C'est toi
M^me que serait nous
Je ne sais pas plus encore
Octobre comme des feuilles qui tombent
Un soir qui de dit je vais dormir
Des bruits d'ennuis dormir
Moi c'est comme un sourd qui entend
Paradoxe de vie
Comme encore come
Le jour et le nuits
Encore dire n'importe quoi
J'ai peur le soir
La nuit aussi
Des monstres
J'ai honte de ma peur
J'aime l'image belle
Belle, mon coeur se serre
Peur encore
J'ai marché dans mes hontes
J'ai pleuré dans mes peurs
Nagé dans mes pleurs
Rien ne m'a dit
Moi reste avec moi
Un vague interdit
Il dit
Même pas honte
Finalement qu'un rien
Un mot qui se perd encore
D'un vouloir dire
On la fait koi?
On la fait plus
La poésie c'est crier des mots
Encore ces bouteilles à la mer
Parler au coin d'un feu
Te prendre dans mes bras
Et pleurer sur ton épaule
C'est ça la poésie
C'est pas faire de l'art
C'est une simple communication
Des mots aux vents
Des bouteilles à la mer
Des bouteilles
Des bouteilles
Des bouteilles
Encore des bouteilles
Plus de bouteilles
Je nage et me perd
Surnage
Ma grande gueule s'ouvre
Puis se noie.
#43
Posted 18 August 2006 - 01:54 AM
Citation (uiox @ Aug 18 2006, 12:03 AM) <{POST_SNAPBACK}>
Les pas s'allongent.
vierges et puissants
Traversent le mot
Il y a.
Mais non
C'est encore comme un pas vrai
Je ne sais pas
je ne sais plus
Bon,
C'est moi
C'est toi
M^me que serait nous
Je ne sais pas plus encore
Octobre comme des feuilles qui tombent
Un soir qui de dit je vais dormir
Des bruits d'ennuis dormir
Moi c'est comme un sourd qui entend
Paradoxe de vie
Comme encore come
Le jour et le nuits
Encore dire n'importe quoi
J'ai peur le soir
La nuit aussi
Des monstres
J'ai honte de ma peur
J'aime l'image belle
Belle, mon coeur se serre
Peur encore
J'ai marché dans mes hontes
J'ai pleuré dans mes peurs
Nagé dans mes pleurs
Rien ne m'a dit
Moi reste avec moi
Un vague interdit
Il dit
Même pas honte
Finalement qu'un rien
Un mot qui se perd encore
D'un vouloir dire
On la fait koi?
On la fait plus
La poésie c'est crier des mots
Encore ces bouteilles à la mer
Parler au coin d'un feu
Te prendre dans mes bras
Et pleurer sur ton épaule
C'est ça la poésie
C'est pas faire de l'art
C'est une simple communication
Des mots aux vents
Des bouteilles à la mer
Des bouteilles
Des bouteilles
Des bouteilles
Encore des bouteilles
Plus de bouteilles
Je nage et me perd
Surnage
Ma grande gueule s'ouvre
Puis se noie.
vierges et puissants
Traversent le mot
Il y a.
Mais non
C'est encore comme un pas vrai
Je ne sais pas
je ne sais plus
Bon,
C'est moi
C'est toi
M^me que serait nous
Je ne sais pas plus encore
Octobre comme des feuilles qui tombent
Un soir qui de dit je vais dormir
Des bruits d'ennuis dormir
Moi c'est comme un sourd qui entend
Paradoxe de vie
Comme encore come
Le jour et le nuits
Encore dire n'importe quoi
J'ai peur le soir
La nuit aussi
Des monstres
J'ai honte de ma peur
J'aime l'image belle
Belle, mon coeur se serre
Peur encore
J'ai marché dans mes hontes
J'ai pleuré dans mes peurs
Nagé dans mes pleurs
Rien ne m'a dit
Moi reste avec moi
Un vague interdit
Il dit
Même pas honte
Finalement qu'un rien
Un mot qui se perd encore
D'un vouloir dire
On la fait koi?
On la fait plus
La poésie c'est crier des mots
Encore ces bouteilles à la mer
Parler au coin d'un feu
Te prendre dans mes bras
Et pleurer sur ton épaule
C'est ça la poésie
C'est pas faire de l'art
C'est une simple communication
Des mots aux vents
Des bouteilles à la mer
Des bouteilles
Des bouteilles
Des bouteilles
Encore des bouteilles
Plus de bouteilles
Je nage et me perd
Surnage
Ma grande gueule s'ouvre
Puis se noie.
Tu vois l'heure ?
Je ne dors plus
Une ombre chinoise m'empêche de dormir
Je viens nager derrière toi
Et t'aider
A ramasser les mots
Et les bouteilles
Toutes ces bouteilles
Pleines des mots des vivants
Mais nous nous sommes déjà morts
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