Ca c'est sûr. J'en fais partie. Bravo à tous les deux.
Comment je pense à toi.
#31
Posted 30 July 2005 - 09:42 PM
Ca c'est sûr. J'en fais partie. Bravo à tous les deux.
#32
Posted 30 July 2005 - 10:29 PM
#33
Posted 23 August 2005 - 03:23 PM
Pin pon...
#34
Posted 23 August 2005 - 03:24 PM
Ca c'est sûr. J'en fais partie. Bravo à tous les deux.
Merci Condor.
#35
Posted 24 August 2005 - 03:42 PM
Ca c'est sûr. J'en fais partie. Bravo à tous les deux.
Merci Condor.
#36
Posted 25 August 2005 - 01:42 PM
et baroque (et au meilleur sens du mot)
Je le relirai souvent.
#37
Posted 25 August 2005 - 04:06 PM
"Tu ne sais pas le prix que t’offrent mes détours.
Laissons là, mon amour, le besoin qu’ont nos pieds
De poser sur le sol et viens pour m’envoler,
Nous n’aurons d’autre poids que celui de l’amour… "
#38
Posted 25 August 2005 - 07:15 PM
Protoss
#39
Posted 26 August 2005 - 12:52 AM
et baroque (et au meilleur sens du mot)
Je le relirai souvent.
Je suis touché de votre commentaire, kékum.
Merci
Amitié
Hauteur
#40
Posted 26 August 2005 - 01:23 AM
Heureuse de retrouver mes Amis içi dans leurs délires ; Mais enfin... Hummm.. Ton inspiration, est une infinitude du vide@MMMMM m, et puis, peu importe.
Merci d'être là, tout simplement !
àBIENTÖT!
#41
Posted 28 August 2005 - 10:35 AM
"Tu ne sais pas le prix que t’offrent mes détours.
Laissons là, mon amour, le besoin qu’ont nos pieds
De poser sur le sol et viens pour m’envoler,
Nous n’aurons d’autre poids que celui de l’amour… "
Merci Polvere.
Amitié
Hauteur
#42
Posted 28 August 2005 - 08:44 PM
Protoss
Merci Protos de votre passage.
Amitié
Hauteur
#43
Posted 29 August 2005 - 08:17 PM
Heureuse de retrouver mes Amis içi dans leurs délires ; Mais enfin... Hummm.. Ton inspiration, est une infinitude du vide@MMMMM m, et puis, peu importe.
Merci d'être là, tout simplement !
àBIENTÖT!
Infinitude du vide ?
Ah....
#44
Posted 12 September 2005 - 05:14 PM
Ton visage apparaît. Puis ton épaule nue.
Quand je touche du doigt les bords de ma folie,
Et qu’en fermant les yeux, j’entre dans mes envies
De te donner l’amour dont je suis détenu.
Je sens ta peau brûler des cris de mes soleils,
Quand s’éveillent la nuit les fantasques chimères
Me poussant à l’assaut de tes tendres barrières.
Tu provoques à jamais mes nocturnes éveils.
Cascadant de ton cou, m’emplit ta poésie.
D’un ballet de mots flous ciselés par tes lèvres
Coule de tes sonnets le début de ma fièvre.
Mots sculptés par tes mains touchant mon infini.
Tu ne sais pas le prix que t’offrent mes détours.
Laissons là, mon amour, le besoin qu’ont nos pieds
De poser sur le sol et viens pour m’envoler,
Nous n’aurons d’autre poids que celui de l’amour…
Hauteur
Je reconnais ta plume fabuleuse pour avoir su conter nos instants si doux... Merci pour tout cela.
Princesse Nady-Mary
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