111 replies to this topic

Ca me semble un peu vaseux..

[Eden]

je dirais meme plus un peu vaseux...

Oui, y'a de quoi se poser des questions...

[Eden]

je me demande si ce n'est pas ce qu'on fait depuis le début.

éclats de rires d'abord !

Puis :
Je pense qu'un autre éclairage pourrait nous aider à décider.

[Eden]

eludra ou eludra pas?

Va savoir ...

[Eden]

mmmmmmmm..... Gerard Klein?

Ce n'est que science fiction ..

PS : Je t'ai écrit un poème dans poésie dansante. Insipiration mallaméenne

[Eden]

ou fiction scientifique...

Réponse au petit P.S :

OUI JE L'AI BIEN LU ET JE LE TROUVE EXTRAORDINAIRE DONC JE CONSEILLE aux autres D'ALLER LE LIRE SUR POESIE DANSANTE au plus vite

vous ne le regretterez pas

merci

Les scientifiques peuvent se tromper

Merci pour la discrétion ! de la réponse au PS. Je ne sais plus où me mettre maintenant ! Heureusement que nous ne sommes que tous les deux à danser dans le doute"....

[Eden]

le scientifique est un homme-question il ne fait que douter jusqu'au bout pour être sur de rien

Etre ou ne pas être
Is that the question ?

Quitte ou double ? Tu crois ? Putain! Quel pari !

[Eden]

et voilà l'argent rentre dans la ronde, bravo, il fallait s'en douter

Je me demande si je comprends bien ...

[Eden]

rouge vide
appel plain
mer noircie
encens photographié

couvre moi de ton scepticisme

Très joli ce que vous avez écrit tous les deux ! Je me demande si l'argentique pourrait en fixer l'empreinte...

[Eden]

je vous aime aussi

Comment vous croire ?

[Eden]

ecoute mon coeur battre

se debattre

ecoute

puis

doute

Eden ! Je me suis posée tellement de questions durant ton absence ! Et que me dis-tu ? Que je devrais continuer à douter ?De toi ? Mais qu'as-tu fais pendant ces longs jours loin de moi ?

Je crains le pire ....

[Eden]

je suis tombé amoureux

je le crains....

[Eden]

ou et toi je est toi non

Quelle étrange phrase. Je me demande si je pourais en comprendre le sens .

[Eden]

moi aussi

ma langue a comme dérapé.

[Eden]

Une ligne blanche se noircit
Sous le poids d'une douleur sans nom
L'espace vide s'épaissit
Au contact du feu des démons
L'absence vend tous ses soucis
Dans l'écho des coups de canons
Les mots glissent en dents de scie
Mais n'obtiennent aucun pardon
Quand le creux vide du récit
S'emplit déjà d'obscurs sermons
De sages et autres messies
Murmurant la couleur du non

Quelle est la couleur du non ?

Est-il bleu quand il fait mal ?
Est-il rose pastel quand il est léger ?
Est-il vert quand s'y adjoint un "mais si" ?
Ou bien gris quand il en appelle au mépris ?
Devient-il rouge quand les canons ont tonné
Est-il bis quand il est répété ?
Est-il blanc quand il se dit en silence ?
Est-il jaune quand il s'habille de méfiance ?

[Eden]

entre deux eaux tièdes

une fumée grise

indécise

s'échappe

Entre longtemps et après,
Alors que sous mes doigts
Eclataient sans peine
Les perles des fontaines,
Dans mes paumes s’immisçait
Une longue tresse de solitude.
Les heures qui m’accueillaient
Une à une défaisaient la béatitude.
Tout comptes à rebours défaits,
Qui pouvait dire que l’amour existait ?

J'ai été piquer quelques mots sur ton site. J'espère que tu ne m'en voudras pas.