
#901
Posted 06 September 2005 - 12:31 AM
#902
Posted 06 September 2005 - 07:50 AM
#903
Posted 06 September 2005 - 09:36 AM
Méandre
...
Grand merci pour l'opportunité donnée.
Je copie-colle.
Toujours garder un peu de suite ... dans les idées.
Ballade dans l’arrière-pays
Le Nil se jette en Méditerranée près d’Alexandrie, où les Ptolémée ont à leur époque rassemblé ce qui aujourd’hui serait la plus fabuleuse des bibliothèques. Ne parviennent au delta que les eaux minoritaires qui ont échappé à l’évaporation au passage en Haute-Egypte.
En amont, il y a en fait deux origines hydrographiques. Le Nil blanc qui assure un débit permanent et pondéré au fleuve en aval de Khartoum, et qui draine la région des grands lacs d’Afrique équatoriale. Et le Nil Bleu qui vient du haut plateau d’Abyssinie. Il a un régime beaucoup plus irrégulier, parfois sec, parfois en crues dispensatrices de vie. Pour autant l’Ethiopie reste une terre pauvre. Malgré Bastet, qui en est originaire. Divinité égyptienne de la fertilité, sa silhouette de chatte aux oreilles pointues et allongées est typique de la race abyssine. Bastet est également la déesse de la fécondité. En témoigne Lucy, qui a assuré une descendance certaine, et sous réserve de controverse : nous ; les origines de l’homme se cherchent sûrement quelque part dans les frottements du sillon du Rift.
Mais il faut chercher plus loin la source des sources. L’humanité n’est pas tout.
Au pire même, c’est une menace. Au mieux peut-être, un questionnement.
???
L’énigme ?
Ah oui…
En coupant la syllabe, Ni/hil. Au cours du rien – à s’en rebrousser les eaux-, ça ne vaut effectivement pas grand-chose.
#904
Posted 06 September 2005 - 12:04 PM
caprice
. "À quoi va toute cette rêverie méandrique et confuse? (AMIEL, Journal, 1866, p. 66)." A une lettre près, tout spécialement pour toi Ariel
#905
Posted 06 September 2005 - 12:29 PM
Humeur
...
Bonne, en l'occurence, malgré le temps, capricieux
Fine réponse, Eludra.
Je tiens beaucoup au "r" d'Ariel ...,
#906
Posted 06 September 2005 - 12:49 PM
Au vu de ta réponse, ça m'en a effectivement tout l'air ! éclats de rires

Je ne doutais pas vraiment de ma capacité à etre fine. Après lecture fort instructive de tes copiés collés, je crois pouvoir dire que t'as fait mouche !
Alors comme ça dans les Cévennes c'est pas le top au niveau du temps ? C'est pas de veine :cry: . Ici c'est beau fixé à une belle couleur gris clair, lumineuse.
Bon au boulot maintenant :
Humeur /
petite Ire (Ah ça ira, ça rira .... )

#907
Posted 06 September 2005 - 01:29 PM
ça ira au coeur de la cible...
balila
PS à Eludra... Merci pour "la signature"...
#908
Posted 06 September 2005 - 02:01 PM
Cupidon
Tournez manège au casse pipe ...

#909
Posted 07 September 2005 - 10:10 AM
Insecte
...
Et toute une multitude dont la piqûre est bien plus redoutable ...
( en fait dans le sillage de la fléchette de Balila. Les Overchannel's disent "Darts" -avec un "t", hein- )
#910
Posted 07 September 2005 - 10:32 AM
#911
Posted 07 September 2005 - 11:27 AM
In-tolérance
#912
Posted 07 September 2005 - 01:06 PM
Lorsque la tôle ondule sur les chemins, partir à la conquête, même si le pas est maladroit...
balila
(Je me suis permise Ariel... C'est peut-être l'heure de la sieste... :wink:)
#913
Posted 07 September 2005 - 01:14 PM
Vagabondage (sans jeu de mots...)
Balila... heureusemenbt qu'il t'a ! tu es une vraie mère pour Ariel !

#914
Posted 07 September 2005 - 02:18 PM
Allure aux poches trouées
...
(charade copiée-collée)
Elle est un rythme sourd, et imprécis
pulsation qui agite le premier sérum
Comme elle décoifferait les épis, elle s’en va, fluide
au travers des bancs dont elle trouble la quiétude
accoster vers l’Initiale.
Point de fuite,
unique issue parmi ce bois encerclé,
là, se séparent le contenu et le contenant
s’échappe tout le temps échu,
D’entre le premier souffle et l’instant.
...
Ma vraie - et brave femme de - mère, du haut de ses quelques décennies qui en ont vu de vertes et de pas mûres, donnerait toutes les indications aptes à décourager qui voudrait se lancer à sa place dans la périlleuse perspective d'élever ce garnement qui ne voulait pas grandir ...
...
Merci B., je jouais avec les allumettes dans la paille, de l'autre côté du stand.
#915
Posted 07 September 2005 - 03:14 PM
La règle est un mot/un autre mot !
Alors non seulement"Allure aux poches trouées" est une phrase (sans verbe je te l'accorde.... mais ce n'est pas le genre de règle qui doit t'arrêter )
mais de plus le copié collé est incompréhensible pour une personne "normalement constituée"!
Balila, ou toute personne plus sioux que moi, à votre tour. Je passe le mien (je ne donne meme pas ma langue au chat) . Je reviendrai quand ce garnement aura fini ses pirouettes.

Moi aussi je peux jouer les "sales gosses";mais alors avec allure va nu pieds...
#916
Posted 08 September 2005 - 10:35 AM
Talons-aiguilles
...
Le feu à la botte de foin ?
Des hallebardes animent le ciel d'ici,
pas un incendie ne résisterait ...
...
Vague A Bonde Age,
Les droits chemins sont peut-être ceux-là même de l'erreur.
#917
Posted 08 September 2005 - 11:06 AM
La nouvelle vague... :wink:
balila
#918
Posted 08 September 2005 - 02:08 PM
mère / dure(-mère)
.
#919
Posted 08 September 2005 - 02:50 PM
Matières molles de P Gilles de Gennes dernier Nobel de physique français
#920
Posted 09 September 2005 - 10:43 PM
balila
#921
Posted 11 September 2005 - 01:27 PM
Fraîcheur
...
Dans le porte-bagages de mon vélo :
Un " - Laissez venir à moi la grande fraîcheur..." de Frederic Nietzsche,
qui aimait l'air froid, incisif,
dont l'inspiration évoquerait déjà l'expiration,
si ce froid-là n'était celui de l'altitude.
Il devait voyager en ballon captif - un comble -,
mais qui évite les difficultés de l'ascension
#922
Posted 11 September 2005 - 08:55 PM
#923
Posted 11 September 2005 - 10:10 PM
Brise/art
#924
Posted 12 September 2005 - 04:23 PM
Blanc
...
(le théâtre de Yasmina Reza)
...
J'ai laissé passer quelques doubles-fonds au travers de la brise.
Dans la phonétique de "brise", il y a le "breeze" d'overchannel.
La grande fraîcheur, on ne la sent pas à même la peau, elle se respire.
Dans "l'Air et les Songes", Bachelard insiste sur les sensations véhiculées par l'air, et il sépare ce qui est superficiel - l'odeur -, de ce qui est profond - le vif de l'air.
Sans doute est-ce pour ça que Brise est une marque de désodorisant.
#925
Posted 14 September 2005 - 09:47 PM
J'hésitais avec pare brise... :wink:
Mais j'aurais eu quelques difficultés à établir un lien avec blanc !
J'apprécie toujours autant tes textes Ariel.
balila
#926
Posted 15 September 2005 - 09:23 AM
Raquette
...
J’hésitais avec Lange.
La sensation de la neige, ce n’est pas tant le blanc que ce qu’elle absorbe.
Son bruit, cette fabrique de silence par l’étouffement de tout ce qui fait la rumeur, l'horizon auditif.
Et la sensation de la neige, c’est aussi l’enfoncée du pas, de la jambe, de la cuisse, jusqu’à un épuisement tel qu’on y rêverait son corps tout entier. Une sorte de noce, d’enfance retrouvée, fœtale.
Il y a une illusion de pureté. Comme le lange, on en sait la temporalité, elle sera souillée mais c’est toujours l’image de l’avant qui prévaut.
Et l'illusion de la raquette, c'est de pouvoir aller un peu plus loin avant de couler et d'être repris par le filet. Le pied dans une métaphore de jeu de paume.
Bon, j'arrête de délirer...
#927
Posted 16 September 2005 - 10:20 AM
#928
Posted 16 September 2005 - 10:46 AM
Bon, je vais faire un effort...
Welch / Ma sorcière bien aimée
balila
#929
Posted 16 September 2005 - 12:49 PM
#930
Posted 16 September 2005 - 02:09 PM
McCarthyisme
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