
#91
Posted 12 September 2004 - 02:23 PM
Mon amour! Je peux te dire la plus belle des plus belles
#92
Posted 20 September 2004 - 04:55 PM
#93
Posted 20 September 2004 - 05:30 PM
#94
Posted 23 September 2004 - 09:07 PM
#95
Posted 27 September 2004 - 11:02 AM
#96
Posted 27 September 2004 - 07:43 PM
#97
Posted 27 October 2004 - 03:46 PM
















#98
Posted 28 October 2004 - 02:16 PM
#99
Posted 28 October 2004 - 02:56 PM
#100
Posted 28 October 2004 - 03:57 PM
Glissant, j'irais car je me meurs d'être statique
#101
Posted 28 October 2004 - 04:24 PM
#102
Posted 28 October 2004 - 07:20 PM
#103
Posted 28 October 2004 - 09:34 PM
Dispersez-vous, ralliez-vous, Faites l'Histoire
#104
Posted 29 October 2004 - 09:50 AM
#105
Posted 29 October 2004 - 10:51 AM
#106
Posted 09 November 2004 - 07:03 PM
#107
Posted 11 November 2004 - 06:38 PM
#108
Posted 11 November 2004 - 06:39 PM
#109
Posted 13 November 2004 - 10:43 AM
#110
Posted 14 November 2004 - 04:37 PM
Blessent mon coeur d'une longueur métronome
Et Vice Versa et réciproquement
Cher Paul... Ta signature est rigolote
j'ose pas mettre une citation par peur du ridicule
#111
Posted 16 November 2004 - 10:38 AM
Demains comme hiers ces nuages seront là
#112
Posted 17 November 2004 - 05:53 PM
Comme une herbe accrochée à la dune
A la croisée des chemins de sable, brille
Comme la mer sous l'astre blème cette fille
Et dans ces yeux grands ouverts des étoiles qui scintillent
Ensoleillée d'étoiles entre mars et neptune
Je n'ai pu saisir de ces lumières aucune.
Et rien ne venait de la-bas, pas un, pas une...
Juste l'écume poussant une mer de coquilles.
Au creux de ma main, un éclat, encore scintille
Et surpasse mon oeil omniprésente bille
A l'aguet d'une présence inopportune
Oui ma belle, je nous souhaite un bon jour...
où notre coeur volerait d'amour
caresses et baisers,bien caches dans les dunes
Mais l'horizon sur la dune déjà vacille,
Et la faucheuse des sens exhibant sa faucille,
Sans que rien, pas un cil ne cille,
Dans le halo lunaire, sa sébille,
De sa pointe habile y fait danser les runes.
et où la vie ne serait que fortune
Ce soir de juin déjà la lune se levait
s'éternisant de jour en jour
dans le son des vagues des écumes de la Mer
Symphonie magique . . . impromptu d'univers
Laissons nous lentement bercer,
atteignant ainsi un nouvel horizon
Chant de la terre et de la mer à l'unisson
cette sirène qui nous plonge dans un charme profond
d'étoiles en écumes
là où la lune brille
sous la lune de nos corps
habillent la mer
de leur bateaux en vers
et brisent les chagrins
soleil pleurant.
Et nos âmes fusionneraient pour toujours
pauvres marins
pauvres misères
où errez-vous?
Les étoiles brillent dans les cieux
Comme la lumière brille dans tes yeux
Lune, Etoiles,
Montrez le chemin
Aux pauvres Marins
et moi , le solitaire
qui me guidera?
la nuit me perd
Et ses ailes excitante dessinent une amnésie
le rossignol dans son arbre lance ses trilles
Trilles que suivra une girafe solitaire
Quel est le cri de la mouette rieuse
la souris n'était pas amoureuse de l'éléphant
mais l'éléphant déperissait, dans la savane, solitaire
Et la mouette ne criait plus sa joie
l'harmonie nous envahit..
symphonie de savane sous le soleil d'Afrique, l'ombre pâlit
dans les douces fleurs de l'aurore
nos yeux se croiseront
nous embellisant de lumière
nos mains se joindront
douceur ephémère du matin
et tous en coeurs nous chanterons...
Comment te dire que je t'aime ?
avec un tout petit poème,
avec des rimes en
aime-moi toujours
amour glamour sur un écrin de velour
où il n'aurait plus de détours
point de détours...
pour notre amour
un seul chemin
main dans la main
mais ta main a lâché la mienne
et je suis comme une âme en peine
que faire de tous ces lendemains
donne moi ta main..
et prend la mienne
pour que sur le chemin
nous construisions nos lendemains
ta main est douce
je la prends amie
mais le vide en moi
reste, il est parti
sous le son silenceux de nos yeux
des regards se disent une penssees
mais lorsque l oeil du corps seteint loeil de lesprit sallume
lumière éternelle qu`est celle de l`ésprit que nous sommes
où le froid de la solitude glisserait sur les joues nos penssées prisent dans ces perles d'eau claires
gouttes de cristal taillé cassées, qui entamment et font saigner la chair
et notre âme voguerait au delà des nuages, bien au delà des mouettes sur la grève...
portée par les vents alizés qui font voler les rêves
Quelques nuages blancs frémissaient dans le ciel
Soleils adorés comme de l'or
les roses embaumaient très fort
dans l'ecume des bleus de mers tout autour
voila que la pluie de l'aurore
embrasait les poitrines de nos corps
et exploserait comme des pétales de roses
rouge comme le sang tu te délivrerais des vagues
pour rencontrer ton prince charmant près du rivage...
Ma belle, je nous souhaite qu’un jour…
Nos rêves, nos soleils
Illuminent pour toujours
Nos sombres illusions et nos trop longs sommeils
gardés dans l'impenetrable tour
Comme je respirais des fleurs impossibles
je ne me sentis plus exhaler des airs fétides
de trouver enfin le bonheur éternel
Aujourd'hui comme hier, ou peut-être demain...
Quelques épars pour m'envoler sur tes ailes
Des vagues pour seulement l'essentiel
Celui de mourir sur tes larmes de sel
A combien d'année lumières es-tu, mon étoile ?
Et combien de temps m'y accrocherais-je encore ?
L'éternité c'est trop long, surtout vers sa fin
Et de quoi sera fait que le simple demain...
les rêves, c'est fatal, s'accrochent aux voiles
Celle que j'aime vit dans la constellation du blanc Cygne
Brille plus que toutes noveas et me fait parfois signe
Celle que j'aime n'est plus de ce monde
Elle est partie rejoindre le sourire de la ronde
Celle des anges que j'aperçois chaque seconde
Je garde en mon coeur un éclat plus lumineux
Que la triste et morne réalité... Jours fastidieux!
Sur la mer immense, il ya de grands et beaux marins
Qui vont de ports en ports avec les plus belles catins
Et qu'au petit matin, retournent à leur rôle
Avec dans leur culotte une petite vérole.
Et avec dans leur tête un amoncellement
De bien des gangrènes amassées lentement
Sur le bateau c'est sodomie, fouet et rhum
Le mousse en son tonneau tremble pour son rectum
la réalité parfois est plus sordide que belle...
En ce monde à nos yeux c'est preuve en ribambelle
Sans mentir si vos yeux brillent commes des étincelles
Mon amour! Je peux te dire la plus belle des plus belles
un pâle soleil d'automne se levait déjà au loin
Avant que je le vis déjà m'en étais oint
Main dans la main, en silence, nos regards au loin
attendant que cette journee ne devienne au moins
Demain dès l'aube à l'heure ou blanchit la campagne
J'irais de ça et de là pareil à un vol d'oiseaux
Qui voudrais s'enfuir plus loin que l'Amérique
Plus vite que le vent qui fait plier le roseau
Glissant, j'irais car je me meurs d'être statique
Et j'étais ce roseau qui courbait et pensait
A ce vol de corbeaux qui croassaient et passaient
Ces funèbres oiseaux noirs nous criaient ce devoir
Dispersez-vous, ralliez-vous, Faites l'Histoire
Ou nous pourrions nous aimer pour toujours
Dans ce monde ou dans un autre
dans cette vie ou dans une autre
Pour non seulement des jours mais des années
Les sanglots longs des violons de l'automne
Blessent mon coeur d'une longueur métronome
J'ai vu l'éternité dans ce nuage qui passe...
Demains comme hiers ces nuages seront là
Mais aujourd'hui l'espoir est ici,
(Voici tous les vers depuis le début! j'ai copé/collé !)
#113
Posted 17 November 2004 - 07:28 PM
Afin d'attraper celui ci
#114
Posted 17 November 2004 - 07:59 PM
De la planète sans bras
#115
Posted 19 November 2004 - 04:23 PM
il s'en ira
vers d'autres terres,
vers d'autres vers
#116
Posted 27 November 2004 - 02:50 PM
Comme une herbe accrochée à la dune
A la croisée des chemins de sable, brille
Comme la mer sous l'astre blème cette fille
Et dans ces yeux grands ouverts des étoiles qui scintillent
Ensoleillée d'étoiles entre mars et neptune
Je n'ai pu saisir de ces lumières aucune.
Et rien ne venait de la-bas, pas un, pas une...
Juste l'écume poussant une mer de coquilles.
Au creux de ma main, un éclat, encore scintille
Et surpasse mon oeil omniprésente bille
A l'aguet d'une présence inopportune
Oui ma belle, je nous souhaite un bon jour...
où notre coeur volerait d'amour
caresses et baisers,bien caches dans les dunes
Mais l'horizon sur la dune déjà vacille,
Et la faucheuse des sens exhibant sa faucille,
Sans que rien, pas un cil ne cille,
Dans le halo lunaire, sa sébille,
De sa pointe habile y fait danser les runes.
et où la vie ne serait que fortune
Ce soir de juin déjà la lune se levait
s'éternisant de jour en jour
dans le son des vagues des écumes de la Mer
Symphonie magique . . . impromptu d'univers
Laissons nous lentement bercer,
atteignant ainsi un nouvel horizon
Chant de la terre et de la mer à l'unisson
cette sirène qui nous plonge dans un charme profond
d'étoiles en écumes
là où la lune brille
sous la lune de nos corps
habillent la mer
de leur bateaux en vers
et brisent les chagrins
soleil pleurant.
Et nos âmes fusionneraient pour toujours
pauvres marins
pauvres misères
où errez-vous?
Les étoiles brillent dans les cieux
Comme la lumière brille dans tes yeux
Lune, Etoiles,
Montrez le chemin
Aux pauvres Marins
et moi , le solitaire
qui me guidera?
la nuit me perd
Et ses ailes excitante dessinent une amnésie
le rossignol dans son arbre lance ses trilles
Trilles que suivra une girafe solitaire
Quel est le cri de la mouette rieuse
la souris n'était pas amoureuse de l'éléphant
mais l'éléphant déperissait, dans la savane, solitaire
Et la mouette ne criait plus sa joie
l'harmonie nous envahit..
symphonie de savane sous le soleil d'Afrique, l'ombre pâlit
dans les douces fleurs de l'aurore
nos yeux se croiseront
nous embellisant de lumière
nos mains se joindront
douceur ephémère du matin
et tous en coeurs nous chanterons...
Comment te dire que je t'aime ?
avec un tout petit poème,
avec des rimes en
aime-moi toujours
amour glamour sur un écrin de velour
où il n'aurait plus de détours
point de détours...
pour notre amour
un seul chemin
main dans la main
mais ta main a lâché la mienne
et je suis comme une âme en peine
que faire de tous ces lendemains
donne moi ta main..
et prend la mienne
pour que sur le chemin
nous construisions nos lendemains
ta main est douce
je la prends amie
mais le vide en moi
reste, il est parti
sous le son silenceux de nos yeux
des regards se disent une penssees
mais lorsque l oeil du corps seteint loeil de lesprit sallume
lumière éternelle qu`est celle de l`ésprit que nous sommes
où le froid de la solitude glisserait sur les joues nos penssées prisent dans ces perles d'eau claires
gouttes de cristal taillé cassées, qui entamment et font saigner la chair
et notre âme voguerait au delà des nuages, bien au delà des mouettes sur la grève...
portée par les vents alizés qui font voler les rêves
Quelques nuages blancs frémissaient dans le ciel
Soleils adorés comme de l'or
les roses embaumaient très fort
dans l'ecume des bleus de mers tout autour
voila que la pluie de l'aurore
embrasait les poitrines de nos corps
et exploserait comme des pétales de roses
rouge comme le sang tu te délivrerais des vagues
pour rencontrer ton prince charmant près du rivage...
Ma belle, je nous souhaite qu’un jour…
Nos rêves, nos soleils
Illuminent pour toujours
Nos sombres illusions et nos trop longs sommeils
gardés dans l'impenetrable tour
Comme je respirais des fleurs impossibles
je ne me sentis plus exhaler des airs fétides
de trouver enfin le bonheur éternel
Aujourd'hui comme hier, ou peut-être demain...
Quelques épars pour m'envoler sur tes ailes
Des vagues pour seulement l'essentiel
Celui de mourir sur tes larmes de sel
A combien d'année lumières es-tu, mon étoile ?
Et combien de temps m'y accrocherais-je encore ?
L'éternité c'est trop long, surtout vers sa fin
Et de quoi sera fait que le simple demain...
les rêves, c'est fatal, s'accrochent aux voiles
Celle que j'aime vit dans la constellation du blanc Cygne
Brille plus que toutes noveas et me fait parfois signe
Celle que j'aime n'est plus de ce monde
Elle est partie rejoindre le sourire de la ronde
Celle des anges que j'aperçois chaque seconde
Je garde en mon coeur un éclat plus lumineux
Que la triste et morne réalité... Jours fastidieux!
Sur la mer immense, il ya de grands et beaux marins
Qui vont de ports en ports avec les plus belles catins
Et qu'au petit matin, retournent à leur rôle
Avec dans leur culotte une petite vérole.
Et avec dans leur tête un amoncellement
De bien des gangrènes amassées lentement
Sur le bateau c'est sodomie, fouet et rhum
Le mousse en son tonneau tremble pour son rectum
la réalité parfois est plus sordide que belle...
En ce monde à nos yeux c'est preuve en ribambelle
Sans mentir si vos yeux brillent commes des étincelles
Mon amour! Je peux te dire la plus belle des plus belles
un pâle soleil d'automne se levait déjà au loin
Avant que je le vis déjà m'en étais oint
Main dans la main, en silence, nos regards au loin
attendant que cette journee ne devienne au moins
Demain dès l'aube à l'heure ou blanchit la campagne
J'irais de ça et de là pareil à un vol d'oiseaux
Qui voudrais s'enfuir plus loin que l'Amérique
Plus vite que le vent qui fait plier le roseau
Glissant, j'irais car je me meurs d'être statique
Et j'étais ce roseau qui courbait et pensait
A ce vol de corbeaux qui croassaient et passaient
Ces funèbres oiseaux noirs nous criaient ce devoir
Dispersez-vous, ralliez-vous, Faites l'Histoire
Ou nous pourrions nous aimer pour toujours
Dans ce monde ou dans un autre
dans cette vie ou dans une autre
Pour non seulement des jours mais des années
Les sanglots longs des violons de l'automne
Blessent mon coeur d'une longueur métronome
J'ai vu l'éternité dans ce nuage qui passe...
Demains comme hiers ces nuages seront là
Mais aujourd'hui l'espoir est ici,
Alors il suffit de tendre le bras,
Afin d'attraper celui-ci
Ainsi il ne disparitra pas
De la planète sans bras
pas très loin d'ici,
il s'en ira
vers d'autres terres,
vers d'autres vers
TOUT LE POEME
#117
Posted 27 November 2004 - 03:45 PM
#118
Posted 29 November 2004 - 10:27 PM
#119
Posted 30 November 2004 - 12:00 PM
Je me souviens des jours anciens et des fleurs
#120
Posted 30 November 2004 - 11:55 PM
aux baisers s'accrochent mon coeur
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