Souvent le soir, derrière ses tresses blondes
Et l’effigie qu’il affichait avant le déclin,
L’aède et ses semblables, dans leurs mondes
Inaccessibles, faisaient parler leurs mains.
Ils disaient tous qu’ils voguaient sans cesse
Dans la plaisance, dans l’abscons aveuglant
Et ce qui chassait le morne temps de paresse,
Mais moi, je ne disais rien en riant en parlant.
J’avais aussi cette idée d’écrire auparavant
Mais le temps qu’il faisait souvent en hiver
Me privait constamment du soleil captivant
Et ce qu’il en avait de beau autour de l’univers.
Je leur avait dit seulement qu’il fallait écrire
Derrière l’idée volante pour mieux décrire
Le vaste néant qu’elle survolait toute morte,
Et vieille avant d’en faire une autre sans sorte.
Je leur avait dit seulement qu’il fallait parler
Derrière l’idée expirante avant d’emballer
Leurs mensonges dans toutes nos blancheurs,
Mais, ils étaient très nombreux, faucheurs.
moi farid khenat et compagnie.
" derrière ses tresses blondes = derriere la beauté de l'image du crépuscule bien sûr les couleurs
qui rougissaient entre les frisures pâles lentement au fond de l'image "
Derrière Ses Lueurs.
Started by Mithra, Nov 23 2006 07:58 PM
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