L’aube s'heurtait souvent pâle face à l’apparition
Le soleil aussi rougissait dans l’hydrocution
Bleuâtre, l’éteignant subtilement chaque soir,
Et nous derrière nos habitudes et nos couleurs,
Sans fin, pour en soustraire de nos moments
Nos joies, nous faisions souvent du malheur
Nos combles, nos berceaux et nos sentiments.
Les robes n’avaient pas les mêmes fragrances.
La femme se déshabillait pour ses souffrances
Et l’homme imbu, la méconnaissait toute avare.
Les jours se comptaient noirs devant ses yeux
Le sourire salvateur, l’allouait nouvelle derrière
L’horreur qu’elle vivait très loin de ses voeux,
Et derrière ses maux, elle le lénifiait, sévère.
Ainsi arrangeaient certaines femmes, leurs vies.
Ainsi comblaient certains hommes leurs envies,
Mais ils ne se voyaient pas vils devant leurs miroirs
moi farid khenat et compagnie.
Hommage à La Femme.
Started by Mithra, Nov 23 2006 09:21 PM
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