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fondaz

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16 October 2006 - 08:31 PM

Rancoeur Subtile quel désastre d'extrême précision, dite linguistique alors le soi-disant vide uniforme m'habite probablement jusqu'à la moelle si pas d'avantage encore.

Et chaque idée est parfaite - trop brute - alors alors oui tragiquement je m'enivre de parfums et de femmes disparus, toutes subtiles rancoeurs : le tragique viril puis réciproque dans d'abîmes hautement sexuels. Je lui parle sublime champ de fleurs où souffle une brise avant le crime, couleurs rouges et des yeux sans blague mais d'un bleu, tant que forniquer n'agite chaînes onques et pelures de peau si suintantes que le crime est là si encore on en doutait. Plus jamais. Je m'en vais loin garde tout je te lègue en particulier les liquides dont de mes yeux jamais plus oh je ne veux m'apercevoir. Et ta bouche vu ce qu'elle recèle si jolie mais forcément concave ... de la vapeur de l'éternel subsiste un goût peu commode.

Sans passion j'ai la conviction de suprématie malgré tout. Je m'obsède au clair de lune et ce que je dis me fascine et fascine alentour d'une vague profonde et diffuse sur le lac à ce qu'il me semble. Dés lors je survis personne identiquement ne celant locutions si abstruses, sombres surtout, bien.

Pur, pure cette envie en moi. Pure l'intention de ma folie assez dense en tout cas pour l'étaler en suffisance, l'appliquer à toute surface sans laisser jamais paraître quelque indice de mauvaise foi, intention triomphe sur tout, et sur les autres encore. Ainsi j'ai parlé, se déchaînent les éléments sur le siècle toute dose y compris de lumière car moi suis majeur, heureux que débutent ici même les hostilités ainsi de suite jusqu'à la mort de toute façon.

Le milieu était hostile. D'une manière ou d'une autre il s'en extirpa. Ainsi recrûrent pour lui les occurrences de songer au relent rouge et sucré de ses passions.

Sûr je m'en extirpai. Frayer. Pour rien au monde. À me charrier sans cesse ce relent défile à tout va, s'agite et périphère aux abords sombres, plus que noirs de mes yeux. Souvenir que je dors, ressouvenir aussi espérons cathartique sinon c'est trop je meurs.

Vint la nuit haute en couleurs quelle nuit.