Il aurait peut être mieux valu appeler ce truc :
"Démence matinale d'un paranoïaque aux sens en perdition" mais c'est un peu long et rebarbatif et je me suis pas casser la tête pour le titre ni pour quoique soit d'autre d'ailleurs...

En vous souhaitant une trés bonne et heureuse année 2006 et tous ces petits rien qui vont avec, qui font la vie meilleure , qui font la vie moins triste.
Amitié

La brum’
D’automn’
Parfum’
L’décor

L’auror’
Se lèv’
Un’ nuit
S’achèv’
Et puis …

A l’horizon
D’arbr’ sans feuill’
La déraison
D’un jour de deuil

A l’horizon
D’arbr’ sans feuill’
Cett’étoil’
Clign’ de l’œil
Se voile
S’étonne
Oraison
D’un matin
D’Automne

La pénombre cess’
Enfin le soleil
Sort de son sommeil
Et les ombres naiss’

La rue
La vill’
Parue
Tranquill'
Un peu trop peut-être…

Et soudain …
Un bruit sourd …
Du lointain …
Tout autour …

Le vent s’agit’
La vie expir’
La brum’ s’dissip’
Le souffl’empir’

Ce jour là
Cett’ étoil’
S’est éteint
Cett’ étoil’
C’était toi
Plus de p’tit matin
Aux creux de tes bras

Je vis toujours chez mes parents
Mes « amis » trouvent ça marrant
Mes « amis » trouvent ça immond’
La vie est dur’
C’est la même pour tout l’ mond’

La vie est dur'
Les musiciens sort’ d’ l’ académie
L a musique sue l’ bout des doigts
Au bout d’ six mois ils ont l’ permis
Crois moi y’a d’ quoi rester sans voix


La vie est dur’
Y’a les « stars » qui ne savent plus où s’ mettre
Et parle d’argent, avec un zest
Et les politiques qui traînent sans guêtre
C’est rigolo comm’ils r'tourn’ leur vest’


La vie est dur’
Y’a l’ défoncé qu’à plus d’ pognon
Et prend des allures de phantom’
Du coup l’dealer content lui fait un chrom’
« Merci l’ami ! » Je dirais : « Merci Patron !!»
Il se fait une pay’ de ministr’
Et comm’eux ne parle qu’en brut
Il promet une vie moins trist’
Pour dir’ qu’y a pas qu’l’état qui r’crute

La vie est dur’
Les grands bandits n’font plus dans l’illégal
Ils perdent leur temps et ils débatt’
Y’s point’ dans la télé costard cravatt’
Pendant qu’les autres refourgu’ pour leur cass’dall
On se retrouv’ mal barré rien est plus sûr
La démocratie a prêté serment
Ell’ a l’vé la main droit’ et dis je l’jur’
L’pire c’est que notr’ vie en dépend.

Le r’vendeur et la politic
Toux deux de la même trempe
Rien qu’à leur physic
A l’estomac ca t’fous des cramp’
Et une fois qu’t’as choisi
Mon petit, t’en prend pour 5 ans
Remarqu’ la politic moisie
Ca ne te rend pas dépendant
« Tient une nouvel’ c’est pas d’l’intox
L’état te pay’ ta desintox ! »
La vie est dur’
L’intoxiqué ou le drogué
Se plaint de pas avoir un’miett’
Il s’en mettrait un peu moins dans l’nez
Y’en aurait un peu plus dans son assiett’

Bien que les costards ne m’est rien fait
Qu’les autr’ me considère comm’un’ fillett’
Sans m’avertir
Ils m’ont poussé
Dans un étau
S’il faut choisir
Y’a pas photo
« C’est les copains d’abord »

La vie est dur’
Mais la vie dur’

Que viennent les temps électroniques
Pour que sous nos yeux ébahis
On puisse croire à notre géni
Et s’dire : « la science ! C’est magnifique ! »

Mais la vie devient plus ou moins louche
Nous n’écrivons plus, on press’ des touches
L’état d’ce mond’ est déjà critique
Pas la peine de l’rendre catastrophique

On a les yeux sur des écrans
Et que l’on prend pour des écrins
Faute de mieux et ça j’ le crains
Ils sont en train d’nous foutr’ à cran

Tu sors de ton cocon t'apprends qu' c'te vie il faut la vivre seul
C'est l'temps ou tu penses à nourrir ta famille et a voir la vie en euro...
Plus d'amitié

merci de m'avoir répondu
mais ca va t valoir des ennuis...

disons qu'y a pas qu'le firmamant qu'est joli (un peu toute cette vie...)
mais y'en a marr' des discours emmenant droit à la transparence
vu qu' apparament y'a pas mal de gens ici qui font une fixett' sur le racism'
J'aime les cultures de tous horizons et le contraste... (sans avoir de préférence quelquonque)
l'histoire veut qu'on ait perdu beaucoup de coutume...la richesse la plus précieuse... on en a perdu pas mal déjà
Sauvegardons les notres soyons en fier ...
C'est fini aujourd'hui les discrimination de couleur de peau( de yeux) , les discrimination de race... 21 siècles putain

L’enfance…

L’enfance
C’est découvrir la vie et ses mystèr’
C’est l’imagination et ses chimèr’

L’enfance
C’est la vérité qu’on ne peut cacher
Dans ce monde rempli de fausseté

L’enfance
C’est un trésor enfoui sous terr’
C’est des marrons pour faire la guerr’

L’enfance
C’est la vie qu’on met fond d’ses poches
Cette vie qu’est tantôt bell’, puis dès fois mauches

L’ L’enfance
C’est des billes dans un écrin
Tout l’univers entre les mains

L’enfance
C’est du bonheur en friandis’
Et le malheur qui est en cris’

L’enfance
C’est le sourir’ de l’espérance
Dans la joie ou la souffrance

Cette vie qui coul’ en toi depuis ta naissanc’
Ce monde inventé depuis ta tendr’ enfanc’
Tu le portes en toi comme on porte un bijou
C’est toute ta richess’ et ell’ ne vaaut pas un sou

Cet horizon barré, où naissent tes espoirs
Les diamants de l’esprits qu’ tu prends soin de tailler
Tu le regardes au point de ne plus y voir
Qu’un simple trait comme un avenir rayé

T’as la peur de grandir quand grandiss’ les outrag’
Dans ce monde à la perversité obscène
Part ! en dedans de toi retrouver la fleur de l’âg’
Quand le vent à bout d’souffl’ te pouss’ sur scène.

Dans ta vie cet hivers qui ne te quitte plus
Met ton cœur à l’envers, les soirs où la déprim’
Te remonte comme la mer et tu deviens infirm’
Ton amour qui se perd et ta joie disparue

Ouvre ton esprit épris de folie
T’auras des rêves pour demain
Qui t’indiqueront la route

Prend la raison par la main, fout là dans ton lit.
Elle te montrera le chemin
Et t’éloigneras du doute

Remets des couleurs à ce monde incolor’
Repeint les lendemains avec tes yeux d’enfant
Couvre les de lumière et de paroles d’or
Et redonne enfin ses couleurs au firmament

A part du moment ou ton poème est en ligne ça concerne tout le monde, Messieurs.
Ton intégrisme de classe , ta moquerie déplacée n'a plus lieu d'être aujpurd'hui. Faut te réveiller mon garcon et sors un petit peu.

Ils ont le vers facil’ et la rim’hypocrit’
Une moral’ bidon viellent de cent mill’ans
Leur écritur’ agit à la manièr’ d’un’ mit’
Qui s’planque dans l’armoir’et troue les vieux vêt’ments

Leur estim’ s’arrête sur ce que les gens ont
( Trop compliqué de voir ce qu’ils sont vraiment )
Beaucoup trop complexé à l’idée bien souvent
D’être comm’ son prochain, c’est à dir’ un gros con

Leu esprit est rempli de vieillots préjugés
Les emmenant tout droit à ceux qu’ils ont pointé

Si les bourgeois ressemblent beaucoup à des cochons
Ils sont la tranch’ de lard (l’art ???) qui entour’ le jambon

Ne leur souhaitons point d’mal, ils sont au Maximum
D’la condition humain’, ils ont atteints l’summum

« moi qui balancent entre deux âges … »

L'ignorence n'est elle pas pire ( voire plus violente ) que la violence?
Le dédain n'est il pas synonyme de la bourgeoisie .....
La violence des gens à cran (qui n'ont plus rien ou tout perdu, pas la violence pour toute la violence ) est tout a fait respectable (une preuve d'humanité)?

La bêtise existe! bien planquée derrière les yeux qui la regardent...

Dans le ciel le soleil boude
Les nuag' qui jouent des coudes
       V'là l'automne

Y'a l'été qui cèd' sa place
et le froid qui le remplace
         V'là l'automne

Y'a les champs gras les vach' et les psylos
Les dépressifs qui r'touchent du stylo
       V'là l'automne

Les oiseaux ont ouvert la chass'aux vers
Et les nostalgiques qui cherchent leur vers
        V'là l'automne

Y'a les feuill' qui résist' et s'accrochent
Un p'tit coup de vent pis ell' d'crochent
            V'là l'automne

y'a les arbres qui s'effeuillent
et la nature qui port' le deuil
         V'là l'automne

Y'a les fourmis qui s'en retournent au travail
C'est pas pour cet'année l'honneur et sa médaill'
Et les cigals ont autant dchanc'
au port'à port' ell font la manch'
         V'là l'automne

y'a les fill' qui changent de garde rob'
Pour pas s'attraper de mauvais microb'
           V'là l'automne

Les hirondell' pas con qui s'font la mall'
Partent pour l'afrique et le déball'
Y'a les oiseaux migrateurs qui désert'
Une fois sur place la chaleur est offert'
       V'là l'automne

Y'a les pies qui font moins les mâlines
et les chhattes un peu plus câlines
     V'là l'automne

Y'a l'horizon qui s'refait un' couleur
et retouch' sa palett' en pastel
L'homme des villes a aussi son rituel
Vu qu'les pendules se remettent à l'heur'
     V'là l'automne

Le citadin qui prend des gants
L'auttochtone pas au courant
et tous les deux s'étonnent
a l'arrivée de l'automne

Pour vos p'tit' mains curieus'
Qui partout se trimbal'
Et pis des fois furieus'
Décid' de s'fair' la mall'

Pour vos parol' en l'air
Des fois pourvu d'erreur
Qui sans en avoir l'air
Nous réchauff' le coeur

Pour votre voix apaisante
Qui utilisent les bons mots
D'une douceur guérissante
Qui calment tous nos maux

Pour vos sourirs lunair'
Qui font aimer la vie
Qui nous dis' que sur Terr'
Il n'y a pas que d'lennui

Pour la sincérité de vos baisers surpris'
Pour votre esprit ni put' ni soumis'


C'est pour tous vos trésors
Qu'on prend l'temps de trouver
Et pour votre coeur d'or
Qu'on ne sait admirer

Pour votre humble présence
Discréte et élégante
Qui nous pouss' à la démence
A vos coté, la vie n'est plus absent'

Pour vos beaux yeux qui s' paus'
Sur ce qu'on ne voit pas
Et dedans y voir des ros'
Et rien que pour çela...

On vous aime madame