Absorbant les regards qui se posaient vivants
Sur le nu de l’image pendue vive à l’humble art.
Les regards revenaient souvent à leurs creux vides,
Du miroir où l'adresse cachait un survivant
Montrant : l’art, sa manière et sa saison livide.
La couleur n’était pas jaune au fond de mes yeux ;
Les larmes qui en découlaient de ma tristesse,
Froides, elles en finissaient chaudes au creux
Du flou où l’art accoutrait ma vue et ma liesse.
L’accoutrement n’était pas celui d’un artiste ;
La couleur n’en avait pas un fond dans l’image
Qui s’heurtait à la sensibilité du miroir triste
Absorbant les vues qui cherchaient leur mage.
Et l’amabilité qui s’étalait en mon cœur, vive
Au moment du déclin, aiguë, elle se ramassait
Pour durcir sur les eaux qui câlinaient les rives
De mes yeux comme la figure qu’elle chérissait.
L’écharpe était jaune au fond flou de l’image
Absorbant les regards qui se posaient vivants
Sur le nu d’une pensée pendue vive à mon langage.
Les regards qui revenaient souvent aux creux, vides,
Du miroir où l'adresse cachait un survivant,
Ne montrait pas : ma manière et ma saison livide.
Elle montrait la richesse en dénudant son sein,
Elle cachait sa colère en absorbant les regards ;
Elle arrosait l’amour en pleurant sur sa main
Elle en vidait ses mains pour arroser mon art,
Et les vues qui revenaient souvent aux creux, vides,
Du miroir où l'adresse cachait un survivant,
Ne montrait pas : ma manière et cet amour limpide.
moi farid khenat.
et non akli, kamel, laurent, amar, med slimane mohamed le médecin, marie, kahina, said abderahmane, les pompiers, l'automne, et compagnie.
ps: j ne suis pas ici pour tuer x ou y j'en suis désolé ! je me défends tout simplement !
merci bon entendeur.
moi farid khenat.
Edited by vent, 04 November 2006 - 06:19 PM.