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#273643 Encore

Posted by uiox on 30 November 2005 - 04:02 AM in Salon de publication principal

Sur sur
Comme un éclair
Le rien n'est moins sur
Reste une musique sans son

Un homme sans nom
Anonyme perdu ENCORE
Le reste devrait être sans importance
M&ais la nuit reste présente

Le jour tarde et c'est tant foutre
Des jours ou la nuit n'a plus d'importance
ENCORE toi
Savoir le plus

Vivre le plus fort
Et mourir avec
Dire à des petites bites
J'ai vécu fort

Plus loin que vos angoisses
Ma vie à navigué dans vos tortures
Vous voyez, devoyez mes ordures
De moi ne reste que rien

dire à ma petite bite
rien à te dire
Que dire aux pepettes?
Rien de plus qu'aux bites

Petites pépettes
Petites bites
Courir aprés nos vies
Ou l'inverse?

Plein le cul je vai me coucher.

A+



#273642 Encore

Posted by uiox on 30 November 2005 - 03:45 AM in Salon de publication principal

ENCORE

Une peste de vie
Un zeste de rien
Je gueule encore blah blah

ratablah
Me montre mon cul
Reste encore que nous, p'tet un sourire
J'ai trop crié la toile cirée est gonflée

La TV gondolée
Même le remote tourne les yeux
Perdu dans les miettes du fauteuil
Une trace de shit?

Un reste de crotte?*
Non§
Le long trop long

Le voir reste à voir

Le non reste à nier

Le vrai à vérifier

Même moi à exister.

J'ai rien dit
Pas osé
Plus osé
Sans ossé
Sans os, je me suis répendu par terre
Des ossé
Mon coeur a courrrru dans le caniveau
Mes poumons expirés dans le syphon
D'un sexyphone aux sons automnaux

Amen

Il reste un son
Celui de l'air
Une fois, deux fois
ENCORE
Je vis
Une fois
ENCORE
Carbonnnnnnnnnnnnnneeee

Je te vois

Dans ta non création
Recréation
Récréation

Joue avec nous

Sans rien nous dire de la voie

Dieu c'est moi

Je sais pas ou je vas.



#273641 Encore

Posted by uiox on 30 November 2005 - 03:23 AM in Salon de publication principal

Long il n'y aura plus rien qu'un sens sang sans sens
Revers de vies
J'ai vaincu, vers cul de mots reveches
Vers koi, il n'y a rien

Rien, rien le néant
D'une poésie qui n'en finit de finir
Pas

Pas à pas
On n'essaye
On se perd
On nait on meurt

Puit puis sans fond
On se perd
Se retrouve
Sans à redire

Même si parfois les larmes perlent
Au fonds il n'y a rien
Qu'un regard sur soi
La poésie n'exsiste pas!

Ex à toi

Ex à moi



Qu'un cri dans le lointain
Que des mots vains
Qui ne servent à rien

La poésie ne sert à rien

Une histoire de mort vivant
Dans une histoire sans vie
Un regard parlé avec des beaux mots

Morts de sens

Poésie je te hais!!!!!!



#273640 Encore

Posted by uiox on 30 November 2005 - 03:10 AM in Salon de publication principal

Cul qui bouge

Lent, lentement

plus, plus vite

Comme la gueule qui hurle

Il y a le mot qui ne parle plus

Plusss

Ou rien

Je ne sais plusss

Ahaha

ENCORE toi et moi

Dans des échanges de vie, de vies

Refaire le voir, refaire le tout
A s'en faire péter les yeux
Comme une immensité autour de nous
Le jour n'a rien à voir avec le jour
C'est la nuit éclairée
La nuit c'est un jour sans lumière
Le vrai est un mensonge

Je te vois.

Tu es la

Belle ma vie



#273639 Encore

Posted by uiox on 30 November 2005 - 02:57 AM in Salon de publication principal

C koi ta vie puant?
Des traces de riens qui s'entrelacent?
tu dances tances tes voies
Je vois

Man, tu nous la fais fucker
Marre, je
Mon cendrier prend feu
Ma vie aussi

Seuls mes mots
Rien

Regarde ta gueule
Pauvre de pauvre
Nul de nul
Toi et rien

C'est la ligne plate
Même pas un son de toi
Le rien ne sera qu'a jamais

Qu'un immense electro

Plat.

Il n'y a rien a tirer de toi.

Moi c'est toi

Toi c'est toi

Moi et moi

Moi et moi

j'en finis plus de crever en moi

de me crever

Des jours et des jours

Ma vie n'en a plus à finir

De vivre

Et pourtant

Suivre la

Suivre

a suivre

Nous la refaire
A la joie à la mort
Je te la jouxte à ma bite en berne
Il ya eu il y aura

De la joie de la mort
Et des vraies ressources
Comme un revivre
Si seul et monument

De ce serait comme ça
Il y aurait toi moi
ENCORE un fois
une fois

Mon sourire
Te revivrais
Te dirais
Toutes les joies que tu as perdues


J'en finirais plus
A gagatter

Bah

C'est comme ça



#273638 Encore

Posted by uiox on 30 November 2005 - 02:32 AM in Salon de publication principal

Sur le front j'erre
Le tien encore
Reste de toi une trace
Une vie, une joie de te voir ENCORE

Tu traines, tu parfumes
Je te vois ENCORE


C koi té paroles?
Des restes de vie?
Tu m'enfumes ENCORE
Je perd tes traces

Perdu, dans ton rap
Mes mots vains
Te cherchent ENCORE
Rien à faire

encore, faible
Puant, rien à dire du ENCORE

Le grand, le fort
Il dit et tu n'es qu'un écrase
Les soirs ou le mot est faible
Je te gun minable

ENCORE me dire le fort
Me dire le voir
Des doigts vers le lointain
Revers la vie

Ici ou la
Je donne ENCORE la vie
A toi
Ici et la

Il y a toi et moi
En il me semble et nous
Je te re connais
ENCORE

SI, si le sens est vrai
ENCORE une fois
Tes yeux noirs
Dans les miens

Je te vois
ENCORE
Plus fort
Gagné, gagnant

Perdu, perdant
Moi, ENCORE
Je ne sais plus
Toi Moi ENCORE


PLUS ENCORE

ENCORPS DE TOI



#271625 Pustule

Posted by uiox on 23 November 2005 - 01:56 AM in Salon de publication principal

The little pea jumper a un electro plat: c'est un poi chiche.

Puissant, ça pète un max.

Que la pet soit avec toi.

Be happy Georges comme dirait Tex.



#271622 Ce soir je gerbe

Posted by uiox on 23 November 2005 - 01:48 AM in Salon de publication principal

Ya tout le temps des noiseaux
Des fleurs bleues
Quand c pas ça faudrait un dictionnaire
Autre chose, je veux voir autre chose

La moindre tentative
D'une poésie, pas celle des vieux croutons
Ou encore un essai de ravallement
Non des ertsatz puants, toujours

Poeniaiseries nombrilistes
Pas un pour racheter l'autre
On empile des culottes
A défaut d'enculer des pilotes

Les culottes sont sales
Et les pilotes aveugles
Tout ça ne nous mene à rien
Rien!

Internet c'est bien
Pourrait on enfin forcer les boutonneux
A se violer la tronche?
Et qu'ils arretent de nous déverser

Leurs torrents d'insanités
A moi les poëtes! Bouttont les infidèles
Hors de cette sphère
Ou simplement qu'ils respectent le verbe, enfin

Je me fiche des phallus ou des clitoris
Qu'ils soient beaux dans le texte
Plus d'éructations, ni d'horreurs

Je vois poindre les haikus (pitié pas ça)
alibis puant a la moindre phrase sybiline

Ce soir mes poils se dressent
M'habite aussi
Morts pions

Pas mal non?

OH OH oui bizzz

Non mais je rêve.

Oui je sais ya des grands poetepoete in con pris
Désolé pour les futurs Jarry, Perret et cie
De vous avoir égratigné
Ne vous inquietez pas

La postérité vous appartient...

PS: si il faut qu'ici l'age mental se nivelle à 8 ans, bon à l'avenir je parlerais de Casimir ou Goldorak (c koi en ce moment?)

PS2: Faut faire un grade suivant le nombre de post pour encourager encore plus les posts à la con du genre c bô, super, j'adôôôre, c'est cool ça fait vachement avancer la poésie, on pige que dalle mais on a un avis, genre gastéropode mais un avis quand même.
Je rêve.

PS3: Qu'on m'épargne les diatribes à trois centimes d'euros sur la liberté d'expression et du devenir des grands poetes. De la merde ça reste de la merde, ok?



#271346 Il N'y A Plus Une Seule Pucelle

Posted by uiox on 22 November 2005 - 12:38 AM in Salon de publication principal

Je plongerais bien dans ta goutière
Pour y gouter ta chatte
Tu me griffes, sombre altière
J'en prend acte

Hey ho tu la joues dans ta tête?
Je te parle avec mes mots
Toi tu vois une bête
Ne cherche pas le mot, le beau

Suffira.



#271342 pas d'excuses

Posted by uiox on 22 November 2005 - 12:25 AM in Salon de publication principal

Pouf pouf le boomerang dans Brice (bien banal aussi)

Je te renvoie ton faux de raison que tu as d'avoir tord

C qui Neitche? j'ai pas suivi le dernier Star ac j'avais mon entrée en école primaire à réviser.



#271337 L’EPIPHENOMENISTE

Posted by uiox on 22 November 2005 - 12:01 AM in Salon de publication principal

Je te tends mon réverbère, moi aussi, ma pauvre épaule, plie, plie encore, Hey Paule! Koi? Il arrive plus a t'nir son candélabre, pardon son vrai berbère, euh son truc quoi!

Bin qu'il le lache, nous avec par la même occasion.



#271329 Laquelle verra l'autre mourir

Posted by uiox on 21 November 2005 - 11:42 PM in Salon de publication principal

Comme dirait Diderot, comme d'hab tu nous a dit je t'aime.

Continue comme ça laugh.gif



#270986 ...Présentation vulgarisée d'un nouveau truc...

Posted by uiox on 20 November 2005 - 01:08 PM in Salon de publication principal

On en revient toujours aux mêmes choses dés que l'on parle du bonheur. Le définir pour commencer. C'est déjà foutu, définir le bonheur, quasi impossible car c'est une notion qui se définit par l'individu lui même, on ne doit pas parler du bonheur mais de son bonheur.
Pire encore suivant les périodes de sa vie et des événements cette notion évolue. Donc pour parler d'un être précis il faut dire ses bonheurs, pour parler d'un de ses bonheurs avec précision il faudra alors faire intervenir des notions de temps et citer les évenements qui sous tendent cette période donnée.

Le bonheur a un instant donné est le resultat d'une équation individu + événements contextuels + situation intellectuelle de l'individu.

Une autre notion complexifie aussi, c'est la durée. Je ne veux pas parler de stabilité mais de durée pure. Un exemple: une joie d'une personne incarcérée, un rayon de ciel bleu dans son horizon gris.

Une autre encore l'amplitude/érosion, bien que souvent associée à la durée en raison du contraste (le rayon de ciel bleu de l'exemple précédent sera amplifié car contrastant avec le malheur ambiant) il est néanmoins une composante, dans des périodes longues, paradoxalement qui tend à le faire disparaitre. Un bonheur qui dure finit par rejoindre la normalité, en ce qui me concerne c'est les états suivants: satisfaction intense, béatitude, plénitude, normalité, banalité, langueur, ennui, malheur. Suivant l'intensité du bonheur le processus s'arretera plus ou moins tôt.

La on commence à tomber dans la philo, définir un état, si il est issu au préalable d'une situation intense de bonheur et que l'on étudie celui ci deux jours aprés sa manifestation il sera déjà érodé si d'autres événements ne sont pas venu le réactiver.

Le bonheur n'est pas descriptible, il faudrait décrire toute l'humanité, le temps ou elle a vécu, les événements et pour finir les parcours de chacuns de ses éléments, tache impossible.

En revanche un instant de bonheur peut être décrit, c'est la ou la poésie excelle, dans ce cas en se limitant à quelques événements choisis de l'individu et des effets qu'ils procurent sur celui ci permettent d'avoir une vague notion dans la tête.
La poésie en créant une image mentale sera plus concise et puissante quand l'image est bien choisie et construite bien entendue (on revient au rayon de ciel bleu).

Pour conclure je pense qu'il y a peut être un moyen de parler du bonheur, dans une longue description de ce que peuvent être les instants de bonheur d'un individu et ensuite de procéder par comparaison successive à un autre, par exemple. La poésie reste quand même plus simple.

Quant aux drogues c'est un sujet immense, tabou, souvent débatu par des gens qui n'y connaissent rien, difficile en raison de la totale méconnaissance chimique de notre cerveau, et pour finir impossible à traiter sans y accoler ce que l'individu recherche ou compense par sa prise.
Quelqu'un de clean génére ses propres molécules (sans jeu de mot, ou presque rolleyes.gif )



#270742 ...Présentation vulgarisée d'un nouveau truc...

Posted by uiox on 19 November 2005 - 03:50 AM in Salon de publication principal

Picasso voulait retrouver la spontaneité de son enfance, sa période bleue prouve qu'en figuratif c'était pas un manche.

J'ai jamais fait de philo. Mais dans le fait d'une sorte de retour à sa propre source, dépouillé de ce qui nous encombre l'idée me plait.

Si c'est pour dire que l'on va vers un monde infantile, avec un texte second degré, c'est faire insulte aux enfants.

Les infantiles adultes sont ce que sont les drags queens aux femmes, des pastiches sans substance.

L'être humain le plus mature c'est l'enfant de 10 ans, encore vierge de ce qui va lui bousiller la vie (comme une grande partie des espèces) : sa reproduction, cet instinct impérieux va lui insuffler les pires des tourments et aussi lui déverser des torrents de plaisirs (la nature n'est pas ingrate).

Le souvenir de mon enfance? Un gigantesque rien. La quiétude absolue. L'émotion brute quand elle a encore le droit de vivre... Pas la menace d'un concurrent mâle, ni la catastrophe d'une femelle interessée.
Libre!

Alors se vasectomer?

Impossible, les hormones provoquent un processus irreversible, le moule est cassé à jamais.

Une seule issue: l'enfant.

Lorqu'il est grand et adulte, l'age venant, on pourra peut être se laisser aller à redevenir celui que l'on a été. Les femmes ont cette chance d'avoir un couperet (cruel) qui leur dicte le jour ou elles deviennent grand mère, nous n'avons pas cette chance et beaucoup d'hommes se balladent dans leur rêves d'ado jusqu'a leur alzheimer.

Le problème c'est qu'on ne se libère pas de ses enfants, ils restent notre fruit, qui même adulte doit être préservé et protégé bec et ongle. Peut être une erreur, laisser vivre notre contribution, ce que nous a imposé la nature, se dire j'ai donné merci, maintenant place aux autres je reintègre le nirvana?

Non on reste sous l'emprise, pour preuve ces quinquas grotesques dans leurs dragues de jeunettes, aprés quoi courrent ils? Placer leurs bons vieux spermato, qui eux commencent à faire la gueule, surtout si ils ont déjà bien servis...

Mais voir un être humain? Sans le voir comme un objet qui doit servir à nous servir?

Revenir à avant.

Pour comprendre cela il suffit de voir les tout petit, un autre tout petit n'est que curiosité. Nous les grands baignons dans des tonnes de complexes questions à l'autre. Finalement, facilité, on l'ignore.

Notre vie à des étapes, il faut les comprendre.

Aprés notre vie d'adulte on peut, on doit revenir à notre enfance. Bien sur rester la mère ou le père sur lequel on s'appuie pour ceux qui ont eu la chance d'avoir une famille. Finir la boucle, devenir l'ancetre, le sage celui que les pulsions dévastatrices ignorent désormais. Plus de simulacres!

En revanche obliger le jeune adulte à s'adonner à cette frénésie sexuelle que nous dictent nos hormones.

Rendre à chaque age son vrai.

Prendre un jour sa retraite et revenir à cette plénitude de l'enfance, sans parents, finalement c'est le pied.

ça peut le faire.

Pour l'instant c pas encore top chez moi.

Mais a 10 ans la mort c loin, à 50 1 pe + prés.



#270739 ...Présentation vulgarisée d'un nouveau truc...

Posted by uiox on 19 November 2005 - 01:23 AM in Salon de publication principal

se voir tel que l'on est dépouillé des droles d'idées des autres.

Simplement être soi devant un beau couché de soleil et le gouter vraiment.

Ne plus subir son cerveau mais vivre en harmonie avec.

On fait des choses nulles belles ridicules kelkonk bof horribles.

M'en fiche vive internet

T'emmerde? Zappe.


Expression gigantesque, de tous

Je revendique le droit du tout et du n'importe quoi, du beau, du moche, l'art total de l'humain gratuit et hors de prix de prise.

On dira un sourire dans une larme

Ou une bonne odeur dans un caca

Voire une bouteille dans une carrière

Même un soleil dans une orbite

Images de nos serre veaux

Pour que le mot vive

Le reste on s'en fiche.



#270737 Ta poum

Posted by uiox on 19 November 2005 - 12:56 AM in Salon de publication principal

Ta poum tagada poum
Poum poum pruim

Gada da da ga pruim
Pa poum de gada prem
Gue de prem
Ra da poum

De prem
Redem me doum
De pruim ka dam

Ke de pruim
Ka da proum
Ra da priom
Re da de kodoc

Kidic
Pidic
Ridix
Nix et detoc

Paxum
Noxum
Pilom
Radam

Ex losc colum
Der querem crom karam?
Nior nux ques lox
Fir enrem redum corlux

Er srim de lox srium
Sor frox kriek torx galam
Nagem

Lex es grioul
tagoul
gadirem

Texem.



#262849 La joute...

Posted by uiox on 09 October 2005 - 02:22 AM in Salon de publication principal

Désolé, un seul mot, le mien, bassesse.
J'aime les grandes idées, je ne suis qu'un roturier
Bloqué à jamais dans ce que la noblesse qualifie d'ordurier
La beauté chez le rustre ne sera que la fesse

Belle affaire nous voila au premier jour
Puis plus tard réunis dans nos premiers émois
Le spermatozoide dans son dialogue de sourd
Le sang bleu n'aurait til pas la même joie?

Non, le beau le cultivé est noble
Une faute, même une avancée, pire une idée
Cette avalanche de mots ne sont que grimaces horribles
La populace grouillante a parlé

Ce plomb sur nos épaules
Le rire, le grave même le triste n'a plus d'importance
Enfermé dans ce que l'on est: un role
Les anciens et ses dépositaires nous tancent

Sachez que les Villons vous regardent
Sur vous les tripes des pendus se déversent
Des sourires édentés vous narguent
Sur vous l'Humanité verse

Ses idées et ses larmes.



#262845 Sous l'ombre alezane des amours illicites

Posted by uiox on 09 October 2005 - 01:11 AM in Salon de publication principal

Fan de cette poésie

Plus loin de jour en jour... Sortir du cul?